{"title":"Jean Rondeau, Interprétation au clavecin des Variations Goldberg dans les monts d’Arrée","authors":"B. Sève","doi":"10.3917/nre.032.0217","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/nre.032.0217","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":424414,"journal":{"name":"Nouvelle revue d’esthétique","volume":"58 3","pages":""},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-01-30","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"140484013","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Alors que Bernard Teyssèdre avait publié en 2007 une nouvelle édition de son Roman de l’Origine revue et augmentée (et que Thierry Savatier était sur le point de publier une nouvelle édition de L’Origine du monde, Histoire d’un tableau de Gustave Courbet ), Jean Da Silva lui apprit qu’une photographie du tableau exposé au musée d’Orsay avait circulé en France pendant une vingtaine d’années avant d’être publiée en 1953 dans des revues oubliées ; ce qui bouleversait l’idée que l’on avait encore en 2009 de la connaissance de ce tableau. S’ensuivit ensuite un jeu de piste à deux, sur le blog, par courriels et au téléphone.
2007 年,Bernard Teyssèdre 出版了他的《Roman de l'Origine》的新修订扩充版(Thierry Savatier 也即将出版新版《L'Origine du Monde, Histoire d'un tableau de Gustave Courbet》),当时 Jean Da Silva 告诉他,奥赛博物馆展出的这幅画的照片在法国流传了大约二十年,1953 年在一些被遗忘的杂志上发表。随后,两人通过博客、电子邮件和电话展开了一场寻宝之旅。
{"title":"Courbet chez les naturistes (inédit)","authors":"Bernard Teyssèdre, Jean Da Silva","doi":"10.3917/nre.032.0119","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/nre.032.0119","url":null,"abstract":"Alors que Bernard Teyssèdre avait publié en 2007 une nouvelle édition de son Roman de l’Origine revue et augmentée (et que Thierry Savatier était sur le point de publier une nouvelle édition de L’Origine du monde, Histoire d’un tableau de Gustave Courbet ), Jean Da Silva lui apprit qu’une photographie du tableau exposé au musée d’Orsay avait circulé en France pendant une vingtaine d’années avant d’être publiée en 1953 dans des revues oubliées ; ce qui bouleversait l’idée que l’on avait encore en 2009 de la connaissance de ce tableau. S’ensuivit ensuite un jeu de piste à deux, sur le blog, par courriels et au téléphone.","PeriodicalId":424414,"journal":{"name":"Nouvelle revue d’esthétique","volume":"99 ","pages":""},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-01-30","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"140481445","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
L’esthétique peut subir des transformations conceptuelles significatives lorsqu’elle est aux prises avec des formes d’art marquées du sceau de la différence culturelle. J’examine ces transformations à partir d’une étude de l’esthétique de Jean-Marie Schaeffer, notamment son rapport avec la philosophie de l’art, son évolution à la lumière des développements récents en sciences cognitives, et son interaction avec l’anthropologie de l’art. Je soutiens que le travail conceptuel de Schaeffer nous permet de comprendre comment on active esthétiquement des formes d’art provenant des cultures éloignées des nôtres. Pour illustrer mon propos, je prends comme étude de cas la maison des esprits que l’on trouve parmi les peuples de la Nouvelle-Guinée, dans la région du Sepik.
{"title":"Jean-Marie Schaeffer : l’esthétique entre art, cognition et anthropologie","authors":"Ancuta-Maria Mortu","doi":"10.3917/nre.032.0193","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/nre.032.0193","url":null,"abstract":"L’esthétique peut subir des transformations conceptuelles significatives lorsqu’elle est aux prises avec des formes d’art marquées du sceau de la différence culturelle. J’examine ces transformations à partir d’une étude de l’esthétique de Jean-Marie Schaeffer, notamment son rapport avec la philosophie de l’art, son évolution à la lumière des développements récents en sciences cognitives, et son interaction avec l’anthropologie de l’art. Je soutiens que le travail conceptuel de Schaeffer nous permet de comprendre comment on active esthétiquement des formes d’art provenant des cultures éloignées des nôtres. Pour illustrer mon propos, je prends comme étude de cas la maison des esprits que l’on trouve parmi les peuples de la Nouvelle-Guinée, dans la région du Sepik.","PeriodicalId":424414,"journal":{"name":"Nouvelle revue d’esthétique","volume":"108 ","pages":""},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-01-30","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"140484392","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
L’œuvre de Gaston Bachelard n’est pas toujours prise en considération dans le cadre de l’histoire de l’esthétique française. S’il est vrai que le philosophe n’a pas élaboré une théorie esthétique accomplie, ses travaux sur l’imagination et la rêverie non seulement démontrent une connaissance des débats théoriques de l’époque, mais, plus profondément, représentent une prise de position en faveur d’une « esthétique concrète » qui s’écarte des stériles disputes philosophiques d’académie pour s’appuyer directement sur la présence matérielle de l’œuvre d’art, aussi poétique que visuelle, afin de réintégrer le sentir dans le penser. Il s’agit donc d’interroger cette manière de réintégrer l’ aisthesis dans le logos à travers le travail de l’imagination, en retrouvant ainsi « une unité du monde ». C’est précisément dans la rencontre avec la beauté que le sujet s’ouvre au monde de façon pré-catégoriale et, en même temps, que le monde fait l’objet d’une expérience non-objective. Cela ouvre la voie à une esthéticité transcendantale jamais théorisée explicitement, mais concrètement mise au travail dans les œuvres du philosophe.
{"title":"L’esthétique concrète de Gaston Bachelard ou la réintégration du sentir dans le penser","authors":"Renato Boccali","doi":"10.3917/nre.032.0173","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/nre.032.0173","url":null,"abstract":"L’œuvre de Gaston Bachelard n’est pas toujours prise en considération dans le cadre de l’histoire de l’esthétique française. S’il est vrai que le philosophe n’a pas élaboré une théorie esthétique accomplie, ses travaux sur l’imagination et la rêverie non seulement démontrent une connaissance des débats théoriques de l’époque, mais, plus profondément, représentent une prise de position en faveur d’une « esthétique concrète » qui s’écarte des stériles disputes philosophiques d’académie pour s’appuyer directement sur la présence matérielle de l’œuvre d’art, aussi poétique que visuelle, afin de réintégrer le sentir dans le penser. Il s’agit donc d’interroger cette manière de réintégrer l’ aisthesis dans le logos à travers le travail de l’imagination, en retrouvant ainsi « une unité du monde ». C’est précisément dans la rencontre avec la beauté que le sujet s’ouvre au monde de façon pré-catégoriale et, en même temps, que le monde fait l’objet d’une expérience non-objective. Cela ouvre la voie à une esthéticité transcendantale jamais théorisée explicitement, mais concrètement mise au travail dans les œuvres du philosophe.","PeriodicalId":424414,"journal":{"name":"Nouvelle revue d’esthétique","volume":"215 ","pages":""},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-01-30","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"140483967","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Les enjeux d’une mise en scène. Tristan et Isolde de Richard Wagner mis en scène par Philippe Grandrieux","authors":"Milena Escobar herrera","doi":"10.3917/nre.032.0225","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/nre.032.0225","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":424414,"journal":{"name":"Nouvelle revue d’esthétique","volume":"56 2","pages":""},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-01-30","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"140481462","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}