{"title":"“Commence + to - infinitives” in G. Stein’s discourse","authors":"Claude Delmas","doi":"10.3406/ranam.2011.1407","DOIUrl":null,"url":null,"abstract":"Cette contribution a pour objet d’étude des énoncés contenant des occurrences du verbe anglais commence au prétérit suivi de la complémentation infinitive en to. Elle se donne pour visée de montrer dans quelle mesure se vérifient les hypothèses communes proposées dans la littérature pour expliquer quelques facettes du fonctionnement du verbe retenu et sa complémentation. L’étude tente de montrer en quoi le formalisme du verbe commence implique la relation co-énonciative en rupture. Certains des concepts utilisés sont empruntés à la théorie des «modes de discours» de C. Smith et plus particulièrement celui de glissement entre les modes. Il est montré que les dimensions textuelles et discursives peuvent éclairer certaines propriétés du sujet grammatical et de la relation prédicative infinitive prise en elle-même. S’appuyant sur certains apports des théories énonciatives françaises, l’étude tente de montrer que le statut de l’énonciateur peut lui-même faire l’objet de caractérisation et d’une mise en perspective au sein d’un mode argumentatif. L’unique exemple commenced painting du texte suggère une analyse du type identification en dépit d’une frontière plus complexe que l’explication aspectuelle souvent mise en avant.","PeriodicalId":440534,"journal":{"name":"Recherches anglaises et nord-américaines","volume":"71 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0000,"publicationDate":"2011-06-15","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":"0","resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":null,"PeriodicalName":"Recherches anglaises et nord-américaines","FirstCategoryId":"1085","ListUrlMain":"https://doi.org/10.3406/ranam.2011.1407","RegionNum":0,"RegionCategory":null,"ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":null,"EPubDate":"","PubModel":"","JCR":"","JCRName":"","Score":null,"Total":0}
引用次数: 0
Abstract
Cette contribution a pour objet d’étude des énoncés contenant des occurrences du verbe anglais commence au prétérit suivi de la complémentation infinitive en to. Elle se donne pour visée de montrer dans quelle mesure se vérifient les hypothèses communes proposées dans la littérature pour expliquer quelques facettes du fonctionnement du verbe retenu et sa complémentation. L’étude tente de montrer en quoi le formalisme du verbe commence implique la relation co-énonciative en rupture. Certains des concepts utilisés sont empruntés à la théorie des «modes de discours» de C. Smith et plus particulièrement celui de glissement entre les modes. Il est montré que les dimensions textuelles et discursives peuvent éclairer certaines propriétés du sujet grammatical et de la relation prédicative infinitive prise en elle-même. S’appuyant sur certains apports des théories énonciatives françaises, l’étude tente de montrer que le statut de l’énonciateur peut lui-même faire l’objet de caractérisation et d’une mise en perspective au sein d’un mode argumentatif. L’unique exemple commenced painting du texte suggère une analyse du type identification en dépit d’une frontière plus complexe que l’explication aspectuelle souvent mise en avant.