Nature and more specifically landscape is a space that humans inhabit and share with others, such as animals and plants as well as other products and features of the earth. Naturally, the relationship between the individual and the physical world is influenced by various factors that are subject to change. In any case, one expects that the experiences humans have in and with the environment are represented in the cultural images of nature that they create. Accordingly, literature functions as a form of artistic expression that conveys attitudes and behaviours towards the natural world.1 The art historian W. J. T. Mitchell argues that landscape can be “a medium of exchange between the human and the natural, the self and the other” while it constitutes at the same time “a natural scene mediated by culture” (Mitchell 5). This means that there is never an experience of nature that is purely sensory or physical; the perception of the landscape is also influenced by the cultural meanings and values that are imprinted on it. These impressions are based on any previous contact with and exposure to nature that is preserved either as
自然，更具体地说，景观是人类居住和与他人共享的空间，如动物和植物，以及地球的其他产品和特征。当然，个人与物质世界之间的关系受到各种因素的影响，这些因素可能会发生变化。在任何情况下，人们都希望人类在环境中以及与环境相处的经历能在他们创造的自然文化形象中得到体现。因此，文学作为一种艺术表达形式，传递着人们对自然世界的态度和行为艺术史学家w·j·t·米切尔(W. J. T. Mitchell)认为，风景可以是“人与自然、自我与他人之间交流的媒介”，同时它也构成了“一种由文化介导的自然景象”(米切尔5)。这意味着，从来没有一种纯粹的感官或物理的自然体验;对景观的感知也受到其文化意义和价值观的影响。这些印象是建立在以前与自然的接触和接触的基础上的
{"title":"Landscapes between Heaven and Hell in the Old English Guthlac Material","authors":"V. Klose","doi":"10.17875/GUP2021-1744","DOIUrl":"https://doi.org/10.17875/GUP2021-1744","url":null,"abstract":"Nature and more specifically landscape is a space that humans inhabit and share with others, such as animals and plants as well as other products and features of the earth. Naturally, the relationship between the individual and the physical world is influenced by various factors that are subject to change. In any case, one expects that the experiences humans have in and with the environment are represented in the cultural images of nature that they create. Accordingly, literature functions as a form of artistic expression that conveys attitudes and behaviours towards the natural world.1 The art historian W. J. T. Mitchell argues that landscape can be “a medium of exchange between the human and the natural, the self and the other” while it constitutes at the same time “a natural scene mediated by culture” (Mitchell 5). This means that there is never an experience of nature that is purely sensory or physical; the perception of the landscape is also influenced by the cultural meanings and values that are imprinted on it. These impressions are based on any previous contact with and exposure to nature that is preserved either as","PeriodicalId":178513,"journal":{"name":"Göttinger Schriften zur Englischen Philologie","volume":"18 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"122822020","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Prisoners of a Digital World","authors":"Marcel-André Abraham","doi":"10.17875/gup2023-2215","DOIUrl":"https://doi.org/10.17875/gup2023-2215","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":178513,"journal":{"name":"Göttinger Schriften zur Englischen Philologie","volume":"76 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"121177126","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 1900-01-01DOI: 10.1215/9781478003335-090
Jean-Jacques Gandini
ÀLA FIN DE LA PREMIÈRE GUERRE MONDIALE, LES VAINQUEURS démembrèrent le vieil Empire Ottoman et reconfigurèrent le Proche Orient avec les États artificiels que nous connaissons aujourd’hui. Le peuple kurde fut assigné à vivre comme des minorités en Turquie, Syrie, Irak et Iran. Dès lors, il a souffert la plupart du temps entre les mains de ces États, en étant persécuté et voyant niés ses droits culturels et humains fondamentaux par des régimes autoritaires qui réprimaient brutalement leurs rebellions périodiques. L’exception, c’est le Gouvernement Régional Kurde en Irak qui bénéficie maintenant d’un statut d’autonomie. Par suite de cette persécution, le PKK – Parti des Travailleurs du Kurdistan – fut créé en 1978 en tant que mouvement armé pour combattre en faveur d’un État kurde séparé avec une idéologie marxiste-léniniste. Sa guerre avec l’État turc a commencé en 1984 et a continué jusqu’à maintenant, à part plusieurs cessez-le-feu du côté kurde. Une telle organisation ne pouvait par aucun moyen se maintenir en Turquie et en conséquence en 1980, sous la direction de son co-fondateur et « guide naturel », Abdullah Öcalan, elle fuit en Syrie. Les militants kurdes vont s’y concentrer, tout en suivant une formation militaire et politique dans la vallée de la Bekaa au Liban. En 1998 la Turquie exige que la Syrie cesse d’héberger le PKK et Hafez Al-Assad obtempère. Le centre de gravité du mouvement va alors se déplacer vers les Monts Qandil situés au nord de l’Irak. Ocalan est arrêté en 1999, jugé à Istanbul et condamné à la prison à vie, à l’isolement forcé. Depuis sa prison Ocalan repensa l’idéologie et les aspirations du PKK. Il arriva à la conclusion qu’il n’était plus question d’être encore marxiste ou de chercher à obtenir un État indépendant. À partir de là, on devait réprouver totalement la notion d’État-nation, Dossier
{"title":"Refractions","authors":"Jean-Jacques Gandini","doi":"10.1215/9781478003335-090","DOIUrl":"https://doi.org/10.1215/9781478003335-090","url":null,"abstract":"ÀLA FIN DE LA PREMIÈRE GUERRE MONDIALE, LES VAINQUEURS démembrèrent le vieil Empire Ottoman et reconfigurèrent le Proche Orient avec les États artificiels que nous connaissons aujourd’hui. Le peuple kurde fut assigné à vivre comme des minorités en Turquie, Syrie, Irak et Iran. Dès lors, il a souffert la plupart du temps entre les mains de ces États, en étant persécuté et voyant niés ses droits culturels et humains fondamentaux par des régimes autoritaires qui réprimaient brutalement leurs rebellions périodiques. L’exception, c’est le Gouvernement Régional Kurde en Irak qui bénéficie maintenant d’un statut d’autonomie. Par suite de cette persécution, le PKK – Parti des Travailleurs du Kurdistan – fut créé en 1978 en tant que mouvement armé pour combattre en faveur d’un État kurde séparé avec une idéologie marxiste-léniniste. Sa guerre avec l’État turc a commencé en 1984 et a continué jusqu’à maintenant, à part plusieurs cessez-le-feu du côté kurde. Une telle organisation ne pouvait par aucun moyen se maintenir en Turquie et en conséquence en 1980, sous la direction de son co-fondateur et « guide naturel », Abdullah Öcalan, elle fuit en Syrie. Les militants kurdes vont s’y concentrer, tout en suivant une formation militaire et politique dans la vallée de la Bekaa au Liban. En 1998 la Turquie exige que la Syrie cesse d’héberger le PKK et Hafez Al-Assad obtempère. Le centre de gravité du mouvement va alors se déplacer vers les Monts Qandil situés au nord de l’Irak. Ocalan est arrêté en 1999, jugé à Istanbul et condamné à la prison à vie, à l’isolement forcé. Depuis sa prison Ocalan repensa l’idéologie et les aspirations du PKK. Il arriva à la conclusion qu’il n’était plus question d’être encore marxiste ou de chercher à obtenir un État indépendant. À partir de là, on devait réprouver totalement la notion d’État-nation, Dossier","PeriodicalId":178513,"journal":{"name":"Göttinger Schriften zur Englischen Philologie","volume":"1 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"130756821","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
京公网安备 11010802042870号
京ICP备2023020795号-1
扫码关注我们
求助内容：
应助结果提醒方式：