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Dans ce passage de « Sido » , Colette déploie toute sa sensibilité poétique pour suggérer les différentes facettes du dernier feu de l’année : il évoque le soleil printanier qui fait jaillir les fleurs dans la nature ; il fait surgir dans sa mémoire son enfance sauvage et silencieuse ; enfin, il éclaire le sourire mélancolique de son amie et la beauté de son corps qu’elle dénude sous les flammes qui dansent joyeusement.