Standardization of evaluation and exercise prescription for deep water running with normobaric hypoxia exposure

Abstract

Background

Deep water running (DWR) is an exercise model often used for health promotion purposes. This study standardized an aerobic capacity evaluation protocol specific for attached DWR in young healthy adults and monitored a DWR session with normobaric hypoxia exposure addition.

Methods

In study 1, nine young healthy adults, seven male and two female (22.88 ± 3.14 years old; 72.44 ± 11.38 kg; 174.88 ± 9 cm; 23.58 ± 2.33 kg m⁻²), were subjected to two DWR incremental tests with a 48-hour interval between them, and in study 2, six healthy males were subjected to three (hypoxia, normoxia, and inter-effort recovery hypoxia) attached DWR exercise sessions involving normobaric hypoxia. Data are expressed as average ± standard deviation. Friedman's test was used to compare the groups with a significance level of P < 0.05.

Results

In study 1, no significant statistical differences were observed for the physiological variables analyzed. In study 2, there was no difference in strength and lactate between conditions; values of rates of perceived exertion were higher in the hypoxic session, compared to inter-effort recovery hypoxia, in efforts 1 and 5, respectively, while heart rate was lower in effort 1 in normoxia. In hypoxia, effort 1 was lower than effort 3, with no alteration in recovery hypoxia.

Conclusions

This aerobic capacity evaluation protocol is valid, sensitive, and replicable, and there were no important differences in the physiological variables from high-intensity exercise sessions monitoring in hypoxia, normoxia, and inter-effort recovery hypoxia conditions.

Contexte

La course en piscine profonde (deep water running ; DWR) est un modèle d'exercice souvent proposé pour améliorer la santé. Cette étude a standardisé un protocole d'évaluation de la capacité aérobie spécifique au DWR chez de jeunes adultes en bonne santé et a étudié une séance de DWR avec exposition à l'hypoxie normobare.

Méthodes

Dans l'étude 1, neuf jeunes adultes en bonne santé, sept hommes et deux femmes (22,88 ± 3,14 ans ; 72,44 ± 11,38 kg ; 174,88 ± 9 cm ; 23,58 ± 2,33 kg m⁻²), ont été soumis à deux tests DWR incrémentiels distants de 48 heures, et dans l'étude 2, six hommes en bonne santé ont été soumis à trois séances d'exercices DWR avec hypoxie normobare (hypoxie, normoxie et hypoxie de récupération inter-effort). Les données sont exprimées en moyenne ± écart-type. Le test de Friedman a été utilisé pour comparer les groupes avec un seuil de signification de p < 0,05.

Résultats

Dans l'étude 1, aucune différence statistique significative n'a été observée pour les variables physiologiques analysées. Dans l'étude 2, il n'y avait aucune différence de force et de lactatémie entre les conditions ; les valeurs de perception subjective de l'effort étaient plus élevées dans la séance hypoxique, par rapport à l'hypoxie de récupération inter-effort, dans les efforts 1 et 5, respectivement, tandis que le rythme cardiaque était inférieur dans l'effort 1 en normoxie. En hypoxie, la perception subjective de l'effort 1 était inférieure à celle de l'effort 3, et celle de la récupération n'était pas affectée.

Conclusions

Ce protocole d'évaluation de la capacité aérobie est valide, sensible et reproductible, et il n'y a pas de différences importantes dans les variables physiologiques des séances d'exercices de haute intensité surveillant dans des conditions d'hypoxie, de normoxie et d'hypoxie de récupération inter-effort.