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Dans cet article l’auteur présente le cas d’Edouard, un fétichiste de 45 ans. Il explique pourquoi il est plus pertinent de parler de « paysage fétichique » que de « scène perverse » et soulève les enjeux éthiques d’un tel choix en s’appuyant sur l’œuvre de Georges Lanteri-Laura.