{"title":"会议是处理情绪的场所吗?是的,但在什么条件下...","authors":"Pierre Delion","doi":"10.3917/empa.133.0098","DOIUrl":null,"url":null,"abstract":"Avant de parler des réunions d’équipe comme moyen de traiter affects et émotions, Pierre Delion explique le double transfert construit par la relation entre un patient et un soignant. La réunion ne peut être un outil thérapeutique qu’à certaines conditions non négociables. Si c’est le cas, elle favorise l’engagement des soignants au bénéfice des patients, prolonge leur formation et évite aux soignants de supporter une surcharge d’affects envahissants qui risque de les fragiliser dans leurs limites.","PeriodicalId":39454,"journal":{"name":"Empan","volume":"30 8","pages":""},"PeriodicalIF":0.0000,"publicationDate":"2024-02-23","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":"0","resultStr":"{\"title\":\"La réunion, lieu de traitement des émotions ? Oui, mais à quelles conditions…\",\"authors\":\"Pierre Delion\",\"doi\":\"10.3917/empa.133.0098\",\"DOIUrl\":null,\"url\":null,\"abstract\":\"Avant de parler des réunions d’équipe comme moyen de traiter affects et émotions, Pierre Delion explique le double transfert construit par la relation entre un patient et un soignant. La réunion ne peut être un outil thérapeutique qu’à certaines conditions non négociables. Si c’est le cas, elle favorise l’engagement des soignants au bénéfice des patients, prolonge leur formation et évite aux soignants de supporter une surcharge d’affects envahissants qui risque de les fragiliser dans leurs limites.\",\"PeriodicalId\":39454,\"journal\":{\"name\":\"Empan\",\"volume\":\"30 8\",\"pages\":\"\"},\"PeriodicalIF\":0.0000,\"publicationDate\":\"2024-02-23\",\"publicationTypes\":\"Journal Article\",\"fieldsOfStudy\":null,\"isOpenAccess\":false,\"openAccessPdf\":\"\",\"citationCount\":\"0\",\"resultStr\":null,\"platform\":\"Semanticscholar\",\"paperid\":null,\"PeriodicalName\":\"Empan\",\"FirstCategoryId\":\"1085\",\"ListUrlMain\":\"https://doi.org/10.3917/empa.133.0098\",\"RegionNum\":0,\"RegionCategory\":null,\"ArticlePicture\":[],\"TitleCN\":null,\"AbstractTextCN\":null,\"PMCID\":null,\"EPubDate\":\"\",\"PubModel\":\"\",\"JCR\":\"Q4\",\"JCRName\":\"Social Sciences\",\"Score\":null,\"Total\":0}","platform":"Semanticscholar","paperid":null,"PeriodicalName":"Empan","FirstCategoryId":"1085","ListUrlMain":"https://doi.org/10.3917/empa.133.0098","RegionNum":0,"RegionCategory":null,"ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":null,"EPubDate":"","PubModel":"","JCR":"Q4","JCRName":"Social Sciences","Score":null,"Total":0}
La réunion, lieu de traitement des émotions ? Oui, mais à quelles conditions…
Avant de parler des réunions d’équipe comme moyen de traiter affects et émotions, Pierre Delion explique le double transfert construit par la relation entre un patient et un soignant. La réunion ne peut être un outil thérapeutique qu’à certaines conditions non négociables. Si c’est le cas, elle favorise l’engagement des soignants au bénéfice des patients, prolonge leur formation et évite aux soignants de supporter une surcharge d’affects envahissants qui risque de les fragiliser dans leurs limites.