{"title":"La réforme Kossyguine-Liberman : vers l’amélioration de la production industrielle en URSS","authors":"B. Vinogradov","doi":"10.3917/parl2.039.0157","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/parl2.039.0157","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":392578,"journal":{"name":"Parlement[s], Revue d'histoire politique","volume":"78 3","pages":""},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-02-07","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"139854908","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Christophe Batardy , Le Programme commun de la gauche (1972-1977). C’était le temps des programmes , Bordeaux, Presses Universitaires de Bordeaux, 2021, 512 p.","authors":"Matthieu Trouvé","doi":"10.3917/parl2.039.0298","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/parl2.039.0298","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":392578,"journal":{"name":"Parlement[s], Revue d'histoire politique","volume":"18 2","pages":""},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-02-07","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"139854341","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Pour une histoire socio-politique du gouvernement soviétique après Staline","authors":"Sylvain Dufraisse, Sophie Momzikoff","doi":"10.3917/parl2.039.0011","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/parl2.039.0011","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":392578,"journal":{"name":"Parlement[s], Revue d'histoire politique","volume":"5 1","pages":""},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-02-07","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"139854578","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Christophe Batardy , Le Programme commun de la gauche (1972-1977). C’était le temps des programmes , Bordeaux, Presses Universitaires de Bordeaux, 2021, 512 p.","authors":"Matthieu Trouvé","doi":"10.3917/parl2.039.0298","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/parl2.039.0298","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":392578,"journal":{"name":"Parlement[s], Revue d'histoire politique","volume":"10 4","pages":""},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-02-07","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"139794727","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Marion Brétéché et Héloïse Hermant (dir.), Parole d’experts. Une histoire sociale du politique (Europe, xvi e - xviii e siècle) , Rennes, PUR, 2021, 312 p.","authors":"Juliette Deloye","doi":"10.3917/parl2.039.0289","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/parl2.039.0289","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":392578,"journal":{"name":"Parlement[s], Revue d'histoire politique","volume":"106 2","pages":""},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-02-07","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"139794755","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Cette contribution s’intéresse au destin des troupes soviétiques présentes dans les trois États baltes (Estonie, Lettonie, Lituanie), durant la période de transition qui signe la sortie de l’empire soviétique, de 1990, annonce unilatérale d’indépendance de ces trois républiques, jusqu’à 1994, qui règle la question du départ des forces militaires, désormais devenues russes, en Baltique. Durant quatre années donc, les Baltes doivent compter avec la présence de 170 000 hommes, qu’ils perçoivent comme des troupes d’occupations. Cet article a donc pour objectif d’étudier les mutations des pratiques soviétiques, puis russes, vis-à-vis de l’outil militaire. À l’origine outil de contrôle, de protection des frontières orientales de l’URSS et d’administration des territoires baltes longtemps rétifs à l’ordre soviétique, il s’agira d’étudier dans quelle mesure ces troupes deviennent un instrument de négociation pour conserver une certaine influence dans la région et négocier au mieux le retrait impérial soviétique. La présente contribution entendra par conséquent rendre compte des nouvelles pratiques de la diplomatie russe durant cette période de passage d’un ordre international à l’autre, en s’appuyant sur des archives du Conseil de l’Europe, de la CSCE, de la CIA, du Département d’État américain et des archives de la Banque centrale russe.
{"title":"Gérer les « traces » de l’empire soviétique. Le district militaire de la Baltique : d’un outil de commandement et de contrôle à un outil de pression diplomatique ? (1945-1994)","authors":"Sophie Momzikoff","doi":"10.3917/parl2.039.0105","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/parl2.039.0105","url":null,"abstract":"Cette contribution s’intéresse au destin des troupes soviétiques présentes dans les trois États baltes (Estonie, Lettonie, Lituanie), durant la période de transition qui signe la sortie de l’empire soviétique, de 1990, annonce unilatérale d’indépendance de ces trois républiques, jusqu’à 1994, qui règle la question du départ des forces militaires, désormais devenues russes, en Baltique. Durant quatre années donc, les Baltes doivent compter avec la présence de 170 000 hommes, qu’ils perçoivent comme des troupes d’occupations. Cet article a donc pour objectif d’étudier les mutations des pratiques soviétiques, puis russes, vis-à-vis de l’outil militaire. À l’origine outil de contrôle, de protection des frontières orientales de l’URSS et d’administration des territoires baltes longtemps rétifs à l’ordre soviétique, il s’agira d’étudier dans quelle mesure ces troupes deviennent un instrument de négociation pour conserver une certaine influence dans la région et négocier au mieux le retrait impérial soviétique. La présente contribution entendra par conséquent rendre compte des nouvelles pratiques de la diplomatie russe durant cette période de passage d’un ordre international à l’autre, en s’appuyant sur des archives du Conseil de l’Europe, de la CSCE, de la CIA, du Département d’État américain et des archives de la Banque centrale russe.","PeriodicalId":392578,"journal":{"name":"Parlement[s], Revue d'histoire politique","volume":"147 9","pages":""},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-02-07","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"139855662","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
L’autonomie politique des municipalités soviétiques était fragile et changeante. Cet article étudie cette question à partir du cas de Riga, capitale de la république lettone, à l’époque khrouchtchévienne, dans le domaine de la délivrance de permis de résidence. Parce que ce domaine ne faisait a priori pas partie des compétences municipales et n’était pas concerné par les politiques de décentralisation, les initiatives municipales ont été dénoncées et défendues. Cet article se saisit des nombreux échanges conservés à ce sujet dans les archives pour montrer plusieurs ressorts de cette autonomie et apporter un nouvel éclairage sur les politiques d’exclusion soviétiques de la fin des années 1950.
{"title":"Autonomie municipale et ingénierie sociale. Riga, 1956-1959","authors":"E. Le Bourhis","doi":"10.3917/parl2.039.0085","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/parl2.039.0085","url":null,"abstract":"L’autonomie politique des municipalités soviétiques était fragile et changeante. Cet article étudie cette question à partir du cas de Riga, capitale de la république lettone, à l’époque khrouchtchévienne, dans le domaine de la délivrance de permis de résidence. Parce que ce domaine ne faisait a priori pas partie des compétences municipales et n’était pas concerné par les politiques de décentralisation, les initiatives municipales ont été dénoncées et défendues. Cet article se saisit des nombreux échanges conservés à ce sujet dans les archives pour montrer plusieurs ressorts de cette autonomie et apporter un nouvel éclairage sur les politiques d’exclusion soviétiques de la fin des années 1950.","PeriodicalId":392578,"journal":{"name":"Parlement[s], Revue d'histoire politique","volume":"62 11","pages":""},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-02-07","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"139857155","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Effritement idéologique, érosion patrimoniale. L’Oukase « Sur la répression des profanations de monuments liés à l’histoire de l’État et à ses symboles », 1990","authors":"J. Deschepper","doi":"10.3917/parl2.039.0191","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/parl2.039.0191","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":392578,"journal":{"name":"Parlement[s], Revue d'histoire politique","volume":"32 50","pages":""},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-02-07","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"139795695","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Dans la vie politique française, le nom de Simone Veil est associé au vote de la loi sur l’Interruption volontaire de grossesse en 1974. Entrée en politique tardivement en devenant d’emblée ministre en 1974, Simone Veil a mené d’autres combats politiques mais sans jamais exercer un mandat national et sans adhérer avant 1995 à un parti politique, l’UDF. Son positionnement politique, comme celui de son mari Antoine Veil, est demeuré centriste dans une France bipolarisée. Ses archives confirment ses actions pour les droits des femmes, notamment pour la parité en politique, sa lutte contre l’extrême droite et le racisme ainsi que ses positions, moins connues, pour une révision des institutions de la V e République dont elle dénonce la pratique et souhaite le remplacement par un régime présidentiel.
{"title":"Le parcours de Simone Veil (1927-2017) dans la vie politique française","authors":"B. Lachaise","doi":"10.3917/parl2.039.0269","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/parl2.039.0269","url":null,"abstract":"Dans la vie politique française, le nom de Simone Veil est associé au vote de la loi sur l’Interruption volontaire de grossesse en 1974. Entrée en politique tardivement en devenant d’emblée ministre en 1974, Simone Veil a mené d’autres combats politiques mais sans jamais exercer un mandat national et sans adhérer avant 1995 à un parti politique, l’UDF. Son positionnement politique, comme celui de son mari Antoine Veil, est demeuré centriste dans une France bipolarisée. Ses archives confirment ses actions pour les droits des femmes, notamment pour la parité en politique, sa lutte contre l’extrême droite et le racisme ainsi que ses positions, moins connues, pour une révision des institutions de la V e République dont elle dénonce la pratique et souhaite le remplacement par un régime présidentiel.","PeriodicalId":392578,"journal":{"name":"Parlement[s], Revue d'histoire politique","volume":"50 6","pages":""},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-02-07","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"139854752","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
En 1839, Alexis de Tocqueville se lance en politique. Et il le fait avec le projet d’installer dans la France de la monarchie de Juillet ce qu’il appelle une « démocratie modérée ». S’il reste un député isolé, ce qu’il est au début des années 1840, il ne peut atteindre cet objectif. Il lui faut donc prendre les commandes d’un parti. Et c’est ce qu’il tente de faire une première fois, en 1842, en intégrant l’équipe dirigeante de la Gauche dynastique puis, une seconde fois, cinq ans plus tard, en créant sa propre organisation, la Jeune Gauche. Bilan : deux stratégies et deux échecs. Tocqueville rêvait d’un parti aux idées libérales et aux mœurs honnêtes, malheureusement pour lui, rares étaient les électeurs et les élus qui, sous le règne de Louis-Philippe, partageaient son rêve.
{"title":"De la Gauche dynastique à la Jeune Gauche : quand Alexis de Tocqueville rêvait de diriger un grand parti","authors":"Jean-Patrice Lacam","doi":"10.3917/parl2.039.0233","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/parl2.039.0233","url":null,"abstract":"En 1839, Alexis de Tocqueville se lance en politique. Et il le fait avec le projet d’installer dans la France de la monarchie de Juillet ce qu’il appelle une « démocratie modérée ». S’il reste un député isolé, ce qu’il est au début des années 1840, il ne peut atteindre cet objectif. Il lui faut donc prendre les commandes d’un parti. Et c’est ce qu’il tente de faire une première fois, en 1842, en intégrant l’équipe dirigeante de la Gauche dynastique puis, une seconde fois, cinq ans plus tard, en créant sa propre organisation, la Jeune Gauche. Bilan : deux stratégies et deux échecs. Tocqueville rêvait d’un parti aux idées libérales et aux mœurs honnêtes, malheureusement pour lui, rares étaient les électeurs et les élus qui, sous le règne de Louis-Philippe, partageaient son rêve.","PeriodicalId":392578,"journal":{"name":"Parlement[s], Revue d'histoire politique","volume":"62 2","pages":""},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-02-07","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"139855966","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}