{"title":"Jean noel Pancrazi, La montagne, Madame Arnoul: 1962年的Batna,童年和战争的真实体验还是非地点的悖论?","authors":"A. Demeyère","doi":"10.46325/ellic.v1i1.11","DOIUrl":null,"url":null,"abstract":"Abstract \nLa montagne, Madame Arnoul are first-person narrative stories written by Jean-Noël Pancrazi born in 1949 in Algeria. War is described from the child’s point of view. The writer as an adult remembers « the lost child » (last words in Madame Arnoul) dealing with injustice. War is a true story. Through the recollection the war is however like a « non-lieu ». \nRésumé \nRécits à la première personne, les deux textes de l’écrivain né en 1949 en Algérie, témoignent des crimes de guerre à travers les yeux de l’enfance. Le narrateur se rappelle « l’enfant perdu » (derniers mots de Madame Arnoul) face à l’injustice. Le souvenir de la guerre est constitué de faits réels. Cependant le regard enfantin fait paradoxalement de la guerre un « non-lieu ».","PeriodicalId":210882,"journal":{"name":"Revue plurilingue : Études des Langues, Littératures et Cultures","volume":"80 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0000,"publicationDate":"2017-11-15","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":"0","resultStr":"{\"title\":\"Jean Noël Pancrazi, La montagne, Madame Arnoul : Batna en 1962, l’enfance et la guerre Expérience du réel ou paradoxe du non-lieu ?\",\"authors\":\"A. Demeyère\",\"doi\":\"10.46325/ellic.v1i1.11\",\"DOIUrl\":null,\"url\":null,\"abstract\":\"Abstract \\nLa montagne, Madame Arnoul are first-person narrative stories written by Jean-Noël Pancrazi born in 1949 in Algeria. War is described from the child’s point of view. The writer as an adult remembers « the lost child » (last words in Madame Arnoul) dealing with injustice. War is a true story. Through the recollection the war is however like a « non-lieu ». \\nRésumé \\nRécits à la première personne, les deux textes de l’écrivain né en 1949 en Algérie, témoignent des crimes de guerre à travers les yeux de l’enfance. Le narrateur se rappelle « l’enfant perdu » (derniers mots de Madame Arnoul) face à l’injustice. Le souvenir de la guerre est constitué de faits réels. Cependant le regard enfantin fait paradoxalement de la guerre un « non-lieu ».\",\"PeriodicalId\":210882,\"journal\":{\"name\":\"Revue plurilingue : Études des Langues, Littératures et Cultures\",\"volume\":\"80 1\",\"pages\":\"0\"},\"PeriodicalIF\":0.0000,\"publicationDate\":\"2017-11-15\",\"publicationTypes\":\"Journal Article\",\"fieldsOfStudy\":null,\"isOpenAccess\":false,\"openAccessPdf\":\"\",\"citationCount\":\"0\",\"resultStr\":null,\"platform\":\"Semanticscholar\",\"paperid\":null,\"PeriodicalName\":\"Revue plurilingue : Études des Langues, Littératures et Cultures\",\"FirstCategoryId\":\"1085\",\"ListUrlMain\":\"https://doi.org/10.46325/ellic.v1i1.11\",\"RegionNum\":0,\"RegionCategory\":null,\"ArticlePicture\":[],\"TitleCN\":null,\"AbstractTextCN\":null,\"PMCID\":null,\"EPubDate\":\"\",\"PubModel\":\"\",\"JCR\":\"\",\"JCRName\":\"\",\"Score\":null,\"Total\":0}","platform":"Semanticscholar","paperid":null,"PeriodicalName":"Revue plurilingue : Études des Langues, Littératures et Cultures","FirstCategoryId":"1085","ListUrlMain":"https://doi.org/10.46325/ellic.v1i1.11","RegionNum":0,"RegionCategory":null,"ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":null,"EPubDate":"","PubModel":"","JCR":"","JCRName":"","Score":null,"Total":0}
Jean Noël Pancrazi, La montagne, Madame Arnoul : Batna en 1962, l’enfance et la guerre Expérience du réel ou paradoxe du non-lieu ?
Abstract
La montagne, Madame Arnoul are first-person narrative stories written by Jean-Noël Pancrazi born in 1949 in Algeria. War is described from the child’s point of view. The writer as an adult remembers « the lost child » (last words in Madame Arnoul) dealing with injustice. War is a true story. Through the recollection the war is however like a « non-lieu ».
Résumé
Récits à la première personne, les deux textes de l’écrivain né en 1949 en Algérie, témoignent des crimes de guerre à travers les yeux de l’enfance. Le narrateur se rappelle « l’enfant perdu » (derniers mots de Madame Arnoul) face à l’injustice. Le souvenir de la guerre est constitué de faits réels. Cependant le regard enfantin fait paradoxalement de la guerre un « non-lieu ».