{"title":"徒劳的计划:地图、流浪和宗教研究","authors":"B. Gray","doi":"10.3138/topia-2022-0029","DOIUrl":null,"url":null,"abstract":"ABSTRACT:Sometimes, plans fail. I had planned to write about how Dionne Brand’s A Map to the Door of No Return: Notes to Belonging spoke to the study of religion in various ways. But after encountering Map’s speaker on the ocean with Yemaya, my plans failed, and opened a different way of thinking about religion and its study. In this regard, this essay speaks to religion not as a category of human experience, but instead as a kind of movement that sets our categories in default. Turning to scholars of religion like Charles Long and Black studies scholars like Sarah Jane Cervenak, I eventually suggest that Map offers us wandering as a method for studying religion; instead of coming with our received categories, I suggest, we must instead adopt wandering as a method; instead of starting with traditions, beliefs, theologies and histories, we should instead insist on life—and allow that insistence to guide our study.RESUMÉ:Parfois les plans échouent. J’avais prévu d’écrire un texte sur les diverses manières dont A Map to the Door of No Return: Notes to Belonging de Dionne Brand évoque l’étude de la religion. Mais après avoir rencontré l’orateur de Map sur l’océan avec Yemaya, mon plan a échoué, et une façon différente de penser la religion et son étude s’est présentée. C’est ainsi que cet article considère la religion non pas comme une catégorie de l’expérience humaine, mais plutôt comme une sorte de mouvement qui réinitialise nos paramètres catégoriels. Empruntant à des érudits de la religion comme Charles Long et à des spécialistes des études sur les Noir·es comme Sarah Jane Cervenak, j’en arrive à considérer que l’œuvre de Brand nous propose l’errance comme méthode d’étude de la religion : au lieu d’y arriver avec nos catégories reçues, ma suggestion est que nous devons plutôt adopter l’errance comme méthode ; au lieu de commencer par les traditions, les croyances, les théologies et les histoires, nous devrions plutôt insister sur la vie – et permettre à cette insistance de guider notre étude.","PeriodicalId":43438,"journal":{"name":"Topia-Canadian Journal of Cultural Studies","volume":null,"pages":null},"PeriodicalIF":0.4000,"publicationDate":"2023-04-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":"0","resultStr":"{\"title\":\"Futile Plans: Map, Wandering, and the Study of Religion\",\"authors\":\"B. Gray\",\"doi\":\"10.3138/topia-2022-0029\",\"DOIUrl\":null,\"url\":null,\"abstract\":\"ABSTRACT:Sometimes, plans fail. I had planned to write about how Dionne Brand’s A Map to the Door of No Return: Notes to Belonging spoke to the study of religion in various ways. But after encountering Map’s speaker on the ocean with Yemaya, my plans failed, and opened a different way of thinking about religion and its study. In this regard, this essay speaks to religion not as a category of human experience, but instead as a kind of movement that sets our categories in default. Turning to scholars of religion like Charles Long and Black studies scholars like Sarah Jane Cervenak, I eventually suggest that Map offers us wandering as a method for studying religion; instead of coming with our received categories, I suggest, we must instead adopt wandering as a method; instead of starting with traditions, beliefs, theologies and histories, we should instead insist on life—and allow that insistence to guide our study.RESUMÉ:Parfois les plans échouent. J’avais prévu d’écrire un texte sur les diverses manières dont A Map to the Door of No Return: Notes to Belonging de Dionne Brand évoque l’étude de la religion. Mais après avoir rencontré l’orateur de Map sur l’océan avec Yemaya, mon plan a échoué, et une façon différente de penser la religion et son étude s’est présentée. C’est ainsi que cet article considère la religion non pas comme une catégorie de l’expérience humaine, mais plutôt comme une sorte de mouvement qui réinitialise nos paramètres catégoriels. Empruntant à des érudits de la religion comme Charles Long et à des spécialistes des études sur les Noir·es comme Sarah Jane Cervenak, j’en arrive à considérer que l’œuvre de Brand nous propose l’errance comme méthode d’étude de la religion : au lieu d’y arriver avec nos catégories reçues, ma suggestion est que nous devons plutôt adopter l’errance comme méthode ; au lieu de commencer par les traditions, les croyances, les théologies et les histoires, nous devrions plutôt insister sur la vie – et permettre à cette insistance de guider notre étude.\",\"PeriodicalId\":43438,\"journal\":{\"name\":\"Topia-Canadian Journal of Cultural Studies\",\"volume\":null,\"pages\":null},\"PeriodicalIF\":0.4000,\"publicationDate\":\"2023-04-01\",\"publicationTypes\":\"Journal Article\",\"fieldsOfStudy\":null,\"isOpenAccess\":false,\"openAccessPdf\":\"\",\"citationCount\":\"0\",\"resultStr\":null,\"platform\":\"Semanticscholar\",\"paperid\":null,\"PeriodicalName\":\"Topia-Canadian Journal of Cultural Studies\",\"FirstCategoryId\":\"90\",\"ListUrlMain\":\"https://doi.org/10.3138/topia-2022-0029\",\"RegionNum\":4,\"RegionCategory\":\"社会学\",\"ArticlePicture\":[],\"TitleCN\":null,\"AbstractTextCN\":null,\"PMCID\":null,\"EPubDate\":\"\",\"PubModel\":\"\",\"JCR\":\"Q3\",\"JCRName\":\"CULTURAL STUDIES\",\"Score\":null,\"Total\":0}","platform":"Semanticscholar","paperid":null,"PeriodicalName":"Topia-Canadian Journal of Cultural Studies","FirstCategoryId":"90","ListUrlMain":"https://doi.org/10.3138/topia-2022-0029","RegionNum":4,"RegionCategory":"社会学","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":null,"EPubDate":"","PubModel":"","JCR":"Q3","JCRName":"CULTURAL STUDIES","Score":null,"Total":0}
引用次数: 0
摘要
摘要:有时候,计划会失败。我本来打算写迪翁·布兰德(Dionne Brand)的《通往不归之门的地图:归属笔记》(A Map to the Door of No Return: Notes to Belonging)如何以不同的方式讲述宗教研究。但在与Yemaya在海上遇到Map的演讲者后,我的计划失败了,并开启了一种不同的思考宗教及其研究的方式。在这方面,这篇文章不是把宗教作为人类经验的一个类别,而是作为一种运动,将我们的类别默认。谈到查尔斯·朗(Charles Long)等宗教学者和莎拉·简·瑟维纳克(Sarah Jane Cervenak)等黑人研究学者,我最终认为,地图为我们提供了一种研究宗教的方法;我建议,我们不应按照既定的分类来,而应采用流浪的方法;我们应该坚持生活,而不是从传统、信仰、神学和历史出发,并让这种坚持指导我们的学习。RESUMÉ:Parfois les plans前程无忧。我prevu d写联合国对于苏尔les不同种操作不只能进不能退的映射到门:归属感de迪翁品牌揽胜向我指出de la宗教。Mais aprires avoir rencontrorel 'orateur de Map sur l ' ocsians和emaya, monplan a samchouise, monplan a samchouise, monplan a samchouise, monplan a samchouise, monplan a samchouise, monplan a samuise, monplan a samuise, monplan a samuise, monplan a samuise, monplan a samuise这篇文章讨论了关于“不通过交换交换的人的交换交换的经验”的问题,主要是关于plutôt交换交换的人的交换交换的运动,交换交换的交换交换的交换。Empruntant (des des samustr de la religion comme Charles Long)和(des samustr de samustr de samustr de samustr de samustr de Noir)·(Sarah Jane Cervenak),当到达时,考虑到samustr de all ' œuvre de Brand nous提议将samustr de samustr与samustr合并,建议将samustr与samustr合并plutôt采纳samustr与samustr合并;开始的地方有不同的传统,不同的传统,不同的前程,不同的历史,不同的前程plutôt不同的前程,不同的前程,不同的前程,不同的前程。
Futile Plans: Map, Wandering, and the Study of Religion
ABSTRACT:Sometimes, plans fail. I had planned to write about how Dionne Brand’s A Map to the Door of No Return: Notes to Belonging spoke to the study of religion in various ways. But after encountering Map’s speaker on the ocean with Yemaya, my plans failed, and opened a different way of thinking about religion and its study. In this regard, this essay speaks to religion not as a category of human experience, but instead as a kind of movement that sets our categories in default. Turning to scholars of religion like Charles Long and Black studies scholars like Sarah Jane Cervenak, I eventually suggest that Map offers us wandering as a method for studying religion; instead of coming with our received categories, I suggest, we must instead adopt wandering as a method; instead of starting with traditions, beliefs, theologies and histories, we should instead insist on life—and allow that insistence to guide our study.RESUMÉ:Parfois les plans échouent. J’avais prévu d’écrire un texte sur les diverses manières dont A Map to the Door of No Return: Notes to Belonging de Dionne Brand évoque l’étude de la religion. Mais après avoir rencontré l’orateur de Map sur l’océan avec Yemaya, mon plan a échoué, et une façon différente de penser la religion et son étude s’est présentée. C’est ainsi que cet article considère la religion non pas comme une catégorie de l’expérience humaine, mais plutôt comme une sorte de mouvement qui réinitialise nos paramètres catégoriels. Empruntant à des érudits de la religion comme Charles Long et à des spécialistes des études sur les Noir·es comme Sarah Jane Cervenak, j’en arrive à considérer que l’œuvre de Brand nous propose l’errance comme méthode d’étude de la religion : au lieu d’y arriver avec nos catégories reçues, ma suggestion est que nous devons plutôt adopter l’errance comme méthode ; au lieu de commencer par les traditions, les croyances, les théologies et les histoires, nous devrions plutôt insister sur la vie – et permettre à cette insistance de guider notre étude.