Weeks'chiloowew: Resistance and Disidentification in Tomson Highway's Kiss of the Fur Queen and Jean de Léry's History of a Voyage to the Land of Brazil
{"title":"Weeks'chiloowew: Resistance and Disidentification in Tomson Highway's Kiss of the Fur Queen and Jean de Léry's History of a Voyage to the Land of Brazil","authors":"Jan Olesen","doi":"10.3138/cras.2018.025","DOIUrl":null,"url":null,"abstract":"Abstract:This article examines the relationship between symbolic and physical violence toward First Nations peoples in the Americas. It examines the mutual sympathies of symbolic and physical violence, and the interdependence between them. Through an examination of how colonial and postcolonial narratives recount symbolic violence—through problematic narratives—and physical violence—through institutions like residential schools—the article charts how resistance to this violence is both actively mobilized and innate. Developing José Esteban Muñoz's theory of disidentification, where resistance to colonial influence is neither an acceptance of dominant ideology nor overt resistance or opposition to it, early modern colonial documents are examined, and contemporary fictional texts demonstrate a third way of responding to dominant ideologies.Résumé:Cet article examine la relation entre la violence symbolique et physique envers les peuples des Premières Nations dans les Amériques. Il examine les sympathies mutuelles de la violence symbolique et physique, et leur interdépendance. En examinant comment les récits coloniaux et postcoloniaux racontent la violence symbolique—par l'entremise de récits problématiques—et la violence physique—par l'entremise d'institutions comme les écoles résidentielles—l'article examine comment la résistance à cette violence est à la fois activement mobilisée et innée. En développant la théorie de désidentification de José Esteban Muñoz, où la résistance à l'influence coloniale n'est ni l'acceptation de l'idéologie dominante, ni la résistance ouverte ou l'opposition, des documents coloniaux du début de l'ère moderne sont étudiés et des textes fictifs contemporains démontrent un troisième moyen de répondre aux idéologies dominantes.","PeriodicalId":53953,"journal":{"name":"CANADIAN REVIEW OF AMERICAN STUDIES","volume":"50 1","pages":"331 - 349"},"PeriodicalIF":0.1000,"publicationDate":"2020-07-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":"1","resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":null,"PeriodicalName":"CANADIAN REVIEW OF AMERICAN STUDIES","FirstCategoryId":"1085","ListUrlMain":"https://doi.org/10.3138/cras.2018.025","RegionNum":4,"RegionCategory":"社会学","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":null,"EPubDate":"","PubModel":"","JCR":"0","JCRName":"HUMANITIES, MULTIDISCIPLINARY","Score":null,"Total":0}
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Abstract
Abstract:This article examines the relationship between symbolic and physical violence toward First Nations peoples in the Americas. It examines the mutual sympathies of symbolic and physical violence, and the interdependence between them. Through an examination of how colonial and postcolonial narratives recount symbolic violence—through problematic narratives—and physical violence—through institutions like residential schools—the article charts how resistance to this violence is both actively mobilized and innate. Developing José Esteban Muñoz's theory of disidentification, where resistance to colonial influence is neither an acceptance of dominant ideology nor overt resistance or opposition to it, early modern colonial documents are examined, and contemporary fictional texts demonstrate a third way of responding to dominant ideologies.Résumé:Cet article examine la relation entre la violence symbolique et physique envers les peuples des Premières Nations dans les Amériques. Il examine les sympathies mutuelles de la violence symbolique et physique, et leur interdépendance. En examinant comment les récits coloniaux et postcoloniaux racontent la violence symbolique—par l'entremise de récits problématiques—et la violence physique—par l'entremise d'institutions comme les écoles résidentielles—l'article examine comment la résistance à cette violence est à la fois activement mobilisée et innée. En développant la théorie de désidentification de José Esteban Muñoz, où la résistance à l'influence coloniale n'est ni l'acceptation de l'idéologie dominante, ni la résistance ouverte ou l'opposition, des documents coloniaux du début de l'ère moderne sont étudiés et des textes fictifs contemporains démontrent un troisième moyen de répondre aux idéologies dominantes.