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Des liasses de papier dont on fit un « oreiller » : le registre de l’écriture de Sei Shônagon
Les Notes de chevet (v. 1000) ont servi de source d’inspiration, au Japon comme ailleurs, pour permettre une écriture fragmentaire et discontinue, moyen d’expression spontané pour une écriture de l’intime. Pourtant, ce texte attribué à Sei Shônagon est avant tout le reflet d’une activité intellectuelle collective. Cet article présente et commente plusieurs extraits de l’oeuvre pour étayer cette affirmation.