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Abstract
ABSTRACT:Canadian urban history had a golden age in the 1970s and early 1980s. Since then, considering only those researchers who consider themselves to be urbanists, its presence and influence has waned. National conferences are no longer held and edited collections of national scope no longer published. Fewer researchers who are doing research on cities in the past consider themselves to be urbanists and, in contrast with the earlier period, these are almost exclusively historians. The decline in Canada is in contrast with the situation in the United Kingdom and the United States, partly because of differences in national geography and in the salience of urban issues, and partly because of a smaller pool of academics and the lack of an institutional base. The immediate future offers few signs of change.RÉSUMÉ: L’histoire urbaine du Canada a connu son heure de gloire dans les années 1970 et au début des années 1980. Depuis, si l’on ne tient compte que des chercheurs qui se considèrent comme des urbanistes, sa présence et son influence ont diminué. Il n’y a plus de conférences nationales et des recueils de portée nationale ne sont plus publiés. Peu de chercheurs qui étudient le passé des villes se considèrent comme des urbanistes et, comparativement au passé, il s’agit presque exclusivement d’historiens. Le déclin au Canada est en contraste avec la situation au Royaume-Uni et aux États-Unis, partiellement en raison des différences de géographie nationale et de l’importance de questions urbaines, et partiellement en raison d’un plus petit bassin de chercheurs et du manque de structures institutionnelles. Rien ne laisse prévoir de changements importants à cet égard dans un avenir rapproché.