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Abstract
Le tourisme culturel marocain est ancien ; il remonte a l’epoque du Protectorat, des les annees 1920. Il a privilegie d’abord les villes dites imperiales avant de s’etendre au sud-est dans l’Anti-Atlas oriental. L’Anti-Atlas occidental, pourtant dote d’une richesse patrimoniale certaine dans un environnement rural et agraire, n’a pas connu jusqu’a maintenant le meme engouement, en depit de la proximite d’Agadir, pole touristique majeur. L’article tente d’expliquer le retard de la « mise en tourisme » de cette partie des chaines atlasiques et presente aussi des exemples de sites et d’objets patrimoniaux susceptibles d’attirer les touristes. Alors que cette partie de l’Atlas n’a interesse que recemment quelques geographes marocains ou etrangers, cet article s’appuie sur ces quelques recherches et surtout sur les observations ponctuelles et nombreuses effectuees par l’auteur, au cours des deux ou trois decennies passees, jusqu’en 1999.