{"title":"Le cinéma militant de Pierre Falardeau : un cas de dénonciation et un exemple de désir et de liberté","authors":"O. Lemieux","doi":"10.17118/11143/20080","DOIUrl":null,"url":null,"abstract":"* Étudiant au baccalauréat en Histoire du Département d’histoire de l’Université de Sherbrooke RÉSUMÉ — Nous traitons, à travers notre article, de cinq longs-métrages de Pierre Falardeau, les trois Elvis Gratton, Octobre et 15 février 1839. L’analyse de ces cinq œuvres repose sur les buts du cinéma falardien, lesquels répondent, selon nous, à deux grands concepts : la dénonciation et la promotion. Si le cinéaste Falardeau use de son art pour dénoncer les éléments qu’il identifie comme portant atteinte à la survie du Québec, tels que l’américanisation et le trudeauisme, il ne manque pas, par ailleurs, de promouvoir les valeurs liées au nationalisme et à la liberté, lesquelles permettraient à la province de se sortir du carcan sociopolitique. Ainsi, nous émettons l’hypothèse que le cinéma falardien est un cinéma militant.","PeriodicalId":423900,"journal":{"name":"Cahiers de recherche en politique appliquée","volume":"8 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0000,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":"0","resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":null,"PeriodicalName":"Cahiers de recherche en politique appliquée","FirstCategoryId":"1085","ListUrlMain":"https://doi.org/10.17118/11143/20080","RegionNum":0,"RegionCategory":null,"ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":null,"EPubDate":"","PubModel":"","JCR":"","JCRName":"","Score":null,"Total":0}
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Abstract
* Étudiant au baccalauréat en Histoire du Département d’histoire de l’Université de Sherbrooke RÉSUMÉ — Nous traitons, à travers notre article, de cinq longs-métrages de Pierre Falardeau, les trois Elvis Gratton, Octobre et 15 février 1839. L’analyse de ces cinq œuvres repose sur les buts du cinéma falardien, lesquels répondent, selon nous, à deux grands concepts : la dénonciation et la promotion. Si le cinéaste Falardeau use de son art pour dénoncer les éléments qu’il identifie comme portant atteinte à la survie du Québec, tels que l’américanisation et le trudeauisme, il ne manque pas, par ailleurs, de promouvoir les valeurs liées au nationalisme et à la liberté, lesquelles permettraient à la province de se sortir du carcan sociopolitique. Ainsi, nous émettons l’hypothèse que le cinéma falardien est un cinéma militant.