Pub Date : 2023-08-21DOI: 10.3917/futur.456.0115a02
Pierre Papon
{"title":"P isani -F erry Jean / M ahfouz Selma, Les Incidences économiques de l’action pour le climat , Paris : France Stratégie, mai 2023, 158 p. URL : https://www.strategie.gouv.fr/sites/strategie.gouv.fr/files/atoms/files/2023-incidences-economiques-rapport-pisani-5juin.pdf . Consulté le 2 août 2023","authors":"Pierre Papon","doi":"10.3917/futur.456.0115a02","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/futur.456.0115a02","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":35246,"journal":{"name":"Futuribles: Analyse et Prospective","volume":"34 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2023-08-21","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"135875483","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Après plusieurs mois de vives tensions sociales en France sur la réforme des retraites, le gouvernement a entrepris de rouvrir les débats sur la place et les conditions du travail dans le pays. Fin avril 2023, le Conseil national de la refondation a sorti son rapport issu des Assises du travail, intitulé « Re-considérer le travail » car, effectivement, la relation qu’entretiennent les salariés avec leur travail, leurs aspirations…, ont à voir avec la « considération » qui en découle à leur endroit. Or, depuis la pandémie et les confinements de 2020-2021, la situation a évolué, en France comme en Europe, en particulier pour celles et ceux dont le métier peut se pratiquer en télétravail. Quelle est l’ampleur de cette évolution des conditions de travail ? Comment est-elle appréhendée et appréciée par les travailleurs ? Sarah Proust, qui a coordonné plusieurs études sur le sujet, notamment pour la Fondation Jean Jaurès, fait ici le point sur la façon dont les conditions et l’organisation du travail ont évolué ces dernières années, en France et dans cinq autres pays européens : fragmentation des lieux et horaires de travail, hybridation vie personnelle / vie professionnelle, individualisation du travail, rapport à l’employeur… Globalement perçu comme une avancée sociale obtenue sans combat, le télétravail semble vécu comme une amélioration des conditions de vie plus que des conditions de travail ; mais il ouvre aussi la voie à de nouveaux questionnements concernant l’organisation du travail, le management, l’aménagement ou la réduction du temps de travail. Et comme le souligne Sarah Proust en fin d’article, d’autres questions émergent ou se renforcent, qui vont considérablement renforcer la vision politique du travail, qu’il s’agisse de la diffusion de l’intelligence artificielle dans différents métiers ou des contraintes découlant de la lutte contre le changement climatique. S.D.
{"title":"Les conditions de travail en Europe","authors":"Sarah Proust","doi":"10.3917/futur.456.0027","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/futur.456.0027","url":null,"abstract":"Après plusieurs mois de vives tensions sociales en France sur la réforme des retraites, le gouvernement a entrepris de rouvrir les débats sur la place et les conditions du travail dans le pays. Fin avril 2023, le Conseil national de la refondation a sorti son rapport issu des Assises du travail, intitulé « Re-considérer le travail » car, effectivement, la relation qu’entretiennent les salariés avec leur travail, leurs aspirations…, ont à voir avec la « considération » qui en découle à leur endroit. Or, depuis la pandémie et les confinements de 2020-2021, la situation a évolué, en France comme en Europe, en particulier pour celles et ceux dont le métier peut se pratiquer en télétravail. Quelle est l’ampleur de cette évolution des conditions de travail ? Comment est-elle appréhendée et appréciée par les travailleurs ? Sarah Proust, qui a coordonné plusieurs études sur le sujet, notamment pour la Fondation Jean Jaurès, fait ici le point sur la façon dont les conditions et l’organisation du travail ont évolué ces dernières années, en France et dans cinq autres pays européens : fragmentation des lieux et horaires de travail, hybridation vie personnelle / vie professionnelle, individualisation du travail, rapport à l’employeur… Globalement perçu comme une avancée sociale obtenue sans combat, le télétravail semble vécu comme une amélioration des conditions de vie plus que des conditions de travail ; mais il ouvre aussi la voie à de nouveaux questionnements concernant l’organisation du travail, le management, l’aménagement ou la réduction du temps de travail. Et comme le souligne Sarah Proust en fin d’article, d’autres questions émergent ou se renforcent, qui vont considérablement renforcer la vision politique du travail, qu’il s’agisse de la diffusion de l’intelligence artificielle dans différents métiers ou des contraintes découlant de la lutte contre le changement climatique. S.D.","PeriodicalId":35246,"journal":{"name":"Futuribles: Analyse et Prospective","volume":"14 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2023-08-21","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"135875487","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pacte vert en 2019, paquet « Fit for 55 » en 2021 (en référence à l’objectif de baisse des émissions carbonées de 55 % d’ici 2030) : au début de cette décennie, l’Union européenne était lancée sur une trajectoire très volontariste en matière de lutte contre le changement climatique. Mais après la crise Covid qui avait laissé penser que des changements de modes de vie orientés vers la sobriété énergétique étaient possibles, le retour à des comportements plus dispendieux et, surtout, le conflit en Ukraine ont considérablement modifié le contexte dans lequel doit s’inscrire la transition énergétique. Comment garder le cap et continuer à se projeter dans l’avenir, et en particulier dans un avenir neutre en carbone, dans une telle situation ? Patrick Criqui et Emmanuel Hache se posent ici la question, et examinent les nouveaux contours de ce contexte devenu très instable pour la transition énergie-climat. Ils font ainsi le point sur les incertitudes de nature géopolitique (négociations climatiques internationales, guerre en Ukraine et tensions entre États, crise énergétique), technologique (progrès technique endogène, ruptures et destruction créatrice, technologies énergétiques et décarbonées, transitions sociotechniques…) et sociétale (leviers de changements collectifs et individuels pour encourager la sobriété). Ils esquissent enfin quatre scénarios distincts en matière de prospective climatique à l’horizon 2050, croisant la dimension plus ou moins coopérative des relations internationales avec la dynamique et le rythme de la décarbonation : une base solide permettant aux planificateurs écologiques d’identifier le(s) futur(s) le(s) plus désirable(s) et de tracer la meilleure trajectoire pour qu’il(s) advienne(nt). S.D.
2019年的绿色协议,2021年的“适合55人”一揽子计划(指到2030年将碳排放减少55%的目标):本世纪初,欧盟在应对气候变化方面走上了非常积极的道路。但在新冠肺炎危机之后,人们认为有可能改变以能源节约为导向的生活方式,回归更昂贵的行为,尤其是乌克兰的冲突,极大地改变了能源转型必须发生的背景。在这种情况下,我们如何保持正轨,继续展望未来,特别是碳中和的未来?Patrick Criqui和Emmanuel Hache在这里提出了这个问题,并研究了能源-气候过渡的新背景。他们这样总结性质的地缘政治的不确定性(国际气候谈判,乌克兰境内的战争和国家之间的紧张关系、能源危机)、技术(内生技术进步、破裂和创造性破坏社会技术、能源技术和décarbonées跃迁...)和社会(杠杆的集体和个人的变化来鼓励节制)。最后四个不同的场景,他们勾勒气候预测到2050年,跨越维度的合作社或多或少都与国际关系的动态和节奏,石灰石:生态打下坚实基础,使规划者确定未来(s) - (s) (s)和(s)更可取,勾画出最佳路径(s)不管发生(nt)。S.D.
{"title":"Garder le cap de la transition énergie-climat","authors":"Patrick Criqui, Emmanuel Hache","doi":"10.3917/futur.455.0005","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/futur.455.0005","url":null,"abstract":"Pacte vert en 2019, paquet « Fit for 55 » en 2021 (en référence à l’objectif de baisse des émissions carbonées de 55 % d’ici 2030) : au début de cette décennie, l’Union européenne était lancée sur une trajectoire très volontariste en matière de lutte contre le changement climatique. Mais après la crise Covid qui avait laissé penser que des changements de modes de vie orientés vers la sobriété énergétique étaient possibles, le retour à des comportements plus dispendieux et, surtout, le conflit en Ukraine ont considérablement modifié le contexte dans lequel doit s’inscrire la transition énergétique. Comment garder le cap et continuer à se projeter dans l’avenir, et en particulier dans un avenir neutre en carbone, dans une telle situation ? Patrick Criqui et Emmanuel Hache se posent ici la question, et examinent les nouveaux contours de ce contexte devenu très instable pour la transition énergie-climat. Ils font ainsi le point sur les incertitudes de nature géopolitique (négociations climatiques internationales, guerre en Ukraine et tensions entre États, crise énergétique), technologique (progrès technique endogène, ruptures et destruction créatrice, technologies énergétiques et décarbonées, transitions sociotechniques…) et sociétale (leviers de changements collectifs et individuels pour encourager la sobriété). Ils esquissent enfin quatre scénarios distincts en matière de prospective climatique à l’horizon 2050, croisant la dimension plus ou moins coopérative des relations internationales avec la dynamique et le rythme de la décarbonation : une base solide permettant aux planificateurs écologiques d’identifier le(s) futur(s) le(s) plus désirable(s) et de tracer la meilleure trajectoire pour qu’il(s) advienne(nt). S.D.","PeriodicalId":35246,"journal":{"name":"Futuribles: Analyse et Prospective","volume":"27 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2023-06-16","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"135671706","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
La volonté de la Chine d’affirmer un leadership global et de diffuser largement sa vision du monde, notamment au regard du modèle occidental de développement, n’est plus un mystère. Mais quelle est donc cette alternative qu’elle entend incarner face au modèle occidental encore dominant ? Aux yeux de Pékin, le processus de modernisation basé sur le capitalisme a débouché sur « l’impérialisme et l’exploitation, les tensions entre les peuples, la généralisation de la violence ». Il s’est traduit par la rupture avec la nature, par le culte de l’hédonisme et la primauté accordée aux désirs individuels. Au contraire de cela, la conception de la « modernisation » à la chinoise entend permettre « au peuple entier d’être prospère, restaurer l’harmonie entre l’homme et la nature, promouvoir un développement pacifique ». Voici certes une vision de nature à séduire nombre de pays non convaincus par l’ American way of life et en panne de vision d’un avenir désirable ! Cet article écrit après le 20 e Congrès du parti communiste chinois, marqué par la nouvelle ligne prescrite par Xi Jinping, vise à expliquer ce que « la modernisation socialiste chinoise » entend offrir comme alternative au modèle dominant des États-Unis. Quelles sont les valeurs fondées sur son histoire multiséculaire, et leur instrumentalisation au service de finalités de nature à conforter son influence, sinon à séduire les pays en panne d’avenir ? L’auteur, fort au fait des raisons profondes auxquelles se réfère la Chine d’aujourd’hui, et de sa conception de la modernité, nous éclaire utilement sur les valeurs qu’elle entend promouvoir et sa capacité à les incarner. H.J.
{"title":"La modernisation à la chinoise","authors":"Benoît Vermander","doi":"10.3917/futur.455.0075","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/futur.455.0075","url":null,"abstract":"La volonté de la Chine d’affirmer un leadership global et de diffuser largement sa vision du monde, notamment au regard du modèle occidental de développement, n’est plus un mystère. Mais quelle est donc cette alternative qu’elle entend incarner face au modèle occidental encore dominant ? Aux yeux de Pékin, le processus de modernisation basé sur le capitalisme a débouché sur « l’impérialisme et l’exploitation, les tensions entre les peuples, la généralisation de la violence ». Il s’est traduit par la rupture avec la nature, par le culte de l’hédonisme et la primauté accordée aux désirs individuels. Au contraire de cela, la conception de la « modernisation » à la chinoise entend permettre « au peuple entier d’être prospère, restaurer l’harmonie entre l’homme et la nature, promouvoir un développement pacifique ». Voici certes une vision de nature à séduire nombre de pays non convaincus par l’ American way of life et en panne de vision d’un avenir désirable ! Cet article écrit après le 20 e Congrès du parti communiste chinois, marqué par la nouvelle ligne prescrite par Xi Jinping, vise à expliquer ce que « la modernisation socialiste chinoise » entend offrir comme alternative au modèle dominant des États-Unis. Quelles sont les valeurs fondées sur son histoire multiséculaire, et leur instrumentalisation au service de finalités de nature à conforter son influence, sinon à séduire les pays en panne d’avenir ? L’auteur, fort au fait des raisons profondes auxquelles se réfère la Chine d’aujourd’hui, et de sa conception de la modernité, nous éclaire utilement sur les valeurs qu’elle entend promouvoir et sa capacité à les incarner. H.J.","PeriodicalId":35246,"journal":{"name":"Futuribles: Analyse et Prospective","volume":"106 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2023-06-16","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"135671708","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Nos consommations matérielles, dans le monde, ne cessent de croître et entraînent corrélativement une consommation croissante de matières premières. Or, les gisements concentrés de celles-ci risquent d’être rapidement épuisés et le recours inévitable à des gisements à plus faible teneur est lui-même très coûteux, notamment en énergie. Nombreux sont les décideurs et experts qui s’imaginent que le recyclage plus systématique de ces matériaux permettrait de réduire sensiblement nos besoins en matières premières vierges. Mais c’est un leurre, montre ici François Grosse, car nous ne produisons pas assez de déchets ; ceci, d’abord et surtout parce que nos consommations d’hier sont très inférieures à nos consommations d’aujourd’hui ; ensuite parce que nous ne sommes pas dans des sociétés du jetable, mais dans des sociétés d’accumulation… Le recyclage n’est donc pas une solution ; il faut nous orienter vers une économie circulaire dont la mise en œuvre passe par deux conditions : d’abord, celle de réduire le rythme de croissance de nos biens matériels pour réduire nos ponctions sur les matières premières ; ensuite, celle d’imposer que la production de nouveaux produits et équipements comporte au moins 80 % de matières recyclées. La démonstration de François Grosse, amplement illustrée d’exemples, révèle l’ampleur du défi et le changement radical qu’impose un développement qui se voudrait vraiment durable. H.J.
{"title":"Le défi de l’économie circulaire","authors":"François Grosse","doi":"10.3917/futur.455.0033","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/futur.455.0033","url":null,"abstract":"Nos consommations matérielles, dans le monde, ne cessent de croître et entraînent corrélativement une consommation croissante de matières premières. Or, les gisements concentrés de celles-ci risquent d’être rapidement épuisés et le recours inévitable à des gisements à plus faible teneur est lui-même très coûteux, notamment en énergie. Nombreux sont les décideurs et experts qui s’imaginent que le recyclage plus systématique de ces matériaux permettrait de réduire sensiblement nos besoins en matières premières vierges. Mais c’est un leurre, montre ici François Grosse, car nous ne produisons pas assez de déchets ; ceci, d’abord et surtout parce que nos consommations d’hier sont très inférieures à nos consommations d’aujourd’hui ; ensuite parce que nous ne sommes pas dans des sociétés du jetable, mais dans des sociétés d’accumulation… Le recyclage n’est donc pas une solution ; il faut nous orienter vers une économie circulaire dont la mise en œuvre passe par deux conditions : d’abord, celle de réduire le rythme de croissance de nos biens matériels pour réduire nos ponctions sur les matières premières ; ensuite, celle d’imposer que la production de nouveaux produits et équipements comporte au moins 80 % de matières recyclées. La démonstration de François Grosse, amplement illustrée d’exemples, révèle l’ampleur du défi et le changement radical qu’impose un développement qui se voudrait vraiment durable. H.J.","PeriodicalId":35246,"journal":{"name":"Futuribles: Analyse et Prospective","volume":"164 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2023-06-16","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"135671698","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Idées & faits porteurs d’avenir","authors":"","doi":"10.3917/futur.455.0095","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/futur.455.0095","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":35246,"journal":{"name":"Futuribles: Analyse et Prospective","volume":"251 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2023-06-16","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"135671705","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Red Team, Ces guerres qui nous attendent. 2030-2060. Saison 2 , Paris : éditions des Équateurs / université PSL (Paris sciences & lettres), janvier 2023, 208 p.","authors":"Laurie Grzesiak","doi":"10.3917/futur.455.0111b","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/futur.455.0111b","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":35246,"journal":{"name":"Futuribles: Analyse et Prospective","volume":"8 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2023-06-16","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"135671709","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Fayet Héloïse / Férey Amélie, « “Imaginer au-delà de l’imaginaire”. Red teaming et serious games au service de l’anticipation et de la prospective », Briefings de l’IFRI, 30 mars 2023, IFRI (Institut français des relations internationales), 14 p. URL : https://www.ifri.org/sites/default/files/atoms/files/briefing_red-teaming-wargames_fayet-ferey_mars2023.pdf/ . Consulté le 31 mai 2023","authors":"Laurie Grzesiak","doi":"10.3917/futur.455.0111f","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/futur.455.0111f","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":35246,"journal":{"name":"Futuribles: Analyse et Prospective","volume":"33 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2023-06-16","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"135671697","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Alexandre Olivier, La Tech. Quand la Silicon Valley refait le monde , Paris : Seuil, mars 2023, 560 p.","authors":"Jean-François Soupizet","doi":"10.3917/futur.455.0111d","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/futur.455.0111d","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":35246,"journal":{"name":"Futuribles: Analyse et Prospective","volume":"28 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2023-06-16","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"135671700","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}