Pub Date : 1976-11-01DOI: 10.1051/PARASITE/1976516625
B. Beauvais, Garin Jf, M. Lariviere, G. Languillat, H. Galal
Les toxoplasmes peuvent etre transmis par voie transfusionnelle : si la transfusion a partir de donneurs sains fait courir un risque limite aux receveurs, en raison de la parasitemie generalement breve, de l’immunisation rapide du sujet infecte contre son parasite eliminant ainsi la possibilite de rechutes, d’une primoinfection habituellement precoce en France rendant probable l’immunite des donneurs qui sont le plus souvent des adultes, les transfusions, a partir des donneurs de globules blancs atteints de leucemie myeloide chronique, font courir un risque infiniment plus grand : leurs mecanismes de defenses immunitaires etant alteres, l’apparition au cours de l’evolution de leur maladie d’une primoinfection toxoplasmique est plus frequente ; une reprise evolutive chez des sujets anciennement infectes est possible. En consequence, la presence des parasites dans le sang de ces malades est plus souvent a craindre.62 malades atteints le leucemie myeloide chronique ont eu des tests serologiques de la toxoplasmose avant toute chimiotherapie immunodepressive : 7 avaient un titre d’anticorps eleve, avec seulement dans un cas presence d’IgM. Par l’inoculation des leucocytes de 6 d’entre eux a la Souris, la preuve de l’existence d’une parasitemie chez 4 malades a ete apportee.Les donneurs atteints de leucemie myeloide chronique, a serologie toxoplasmique elevee meme stable et sans IgM, sont donc des donneurs potentiellement dangereux. Une toxoplasmose aigue chez une petite fille, ayant recu des leucocytes provenant d’un de ces 4 donneurs, a pu etre prouvee d’une maniere indiscutable. Il est donc necessaire d’une part d’eliminer, dans la mesure du possible, ces sujets en tant que donneurs, d’autre part, de poursuivre les investigations en recherchant l’existence d’une parasitemie chez tous les donneurs atteints de leucemie myeloide chronique quel que soit le taux de leurs anticorps : si elle s’avere frequente, un traitement par la spiramycine sulfadiazine, qui semble avoir une bonne efficacite sur la parasitemie, devra etre donne systematiquement durant quelques jours avant le debut des leucophereses.
{"title":"Toxoplasmosis and transfusion","authors":"B. Beauvais, Garin Jf, M. Lariviere, G. Languillat, H. Galal","doi":"10.1051/PARASITE/1976516625","DOIUrl":"https://doi.org/10.1051/PARASITE/1976516625","url":null,"abstract":"Les toxoplasmes peuvent etre transmis par voie transfusionnelle : si la transfusion a partir de donneurs sains fait courir un risque limite aux receveurs, en raison de la parasitemie generalement breve, de l’immunisation rapide du sujet infecte contre son parasite eliminant ainsi la possibilite de rechutes, d’une primoinfection habituellement precoce en France rendant probable l’immunite des donneurs qui sont le plus souvent des adultes, les transfusions, a partir des donneurs de globules blancs atteints de leucemie myeloide chronique, font courir un risque infiniment plus grand : leurs mecanismes de defenses immunitaires etant alteres, l’apparition au cours de l’evolution de leur maladie d’une primoinfection toxoplasmique est plus frequente ; une reprise evolutive chez des sujets anciennement infectes est possible. En consequence, la presence des parasites dans le sang de ces malades est plus souvent a craindre.62 malades atteints le leucemie myeloide chronique ont eu des tests serologiques de la toxoplasmose avant toute chimiotherapie immunodepressive : 7 avaient un titre d’anticorps eleve, avec seulement dans un cas presence d’IgM. Par l’inoculation des leucocytes de 6 d’entre eux a la Souris, la preuve de l’existence d’une parasitemie chez 4 malades a ete apportee.Les donneurs atteints de leucemie myeloide chronique, a serologie toxoplasmique elevee meme stable et sans IgM, sont donc des donneurs potentiellement dangereux. Une toxoplasmose aigue chez une petite fille, ayant recu des leucocytes provenant d’un de ces 4 donneurs, a pu etre prouvee d’une maniere indiscutable. Il est donc necessaire d’une part d’eliminer, dans la mesure du possible, ces sujets en tant que donneurs, d’autre part, de poursuivre les investigations en recherchant l’existence d’une parasitemie chez tous les donneurs atteints de leucemie myeloide chronique quel que soit le taux de leurs anticorps : si elle s’avere frequente, un traitement par la spiramycine sulfadiazine, qui semble avoir une bonne efficacite sur la parasitemie, devra etre donne systematiquement durant quelques jours avant le debut des leucophereses.","PeriodicalId":387873,"journal":{"name":"Annales de parasitologie humaine et comparée","volume":null,"pages":null},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1976-11-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"115206393","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 1974-09-01DOI: 10.1051/PARASITE/1974495567
M. Durette-Desset, G. Batcharov
{"title":"[Two nematodes parasites of amphibian from Togo (author's transl)].","authors":"M. Durette-Desset, G. Batcharov","doi":"10.1051/PARASITE/1974495567","DOIUrl":"https://doi.org/10.1051/PARASITE/1974495567","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":387873,"journal":{"name":"Annales de parasitologie humaine et comparée","volume":null,"pages":null},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1974-09-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"115972620","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 1974-09-01DOI: 10.1051/PARASITE/1974495577
Nicole Léger, J. A. Rioux, H. Croset, Soussi Mc, N. Benmansour
{"title":"The complex Sergentomyia (Sergentomyia) antennata","authors":"Nicole Léger, J. A. Rioux, H. Croset, Soussi Mc, N. Benmansour","doi":"10.1051/PARASITE/1974495577","DOIUrl":"https://doi.org/10.1051/PARASITE/1974495577","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":387873,"journal":{"name":"Annales de parasitologie humaine et comparée","volume":null,"pages":null},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1974-09-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"120952651","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 1974-09-01DOI: 10.1051/PARASITE/1974495641
B. Skierska
En se basant sur les recherches de quelques annees, on a constate la presence habituelle de Ceratopogonides hematophages dans les terrains cotiers. On a defini les types des gites larvaires, on a examine les conditions du developpement des larves dans les gites sales, ainsi que le degre et les conditions d’agressivite des femelles aux appâts humains et animaux.
{"title":"[Ceratopogonidae from the Polish coast (author's transl)].","authors":"B. Skierska","doi":"10.1051/PARASITE/1974495641","DOIUrl":"https://doi.org/10.1051/PARASITE/1974495641","url":null,"abstract":"En se basant sur les recherches de quelques annees, on a constate la presence habituelle de Ceratopogonides hematophages dans les terrains cotiers. On a defini les types des gites larvaires, on a examine les conditions du developpement des larves dans les gites sales, ainsi que le degre et les conditions d’agressivite des femelles aux appâts humains et animaux.","PeriodicalId":387873,"journal":{"name":"Annales de parasitologie humaine et comparée","volume":null,"pages":null},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1974-09-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"117303288","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 1973-11-01DOI: 10.1051/PARASITE/1973486819
A. Chabaud, O. Bain
Description de Lukonema lukoschusi n. gen. n. sp., Nematode Muspiceidae vivant dans la membrane uropatagiale de divers Chiropteres de Surinam et de Guyane francaise.Proche de Muspicea, parasite de Souris, et de Riouxgolvania, parasite de Chiropteres europeens, Lukonema est caracterise par un canal œsophagien et un stichosome non atrophies, un trophosome constitue a partir de l’intestin, un appareil osmo-excreteur paraissant forme a partir du systeme glandulaire œsophagien, une paire de grandes cellules phasmidoides qui pourraient jouer un role dans la nutrition.La spermatogenese s’effectue chez des specimens longs de 1 mm environ dans un tube impair, median ; l’ovogenese a lieu dans deux ovaires qui apparaissent tardivement a chaque pole du tube ou s’est effectue la spermatogenese. L’ovejecteur, bien developpe, s’ouvre au milieu du corps.Les larves emigrent vers l’avant, dans un canal constitue par le decollement d’une couche externe de la cuticule, et sortent par la perforation epidermique effectuee par la tete de la femelle mure.Les larves semblent avoir besoin, pour devenir infestantes, de sejourner dans le milieu exterieur. Elles infestent vraisemblablement un nouvel hote accroche aux parois de la grotte, par penetration cutanee au niveau des pattes posterieures.Les resultats des experiences effectuees par Brumpt sur Muspicea s’expliquent aisement si l’on admet le meme cycle evolutif pour les deux genres, l’infestation s’effectuant cette fois par voie digestive. Pour Muspicea, les souris s’infesteraient donc par lechage, en ingerant les larves circulant a la surface de la peau et non par cannibalisme.
Lukonema lukoschusi n. gen. n. sp.的描述,一种生活在苏里南和法属圭亚那各种手翅目尿病膜中的粘虫科线虫。Muspicea附近,鼠标的寄生虫,寄生虫和Riouxgolvania、欧洲Chiropteres Lukonema食道caracterise由一条运河和一个非atrophies stichosome trophosome构成了从肠道系统的形式发行,一架osmo-excreteur起了食道腺,一双大phasmidoides细胞营养中可能发挥的作用。精子发生发生在长度约1毫米的标本中,在一个奇数的中管中;卵发生在两个卵巢中,在精子发生的管的每个极晚出现。发育良好的卵泡在身体中部打开。幼虫在外层角质层脱落形成的通道中向前迁移,并通过成熟雌性头部的表皮穿孔离开。为了成为害虫,幼虫似乎需要呆在外部环境中。它们很可能通过后腿的皮肤穿透附着在洞穴墙壁上的新宿主。Brumpt在Muspicea上进行的实验的结果很容易解释,假设这两个属的进化周期相同,虫害是通过消化途径发生的。根据Muspicea的说法,老鼠是通过挤奶来感染自己的,通过摄入在皮肤表面循环的幼虫,而不是通过同类相食。
{"title":"[New data on the biology of the Nematodes Muspiceidae, provided by the study of a parasite of Chiroptera: Lukonema lukoschusi n. gen., n. sp].","authors":"A. Chabaud, O. Bain","doi":"10.1051/PARASITE/1973486819","DOIUrl":"https://doi.org/10.1051/PARASITE/1973486819","url":null,"abstract":"Description de Lukonema lukoschusi n. gen. n. sp., Nematode Muspiceidae vivant dans la membrane uropatagiale de divers Chiropteres de Surinam et de Guyane francaise.Proche de Muspicea, parasite de Souris, et de Riouxgolvania, parasite de Chiropteres europeens, Lukonema est caracterise par un canal œsophagien et un stichosome non atrophies, un trophosome constitue a partir de l’intestin, un appareil osmo-excreteur paraissant forme a partir du systeme glandulaire œsophagien, une paire de grandes cellules phasmidoides qui pourraient jouer un role dans la nutrition.La spermatogenese s’effectue chez des specimens longs de 1 mm environ dans un tube impair, median ; l’ovogenese a lieu dans deux ovaires qui apparaissent tardivement a chaque pole du tube ou s’est effectue la spermatogenese. L’ovejecteur, bien developpe, s’ouvre au milieu du corps.Les larves emigrent vers l’avant, dans un canal constitue par le decollement d’une couche externe de la cuticule, et sortent par la perforation epidermique effectuee par la tete de la femelle mure.Les larves semblent avoir besoin, pour devenir infestantes, de sejourner dans le milieu exterieur. Elles infestent vraisemblablement un nouvel hote accroche aux parois de la grotte, par penetration cutanee au niveau des pattes posterieures.Les resultats des experiences effectuees par Brumpt sur Muspicea s’expliquent aisement si l’on admet le meme cycle evolutif pour les deux genres, l’infestation s’effectuant cette fois par voie digestive. Pour Muspicea, les souris s’infesteraient donc par lechage, en ingerant les larves circulant a la surface de la peau et non par cannibalisme.","PeriodicalId":387873,"journal":{"name":"Annales de parasitologie humaine et comparée","volume":null,"pages":null},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1973-11-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"114325534","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 1973-03-01DOI: 10.1051/PARASITE/1973482263
R. Dollfus
La famille Monodhelminthidae a compris, a l’origine, un seul genre et une seule espece, decrits d’apres un unique specimen, recolte dans un Selacien qui fut reconnu etre un hote accidentel. L’hote normal etait un Siluriforme : Arius heudeloti (Valenciennes) et, chez celui-ci, de nombreux individus etaient presents dans l’intestin ; leur etude a permis de donner une nouvelle description de l’espece-type du genre Monodhelmis. D’autres genres et especes ont ete places dans la famille ; une liste en est donnee avec mention des hotes et de leur origine geographique. Les Tandanicolinae ont ete separes par Skrjabin des Monodhelminthidae et cette separation a ete acceptee. Le groupe Monodhelminthidae + Tandanicolidae est essentiellement caracterise par un organe particulier, 1’« accessory reproductive organ », dont la structure varie selon l’espece.
{"title":"The genus Monodhelmis R.Ph. Dolfuss 1937 and the family Monodhelminthidae","authors":"R. Dollfus","doi":"10.1051/PARASITE/1973482263","DOIUrl":"https://doi.org/10.1051/PARASITE/1973482263","url":null,"abstract":"La famille Monodhelminthidae a compris, a l’origine, un seul genre et une seule espece, decrits d’apres un unique specimen, recolte dans un Selacien qui fut reconnu etre un hote accidentel. L’hote normal etait un Siluriforme : Arius heudeloti (Valenciennes) et, chez celui-ci, de nombreux individus etaient presents dans l’intestin ; leur etude a permis de donner une nouvelle description de l’espece-type du genre Monodhelmis. D’autres genres et especes ont ete places dans la famille ; une liste en est donnee avec mention des hotes et de leur origine geographique. Les Tandanicolinae ont ete separes par Skrjabin des Monodhelminthidae et cette separation a ete acceptee. Le groupe Monodhelminthidae + Tandanicolidae est essentiellement caracterise par un organe particulier, 1’« accessory reproductive organ », dont la structure varie selon l’espece.","PeriodicalId":387873,"journal":{"name":"Annales de parasitologie humaine et comparée","volume":null,"pages":null},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1973-03-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"128089243","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 1973-03-01DOI: 10.1051/PARASITE/1973482359
C. Dupuis
Une liaison ecologique constante entre un Diptere Phasiinae parasite, son Heteroptere hote et la plante nourriciere de celui-ci avait ete demontree precedemment dans le cas de Gymnosoma intermedia. Ce type de liaison est illustre ici par les cas nouveaux de deux especes dont les hotes demeuraient encore inconnus : Phania pseudofunesta, parasite de Legnotus limbosus sur les Galium et Dionaea aurifrons, parasite de Dicranocephalus agilis sur les Euphorbia. L’auteur insiste sur les methodes, tant d’observation sur le terrain que d’experimentation, qui l’ont conduit a ces resultats a la Station de Parasitologie de Richelieu. Pour fixer correctement le statut taxinomique et nomenclatorial des deux Phasiinae, il est necessaire d’introduire les novations suivantes : Weberia (R.D., non auct.) digramma (Mg.) nov. comb. = Lepidosyntoma digramma nov. syn. ; Phaniaba nom. gener. nov. pro « Phania » vittata Meig., sp. typica ; Dionaea aurulans R.D., sp. rediviva distincta = D. flavisquamis R.D., nov. syn.
{"title":"[Study of Phasiinae cimicophages (Diptera Tachinidae). 38.-Dependancy upon the feeding plant of the host in Phania pseudofunesta (Villen.) and Dionaea aurifrons (Mg.) with comments on nomenclature and taxonomy].","authors":"C. Dupuis","doi":"10.1051/PARASITE/1973482359","DOIUrl":"https://doi.org/10.1051/PARASITE/1973482359","url":null,"abstract":"Une liaison ecologique constante entre un Diptere Phasiinae parasite, son Heteroptere hote et la plante nourriciere de celui-ci avait ete demontree precedemment dans le cas de Gymnosoma intermedia. Ce type de liaison est illustre ici par les cas nouveaux de deux especes dont les hotes demeuraient encore inconnus : Phania pseudofunesta, parasite de Legnotus limbosus sur les Galium et Dionaea aurifrons, parasite de Dicranocephalus agilis sur les Euphorbia. L’auteur insiste sur les methodes, tant d’observation sur le terrain que d’experimentation, qui l’ont conduit a ces resultats a la Station de Parasitologie de Richelieu. Pour fixer correctement le statut taxinomique et nomenclatorial des deux Phasiinae, il est necessaire d’introduire les novations suivantes : Weberia (R.D., non auct.) digramma (Mg.) nov. comb. = Lepidosyntoma digramma nov. syn. ; Phaniaba nom. gener. nov. pro « Phania » vittata Meig., sp. typica ; Dionaea aurulans R.D., sp. rediviva distincta = D. flavisquamis R.D., nov. syn.","PeriodicalId":387873,"journal":{"name":"Annales de parasitologie humaine et comparée","volume":null,"pages":null},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1973-03-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"121324945","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 1973-03-01DOI: 10.1051/PARASITE/1973483429
M. Wéry, P. V. Wettere
Les auteurs decrivent brievement leurs observations epidemiologiques pour la trypanosomiase dans un biotope isole constitue par un rassemblement artificiel de malades (leproserie). Les inconvenients de ce genre d’agglomerations sedentaires sont analyses.La presence des trypanosomes a ete recherchee chez 500 glossines non tenerales, en examinant toutes les portions du tube digestif et chez tous les habitants par la serologie sur sang seche (immunofluorescence).
{"title":"Epidemiology in a hyperendemic region of sleeping sickness (T. gambiense) in the region of Kasongo","authors":"M. Wéry, P. V. Wettere","doi":"10.1051/PARASITE/1973483429","DOIUrl":"https://doi.org/10.1051/PARASITE/1973483429","url":null,"abstract":"Les auteurs decrivent brievement leurs observations epidemiologiques pour la trypanosomiase dans un biotope isole constitue par un rassemblement artificiel de malades (leproserie). Les inconvenients de ce genre d’agglomerations sedentaires sont analyses.La presence des trypanosomes a ete recherchee chez 500 glossines non tenerales, en examinant toutes les portions du tube digestif et chez tous les habitants par la serologie sur sang seche (immunofluorescence).","PeriodicalId":387873,"journal":{"name":"Annales de parasitologie humaine et comparée","volume":null,"pages":null},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1973-03-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"134531905","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 1972-05-01DOI: 10.1051/PARASITE/1972473413
J. Rioux, G. Lanotte, H. Croset, J. Dedet
En complement de leur enquete ecologique sur l’endemie leishmanienne en France, les auteurs etudient le pouvoir infestant des diverses formes cliniques de Leishmaniose canine vis-a-vis du vecteur habituel, Phlebotomus ariasi Tonnoir, 1921.Les chiens leishmaniens en phase infra-clinique ne sont que tres faiblement contagieux alors qu’en periode d’etat ils infestent le vecteur dans les proportions de 70 a 80 %. Les animaux traites par les Diamidines conservent intact leur pouvoir infestant, tout au moins dans les premieres semaines qui suivent la fin de la cure. Par ailleurs, le calcul de la densite des chiens infestants (0,09 km2 ) dans un microfoyer des Cevennes meridionales montre que la distance entre deux animaux atteints est suffisamment faible (3,3 km) pour expliquer la circulation de l’affection par le seul deplacement actif du reservoir domestique.
{"title":"Ecology of leishmaniasis in the south of France. 5. Comparative infectious ability of the different forms of canine leishmaniasis as related to Phlebotomus ariasi Tonnoir 1921","authors":"J. Rioux, G. Lanotte, H. Croset, J. Dedet","doi":"10.1051/PARASITE/1972473413","DOIUrl":"https://doi.org/10.1051/PARASITE/1972473413","url":null,"abstract":"En complement de leur enquete ecologique sur l’endemie leishmanienne en France, les auteurs etudient le pouvoir infestant des diverses formes cliniques de Leishmaniose canine vis-a-vis du vecteur habituel, Phlebotomus ariasi Tonnoir, 1921.Les chiens leishmaniens en phase infra-clinique ne sont que tres faiblement contagieux alors qu’en periode d’etat ils infestent le vecteur dans les proportions de 70 a 80 %. Les animaux traites par les Diamidines conservent intact leur pouvoir infestant, tout au moins dans les premieres semaines qui suivent la fin de la cure. Par ailleurs, le calcul de la densite des chiens infestants (0,09 km2 ) dans un microfoyer des Cevennes meridionales montre que la distance entre deux animaux atteints est suffisamment faible (3,3 km) pour expliquer la circulation de l’affection par le seul deplacement actif du reservoir domestique.","PeriodicalId":387873,"journal":{"name":"Annales de parasitologie humaine et comparée","volume":null,"pages":null},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1972-05-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"124928080","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 1970-07-01DOI: 10.1051/PARASITE/1970454509
Monique Thibaut
Sur milieu de Sabouraud gelose glucose, a la temperature du laboratoire, la croissance du Sporotrichum schenckii (Hetkoen et Perkins, 1900) est visible en trois a quatre jours. Les colonies sont d’abord petites et blanches. Lorsque la croissance commence, la surface de la colonie devient humide, plissee et membraneuse. La couleur peut varier du creme au noir. Microscopiquement, les hyphes delicates, ramifiees et septees portent des conidies lateralement ou en bouquets terminaux sur les rameaux lateraux.
在实验室温度下,在Sabouraud凝胶葡萄糖培养基上,申克孢子虫(Hetkoen and Perkins, 1900)的生长可以在3到4天内看到。蜂群最初很小,白色。当生长开始时,菌落表面变得潮湿、有褶皱和膜状。颜色可以从奶油色到黑色不等。微观上,纤细的,分枝的和七叶的菌丝在侧面有分生孢子或在侧面的小枝上有末端的花束。
{"title":"[Morphologic study of mycelian phases of Sporotrichum schenckii (Hetkoen and Perkins, 1900) in photonic microscopy].","authors":"Monique Thibaut","doi":"10.1051/PARASITE/1970454509","DOIUrl":"https://doi.org/10.1051/PARASITE/1970454509","url":null,"abstract":"Sur milieu de Sabouraud gelose glucose, a la temperature du laboratoire, la croissance du Sporotrichum schenckii (Hetkoen et Perkins, 1900) est visible en trois a quatre jours. Les colonies sont d’abord petites et blanches. Lorsque la croissance commence, la surface de la colonie devient humide, plissee et membraneuse. La couleur peut varier du creme au noir. Microscopiquement, les hyphes delicates, ramifiees et septees portent des conidies lateralement ou en bouquets terminaux sur les rameaux lateraux.","PeriodicalId":387873,"journal":{"name":"Annales de parasitologie humaine et comparée","volume":null,"pages":null},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1970-07-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"123530238","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}