Le paradoxe de l’homéopathie : totalement compatible avec la biomédecine et violemment rejetée par celle-ci

Face aux violentes critiques portées contre l’homéopathie de par le monde, l’auteur propose un examen objectif des motivations d’une telle hostilité. Celle-ci apparaît paradoxale dans la mesure où tous les principes et fondements sur lesquels s’appuie l’homéopathie font partie d’un fond commun qu’elle partage avec la biomédecine mais que celle-ci néglige : prise en compte du patient en tant qu’individu vivant et appel aux capacités naturelles d’homéostasie, d’auto-défense et d’auto-guérison de l’organisme. Les véritables motivations du rejet de l’homéopathie apparaissent, en fait, relever d’un attachement excessif à une vision mécaniciste de l’organisme et à une volonté, non justifiée du point de vue rationnel, de restreindre toute action biologique à un support moléculaire à l’exclusion de toute action biophysique.