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Les récentes élections argentines ont mis en valeur le courant « libertarien », peu connu en Europe. Il plaide pour une généralisation du marché et un État minimal dans un mélange d’anarcho-capitalisme et de populisme. Les premières mesures du président Javier Milei vont dans cette direction. Il n’est pas certain que leur succès soit assuré. Dans un nombre croissant de sociétés, l’idéologie du libre marché est contestée pour ses conséquences négatives sur la cohésion sociale.