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C’est avec force que la maladie somatique confronte le patient et le psychanalyste en séance. Sa réalité s’impose et teinte la rencontre transférentielle de façon très singulière. Par quelle disposition psychique le psychanalyste peut-il tenir compte du fait malade, sans qu’il soit vécu comme dominant et menace la créativité psychique qui pourrait naître de cette rencontre ? Comment épouser ce « regard oblique » cher au peintre Sam Szafran qui se refusait à percevoir la réalité de face ?