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Le chemin qui mène des premiers manuscrits de Fin de partie à la dernière révision du texte sur la scène londonienne en 1980 est celui d’ un déploiement de l’ incertitude. Cette esthétique de l’ ambiguïté procède par toute une série de gommages et de déplacements qui clôturent l’ espace scénique, rendent équivoque la situation des personnages et donnent à lire, dans le processus même de l’ écriture, une poétique du doute qui interroge l’ origine et le sens de la création littéraire.