Embracing Decline: Gérard Depardieu and the Problem of 'Successful Ageing'

Abstract

Abstract:This article posits film star Gérard Depardieu as a ubiquitous figure — French cinema's ultimate monstre sacré — who both self-stages, and is staged, as a radical pioneer of alternative forms of ageing. In France and on the international stage, Depardieu eschews traditional notions of ageing masculinity on screen, making space for bolder, if not uniquely tender, visions of what it means to embrace decline in the modern era. Analysing a small corpus of Depardieu films, Valley of Love (2015), The End (2016), and Robuste (2021), this article spotlights a major star who has largely fallen out of public favour, yet who has undergone a series of filmic rebirths since 2010, each of which evokes reminiscences of his major cinematic legacy.Résumé:Cet article considère Gérard Depardieu en tant que personnage omniprésent et monstre sacré du cinéma français qui se présente, et qui est présenté, comme une figure pionnière radicale de nouveaux modèles de vieillissement. En France, ainsi qu'à l'échelle internationale, Depardieu contrecarre toute notion traditionnelle de vieillissement masculin à l'écran, introduisant des représentations audacieuses, et parfois tendres, du déclin de l'être humain à l'ère moderne. En prenant pour objet les films Valley of Love (2015), The End (2016) et Robuste (2021), cet article met en lumière une vedette largement tombée en disgrâce, mais qui émerge rajeunie dans ses films depuis 2010, chaque exemple rappelant les vestiges de son héritage cinématographique capital.