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Alors que le texte de la rubrique Controverse du dernier numéro (vol. 46, no.2) traitait du côté sombre de la science, celui-ci présente un aspect plus léger de la recherche scientifique et de ses connivences avec la stupidité. Deux aspects seront abordés : les prix IgNobel et les Prix Darwin. Dans le premier cas, les récipiendaires peuvent être considérés comme des chercheurs de l’absurde. Dans le second cas, ils sont remerciés pour leur contribution à l’amélioration du patrimoine génétique puisqu’ils sont morts ou ne peuvent plus se reproduire à la suite de leur exploit stupide.