Impact of exercise intervention-based remote monitoring for patients with different grades of non-alcoholic fatty liver disease severity

Objective

Exercise is an effective therapeutic measure for non-alcoholic fatty liver disease (NAFLD), however, the COVID-19 pandemic has limited patient access to exercise services. This study explores the effects of exercise intervention-based remote monitoring on body composition, glycolipid metabolism, liver function, liver inflammation, and liver steatosis in patients with different grades of NAFLD.

Results

Patients with mild NAFLD, who underwent six months of exercise intervention-based remote monitoring, exhibited reduced controlled attenuation parameter (CAP; P < 0.05), fasting serum insulin (FINS; P < 0.01), ALT (P < 0.05), γ-glutamyl transferase (γ-GT; I < 0.05), and interleukin (IL)-6 (P < 0.01) levels. Additionally, serum FINS (P < 0.05) in moderate cases, and serum TNF-α (P < 0.05) in severe cases were significantly reduced. Moreover, BMI, total cholesterol (TC), fasting blood glucose, FINS, HOMA-R, AST, ALT, γ-GT, ALP, IL-6, TNF-α and CAP levels were reduced in mild, compared with severe, cases (P < 0.05); while TC, AST, γ-GT and CAP were decreased in mild, compared to moderate, cases (P < 0.05).

Conclusion

Hence, patients with NAFLD experience improvement in glycolipid metabolism, liver function, inflammation, and liver steatosis following six months of exercise intervention-based remote monitoring, with mild cases exhibiting the greatest benefit.

Objectif

L’exercice est une mesure thérapeutique efficace pour prévenir la stéatose hépatique non alcoolique (NAFLD), cependant, la COVID-19 a limité l’accès des patients à des sites de pratique d’exercices. Cette étude vise à explorer l’intérêt de la surveillance à distance de la prescription d’exercices sur la composition corporelle, le métabolisme des glycolipides, la fonction hépatique, l’inflammation hépatique, et la stéatose hépatique chez les patients avec différents degrés de cette maladie.

Résultats

Des patients présentant une stéatose hépatique non alcoolique (NAFLD) légère, ont subi six mois de surveillance à distance de la pratique d’exercices. Ils ont présenté un niveau réduit de paramètre d’atténuation contrôlé réduit (CAP ; p < 0,05), d’insuline sérique à jeun (FINS ; p < 0,01), d’ALT (p < 0,05), de gamma-glutamine transpeptidase (γ-GT ; I < 0,05), et d’interleukine (IL)-6 (p < 0,01). De plus, le sérum FINS (p < 0,05) dans les cas modérés et le sérum TNF-α (p < 0,05) dans les cas graves ont été significativement réduits. De même, les niveaux d’IMC, de cholestérol total (TC), de glycémie à jeun, de FINS, de HOMA-R, d’AST, d’ALT, d’γ-GT, d’ALP, d’IL-6, d’TNF-α et de CAP ont été réduits dans les cas légers, par rapport aux cas graves (p < 0,05) ; tandis que ceux de TC, d’AST, d’γ-GT et de CAP ont diminué dans les cas légers, en comparaison des cas modérés (p < 0,05).

Conclusion

Les patients atteints de stéatose hépatique non alcoolique (NAFLD) connaissent une amélioration du métabolisme des glycolipides, de la fonction hépatique, de l’inflammation et de la stéatose hépatique après six mois de surveillance à distance des effets de la prescription d’exercices, et les patients présentant des cas légers en profitent le plus.