{"title":"Le numéro en bref","authors":"","doi":"10.4000/insitu.37936","DOIUrl":"https://doi.org/10.4000/insitu.37936","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":53866,"journal":{"name":"In Situ-Revue de Patrimoines","volume":"39 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2023-06-23","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"136045535","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Valeurs patrimoniales de l’architecture du xxe siècle : quelle reconnaissance ? État des lieux critique et prospective internationale","authors":"Corinne Tiry-Ono, Isabelle Bertrand, Sophie Masse","doi":"10.4000/insitu.37245","DOIUrl":"https://doi.org/10.4000/insitu.37245","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":53866,"journal":{"name":"In Situ-Revue de Patrimoines","volume":"517 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2023-02-15","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"135683295","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Le numéro en bref","authors":"","doi":"10.4000/insitu.37246","DOIUrl":"https://doi.org/10.4000/insitu.37246","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":53866,"journal":{"name":"In Situ-Revue de Patrimoines","volume":"356 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2023-02-15","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"135683296","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Douai, instauree prefecture en 1790, devient simple sous-prefecture en 1803, et l’administration, d’abord logee dans des locaux jouxtant le palais de justice, s’installe, dix ans plus tard, dans un hotel particulier du centre-ville. Les bâtiments sont rapidement trop exigus mais il faut attendre 1962 pour que soit prise la decision de construire une nouvelle sous-prefecture. Plusieurs terrains sont successivement envisages dans des quartiers a restructurer mais les projets avortent, jusqu’a ce que quatre hectares et demi se liberent dans un secteur destine a devenir residentiel, la ou se trouvait une usine edifiee a l’emplacement des anciennes fortifications, apres leur demantelement. Quand les travaux commencent, en 1975, il faut donc d’abord regler les problemes de fondations et de tassements differentiels. La sous-prefecture de Douai s’inscrit parfaitement dans le courant de l’architecture des annees 1970 : c’est une succession de volumes simples ; les facades sont traitees en beton brut de decoffrage, et des pleins et des vides, vitres ou non, s’y intercalent dans une mise en scene de la lumiere et de l’opacite du bâti. Pour eviter, comme le craint le sous-prefet du moment, que le bâtiment ne « prenne quelque peu une allure de blockhaus », un ciment blanc est incorpore au beton. Le mobilier, choisi specialement, s’integre parfaitement a l’architecture de l’epoque. Quant au mode de chauffage, c’est l’electricite qui est choisie : une premiere dans un bâtiment public destine a un service de l’Etat. La sous-prefecture est inauguree en septembre 1978. C’est un immeuble innovant a bien des titres mais qui suscite pourtant beaucoup de critiques, la presse affirmant : « sur la question de l’esthetique, il est certain que l’on ne peut pas parler de reussite. » Tel est encore aujourd’hui l’avis de la majorite des Douaisiens.
{"title":"La sous-préfecture de Douai, modèle architectural des années 1970","authors":"P. Bréemersch","doi":"10.4000/INSITU.15717","DOIUrl":"https://doi.org/10.4000/INSITU.15717","url":null,"abstract":"Douai, instauree prefecture en 1790, devient simple sous-prefecture en 1803, et l’administration, d’abord logee dans des locaux jouxtant le palais de justice, s’installe, dix ans plus tard, dans un hotel particulier du centre-ville. Les bâtiments sont rapidement trop exigus mais il faut attendre 1962 pour que soit prise la decision de construire une nouvelle sous-prefecture. Plusieurs terrains sont successivement envisages dans des quartiers a restructurer mais les projets avortent, jusqu’a ce que quatre hectares et demi se liberent dans un secteur destine a devenir residentiel, la ou se trouvait une usine edifiee a l’emplacement des anciennes fortifications, apres leur demantelement. Quand les travaux commencent, en 1975, il faut donc d’abord regler les problemes de fondations et de tassements differentiels. La sous-prefecture de Douai s’inscrit parfaitement dans le courant de l’architecture des annees 1970 : c’est une succession de volumes simples ; les facades sont traitees en beton brut de decoffrage, et des pleins et des vides, vitres ou non, s’y intercalent dans une mise en scene de la lumiere et de l’opacite du bâti. Pour eviter, comme le craint le sous-prefet du moment, que le bâtiment ne « prenne quelque peu une allure de blockhaus », un ciment blanc est incorpore au beton. Le mobilier, choisi specialement, s’integre parfaitement a l’architecture de l’epoque. Quant au mode de chauffage, c’est l’electricite qui est choisie : une premiere dans un bâtiment public destine a un service de l’Etat. La sous-prefecture est inauguree en septembre 1978. C’est un immeuble innovant a bien des titres mais qui suscite pourtant beaucoup de critiques, la presse affirmant : « sur la question de l’esthetique, il est certain que l’on ne peut pas parler de reussite. » Tel est encore aujourd’hui l’avis de la majorite des Douaisiens.","PeriodicalId":53866,"journal":{"name":"In Situ-Revue de Patrimoines","volume":"34 1","pages":""},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2018-04-24","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"47008882","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Le premier hotel-Dieu d’Orleans fut etabli au Moyen Âge a l’interieur de la premiere enceinte urbaine, pres de la cathedrale Sainte-Croix. Dans la seconde moitie du XVIIIe siecle, la vetuste et l’insalubrite de l’etablissement amenerent les autorites a reflechir a son transfert sur un emplacement offrant les meilleures qualites sanitaires. La concretisation en fut longue et fit l’objet d’âpres debats. Apres l’abandon des nombreux projets qui s’orientaient vers la rehabilitation de bâtiments, l’edification d’un hopital qui se voulait deja une application des preoccupations emergeantes liees a l’hygiene fut envisagee au debut du XIXe siecle mais laissee sans suite. Plusieurs decennies d’attente furent encore necessaires pour qu’un nouvel hotel-Dieu, de type pavillonnaire, voie le jour, qui integrait l’essentiel des preconisations hygienistes de Jacques-Rene Tenon.
{"title":"Le nouvel hôtel-Dieu d’Orléans","authors":"Françoise Jouanneaux","doi":"10.4000/INSITU.13946","DOIUrl":"https://doi.org/10.4000/INSITU.13946","url":null,"abstract":"Le premier hotel-Dieu d’Orleans fut etabli au Moyen Âge a l’interieur de la premiere enceinte urbaine, pres de la cathedrale Sainte-Croix. Dans la seconde moitie du XVIIIe siecle, la vetuste et l’insalubrite de l’etablissement amenerent les autorites a reflechir a son transfert sur un emplacement offrant les meilleures qualites sanitaires. La concretisation en fut longue et fit l’objet d’âpres debats. Apres l’abandon des nombreux projets qui s’orientaient vers la rehabilitation de bâtiments, l’edification d’un hopital qui se voulait deja une application des preoccupations emergeantes liees a l’hygiene fut envisagee au debut du XIXe siecle mais laissee sans suite. Plusieurs decennies d’attente furent encore necessaires pour qu’un nouvel hotel-Dieu, de type pavillonnaire, voie le jour, qui integrait l’essentiel des preconisations hygienistes de Jacques-Rene Tenon.","PeriodicalId":53866,"journal":{"name":"In Situ-Revue de Patrimoines","volume":"31 1","pages":""},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2017-01-31","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"48296124","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Haiti, premiere republique noire du monde est aujourd’hui encore un veritable conservatoire du patrimoine historique de l’economie esclavagiste du XVIIIe siecle, dont la grande plantation, connue sous le nom d’habitation aux Isles d’Amerique, etait l’unite de base. Veritable creuset de l’ensemble des societes creoles antillaises, qu’elles soient francophones, anglophones, ou hispanophones, l’habitation – sucrerie, cafeiere, indigoterie, cotonnerie…, ou autres – fut, en effet, le cadre de vie, de mort et de travail quotidien de la majorite des esclaves – negres a talents, le plus souvent creoles (nes sur place), ou negres de houe, ou de jardin, en grande majorite bossales (transportes d’Afrique). Elle a perdure longtemps apres les abolitions de l’esclavage. Entre 1975 et 1990, a partir de reperages effectues dans des documents d’archives des XVIIIe et XIXe siecles suivis d’explorations et d’enquetes d’archeologie industrielle de terrain, plus de 2 500 cliches de vestiges de la societe d’habitation coloniale esclavagiste de Saint-Domingue et de son environnement urbain, militaire, religieux ou naturel, ont ete pris en Haiti afin de garder trace d’un patrimoine menace. Depuis 2009, avec l’aide du CNRS, le CIRESC a entrepris la mise en ligne d’une selection d’environ 500 de ces documents du fonds Jacques de Cauna qui sont presentes pour la premiere fois a l’occasion de ce colloque, repondant ainsi en partie au vœu formule a l’epoque par ses etudiants haitiens : Les sucreries sont la sueur et le sang de nos aieux : il faut les respecter.
{"title":"Patrimoine et mémoire de l’esclavage en Haïti : les vestiges de la société d’habitation coloniale","authors":"J. Cauna","doi":"10.4000/INSITU.10107","DOIUrl":"https://doi.org/10.4000/INSITU.10107","url":null,"abstract":"Haiti, premiere republique noire du monde est aujourd’hui encore un veritable conservatoire du patrimoine historique de l’economie esclavagiste du XVIIIe siecle, dont la grande plantation, connue sous le nom d’habitation aux Isles d’Amerique, etait l’unite de base. Veritable creuset de l’ensemble des societes creoles antillaises, qu’elles soient francophones, anglophones, ou hispanophones, l’habitation – sucrerie, cafeiere, indigoterie, cotonnerie…, ou autres – fut, en effet, le cadre de vie, de mort et de travail quotidien de la majorite des esclaves – negres a talents, le plus souvent creoles (nes sur place), ou negres de houe, ou de jardin, en grande majorite bossales (transportes d’Afrique). Elle a perdure longtemps apres les abolitions de l’esclavage. Entre 1975 et 1990, a partir de reperages effectues dans des documents d’archives des XVIIIe et XIXe siecles suivis d’explorations et d’enquetes d’archeologie industrielle de terrain, plus de 2 500 cliches de vestiges de la societe d’habitation coloniale esclavagiste de Saint-Domingue et de son environnement urbain, militaire, religieux ou naturel, ont ete pris en Haiti afin de garder trace d’un patrimoine menace. Depuis 2009, avec l’aide du CNRS, le CIRESC a entrepris la mise en ligne d’une selection d’environ 500 de ces documents du fonds Jacques de Cauna qui sont presentes pour la premiere fois a l’occasion de ce colloque, repondant ainsi en partie au vœu formule a l’epoque par ses etudiants haitiens : Les sucreries sont la sueur et le sang de nos aieux : il faut les respecter.","PeriodicalId":53866,"journal":{"name":"In Situ-Revue de Patrimoines","volume":"20 1","pages":""},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2013-02-11","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"70241448","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Cette communication est une presentation generale des resultats des interventions archeologiques conduites a Loyola, une habitation exploitee par les jesuites en Guyane, a partir de 1668 et jusqu’a leur interdiction en 1763. L’habitation Loyola, situee a Remire, a 10 km de Cayenne, couvre une superficie d’un peu plus de 1 000 hectares. Jusqu’a 500 esclaves y travaillerent a produire des biens dont les revenus financaient le grand projet des religieux en Amerique : l’evangelisation des Amerindiens par le biais des missions. Cet etablissement illustre, de facon eloquente, la relation particuliere qu’entretint l’eglise catholique avec le systeme esclavagiste. Nous presentons un bref historique de cette habitation et de la place qu’occupaient les missionnaires dans cette aventure coloniale. Les recherches ont mis au jour la maison de maitre et ses dependances, la chapelle et le cimetiere, une forge, une poterie, une manufacture sucriere complete (moulins, chaufferie, purgerie et etuve) une cafeterie, une indigoterie… Un tres abondant mobilier ceramique, verrier et metallique a ete recueilli au cours des operations archeologiques ; il permet de preciser les conditions de vie et les relations commerciales de cette habitation, exceptionnelle par ses dimensions mais representative de l’economie coloniale a cette epoque. Une entreprise de mise en valeur du site est actuellement engagee, elle vise a reveler au public un lieu illustrant, de facon eloquente, la memoire de l’esclavage en Guyane.
{"title":"Loyola: L'habitation des jésuites de Rémire en Guyane française","authors":"Y. L. Roux","doi":"10.4000/INSITU.10170","DOIUrl":"https://doi.org/10.4000/INSITU.10170","url":null,"abstract":"Cette communication est une presentation generale des resultats des interventions archeologiques conduites a Loyola, une habitation exploitee par les jesuites en Guyane, a partir de 1668 et jusqu’a leur interdiction en 1763. L’habitation Loyola, situee a Remire, a 10 km de Cayenne, couvre une superficie d’un peu plus de 1 000 hectares. Jusqu’a 500 esclaves y travaillerent a produire des biens dont les revenus financaient le grand projet des religieux en Amerique : l’evangelisation des Amerindiens par le biais des missions. Cet etablissement illustre, de facon eloquente, la relation particuliere qu’entretint l’eglise catholique avec le systeme esclavagiste. Nous presentons un bref historique de cette habitation et de la place qu’occupaient les missionnaires dans cette aventure coloniale. Les recherches ont mis au jour la maison de maitre et ses dependances, la chapelle et le cimetiere, une forge, une poterie, une manufacture sucriere complete (moulins, chaufferie, purgerie et etuve) une cafeterie, une indigoterie… Un tres abondant mobilier ceramique, verrier et metallique a ete recueilli au cours des operations archeologiques ; il permet de preciser les conditions de vie et les relations commerciales de cette habitation, exceptionnelle par ses dimensions mais representative de l’economie coloniale a cette epoque. Une entreprise de mise en valeur du site est actuellement engagee, elle vise a reveler au public un lieu illustrant, de facon eloquente, la memoire de l’esclavage en Guyane.","PeriodicalId":53866,"journal":{"name":"In Situ-Revue de Patrimoines","volume":"20 1","pages":""},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2013-02-11","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"70241505","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Le cheval de travail est un acteur bien present du XIXe siecle aux annees 1960 dans de nombreux fonds d'entreprises conserves aux Archives nationales du monde du travail. Ces documents tres varies (correspondance, notes, rapports, listes, livrets, catalogues, plans, photographies) revelent des informations sur l'identite des chevaux, leurs activites et leur vie quotidienne. Le cheval apparait aussi bien comme un acteur vivant de l'entreprise que comme une partie integrante du patrimoine materiel de celle-ci. Ayant une activite importante, il est supplante au fur et a mesure par les machines, le train et l'automobile au cours du XXe siecle. Ces archives completent celles conservees dans le reseau des services publics d'archives (Archives nationales, Archives departementales ou Archives municipales) ou dans les entreprises elles-memes.
从19世纪到20世纪60年代,在国家劳动世界档案馆(national Archives of the world of labor)保存的许多企业档案中,工作马是一个非常活跃的角色。各种各样的文件(信件、笔记、报告、清单、小册子、目录、计划、照片)揭示了关于马的身份、它们的活动和它们的日常生活的信息。马既是公司的活演员,也是公司物质遗产的组成部分。由于其重要的活动,它在20世纪逐渐被机械、火车和汽车所取代。这些档案补充了公共档案馆网络(国家档案馆、部门档案馆或市政档案馆)或企业本身的档案。
{"title":"Le cheval de travail dans les fonds d’entreprises des Archives nationales du monde du travail","authors":"Gersende Piernas","doi":"10.4000/INSITU.9644","DOIUrl":"https://doi.org/10.4000/INSITU.9644","url":null,"abstract":"Le cheval de travail est un acteur bien present du XIXe siecle aux annees 1960 dans de nombreux fonds d'entreprises conserves aux Archives nationales du monde du travail. Ces documents tres varies (correspondance, notes, rapports, listes, livrets, catalogues, plans, photographies) revelent des informations sur l'identite des chevaux, leurs activites et leur vie quotidienne. Le cheval apparait aussi bien comme un acteur vivant de l'entreprise que comme une partie integrante du patrimoine materiel de celle-ci. Ayant une activite importante, il est supplante au fur et a mesure par les machines, le train et l'automobile au cours du XXe siecle. Ces archives completent celles conservees dans le reseau des services publics d'archives (Archives nationales, Archives departementales ou Archives municipales) ou dans les entreprises elles-memes.","PeriodicalId":53866,"journal":{"name":"In Situ-Revue de Patrimoines","volume":"18 1","pages":""},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2012-07-30","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"70242200","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Le Jardin des Plantes de Montpellier est le plus ancien jardin botanique de France, l’un des rares a ne pas avoir ete deplace sous la pression urbaine et surtout a etre reste universitaire depuis ses origines, il y a plus de quatre siecles. Sa reconnaissance patrimoniale au XXe siecle, au travers de ses classements au titre des Sites (1982) puis des Monuments Historiques (1992), a permis d’entamer un vaste programme de restauration qui vise, en ce debut de 3eme millenaire, a lui redonner le rayonnement qu’il a connu en elevant la botanique, avant tout medicale, au rang de science a part entiere. Il remplira egalement son role de mediateur vers le grand public en illustrant les rapports homme/plantes sur les thematiques desormais incontournables pour l’avenir de notre planete de la biodiversite et du developpement durable.
蒙彼利埃植物园(Jardin des Plantes de Montpellier)是法国最古老的植物园,是少数几个在城市压力下没有被转移的植物园之一,最重要的是,自四个多世纪前它诞生以来,它一直是一个学术机构。净资产承认它在二十世纪期间,可以通过其排名作为历史遗迹遗址(1982),然后(1992),展开了广泛的修复方案,目的是在3月初的千禧年,赋予了他著名的辐射在植物学、伪造医疗首先,提升科学a份额的欢乐。它还将履行其作为公众调解人的作用,说明人与植物之间的关系,这些关系现在对我们星球的未来、生物多样性和可持续发展至关重要。
{"title":"La renaissance du Jardin des Plantes de Montpellier. Passé, présent et avenir du plus ancien jardin botanique de France","authors":"F. Michaud","doi":"10.4000/INSITU.3851","DOIUrl":"https://doi.org/10.4000/INSITU.3851","url":null,"abstract":"Le Jardin des Plantes de Montpellier est le plus ancien jardin botanique de France, l’un des rares a ne pas avoir ete deplace sous la pression urbaine et surtout a etre reste universitaire depuis ses origines, il y a plus de quatre siecles. Sa reconnaissance patrimoniale au XXe siecle, au travers de ses classements au titre des Sites (1982) puis des Monuments Historiques (1992), a permis d’entamer un vaste programme de restauration qui vise, en ce debut de 3eme millenaire, a lui redonner le rayonnement qu’il a connu en elevant la botanique, avant tout medicale, au rang de science a part entiere. Il remplira egalement son role de mediateur vers le grand public en illustrant les rapports homme/plantes sur les thematiques desormais incontournables pour l’avenir de notre planete de la biodiversite et du developpement durable.","PeriodicalId":53866,"journal":{"name":"In Situ-Revue de Patrimoines","volume":"1 1","pages":""},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2011-11-23","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"70242051","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
De nombreuses universites scientifiques possedent des collections. L’universite Bordeaux 1 possede neuf grandes collections concernant les domaines de la prehistoire, de l’anthropologie, de la geologie terrestre et marine, de la paleontologie et micropaleontologie, de la biologie, de l’astronomie et d’un fonds ancien et moderne d’ouvrages scientifiques. Certaines collections sont riches de milliers de specimens : fossiles d’invertebres, ossements de vertebres, silex tailles, ossements humains prehistoriques ou historiques, animaux naturalises, carottes de sediments, instruments d’astronomie et livres anciens. Ces collections ont ete constituees par des prives ou des chercheurs et ont ensuite ete leguees a l’universite. Il est important d’identifier les collectionneurs et surtout les motivations qui ont guide leurs choix : recherche, enseignement, passion. Entre histoires personnelles et histoires locales, ce regard sur les collections est aussi une porte ouverte sur l’histoire des Sciences.
{"title":"Les collections scientifiques de l’université Bordeaux 1. Sciences et Technologies","authors":"J. D. L. Noë","doi":"10.4000/INSITU.1987","DOIUrl":"https://doi.org/10.4000/INSITU.1987","url":null,"abstract":"De nombreuses universites scientifiques possedent des collections. L’universite Bordeaux 1 possede neuf grandes collections concernant les domaines de la prehistoire, de l’anthropologie, de la geologie terrestre et marine, de la paleontologie et micropaleontologie, de la biologie, de l’astronomie et d’un fonds ancien et moderne d’ouvrages scientifiques. Certaines collections sont riches de milliers de specimens : fossiles d’invertebres, ossements de vertebres, silex tailles, ossements humains prehistoriques ou historiques, animaux naturalises, carottes de sediments, instruments d’astronomie et livres anciens. Ces collections ont ete constituees par des prives ou des chercheurs et ont ensuite ete leguees a l’universite. Il est important d’identifier les collectionneurs et surtout les motivations qui ont guide leurs choix : recherche, enseignement, passion. Entre histoires personnelles et histoires locales, ce regard sur les collections est aussi une porte ouverte sur l’histoire des Sciences.","PeriodicalId":53866,"journal":{"name":"In Situ-Revue de Patrimoines","volume":"1 1","pages":""},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2011-11-23","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"70241611","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}