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Abstract
Dans cet article, il s’agit de la traduction poetique, de ses qualites esthetiques et de ses eventuels facteurs limitants. Analysant six versions francaises du celebre poeme « Le Prophete » d’Alexandre Pouchkine, l’auteur tente d’etablir une sorte d’equilibre entre leur exactitude textuelle et leur beaute stylistique pour savoir A quel point le dilemme « precision versus inspiration » par lequel elles sont influencees se revele insoluble dans ce contexte. Il se charge ensuite de produire encore deux versions du poeme et il conclut qu’une traduction poetique, meme si elle est juxtalineaire, n’est jamais parfaite ni ne peut etre appreciee que dans la mesure ou les preferences subjectives de son lecteur se rapprochent de celles du traducteur.