Pub Date : 1900-01-01DOI: 10.5771/2363-6262-2023-3-354
Marc Kamananga Mangaza
Le contrôle citoyen du processus électoral est un outil nécessaire pour la promotion et la consolidation de l’Etat de droit. Les citoyens doivent s’approprier le control du processus électoral pour contrer toute tentative de fraude électoral et ainsi contribuer la sincérité, la transparence et la crédibilité des résultats des élections. Les citoyens disposent d’un certain nombre des pouvoirs et des mécanismes pour y parvenir. Et la Cour constitutionnelle joue un rôle très important pour soutenir les citoyens dans cette démarche.
{"title":"Le contrôle citoyen du processus électoral et la consolidation de l’Etat de droit en République Démocratique du Congo","authors":"Marc Kamananga Mangaza","doi":"10.5771/2363-6262-2023-3-354","DOIUrl":"https://doi.org/10.5771/2363-6262-2023-3-354","url":null,"abstract":"Le contrôle citoyen du processus électoral est un outil nécessaire pour la promotion et la consolidation de l’Etat de droit. Les citoyens doivent s’approprier le control du processus électoral pour contrer toute tentative de fraude électoral et ainsi contribuer la sincérité, la transparence et la crédibilité des résultats des élections. Les citoyens disposent d’un certain nombre des pouvoirs et des mécanismes pour y parvenir. Et la Cour constitutionnelle joue un rôle très important pour soutenir les citoyens dans cette démarche.","PeriodicalId":194676,"journal":{"name":"KAS African Law Study Library - Librairie Africaine d’Etudes Juridiques","volume":"146 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"127149509","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 1900-01-01DOI: 10.5771/2363-6262-2023-2-148
M. Martial
La partie Est de la République Démocratique du Congo, en sigle RDC, est dans une guerre qualifiée par les experts de « guerre qui ne dit pas son nom ». Une guerre à répétition qui, il y a plus de deux décennies, cause la perte en vies humaines et violations graves des droits de l’homme dont la plupart des victimes sont les personnes civiles. Cette guerre demeure, nonobstant l’intervention de la Communauté internationale et de l’armée congolaise. Dans la recherche des solutions à ce défi sécuritaire, le Gouvernement Congolais a déclaré l’état de siège dans cette partie Est du pays. Il n’y a pas si longtemps de cela, la RDC a fini par adhérer à la Communauté d’Afrique de l’Est, en sigle la CAE, malgré l’opposition de certains membres de cette organisation régionale, qui accorde une importance capitale respectivement au respect des droits de l’homme, aux principes de la démocratie et à l’Etat de droit. Pour plus d’uns, cette adhésion a été saluée et considérée comme salvatrice face à la récurrence du non-respect des droits de l’homme dans cette partie du pays. Et pourtant, d’après le Gouvernement Congolais, certains Etats membres de cette organisation régionale soutiennent cette guerre, nommément le Gouvernement Rwandais. Cette réflexion décrit le sort de la population civile pendant cette période d’état de siège et établit un état des lieux en matière des droits de l’homme dans la partie Est de la RDC depuis son adhésion au Traité constitutif de la CAE.
{"title":"Le sort de la population civile de l’Est pendant la période de l’état de siège et l’impact de l’adhésion de la RDC dans la CAE sur les droits de l’homme","authors":"M. Martial","doi":"10.5771/2363-6262-2023-2-148","DOIUrl":"https://doi.org/10.5771/2363-6262-2023-2-148","url":null,"abstract":"La partie Est de la République Démocratique du Congo, en sigle RDC, est dans une guerre qualifiée par les experts de « guerre qui ne dit pas son nom ». Une guerre à répétition qui, il y a plus de deux décennies, cause la perte en vies humaines et violations graves des droits de l’homme dont la plupart des victimes sont les personnes civiles. Cette guerre demeure, nonobstant l’intervention de la Communauté internationale et de l’armée congolaise. Dans la recherche des solutions à ce défi sécuritaire, le Gouvernement Congolais a déclaré l’état de siège dans cette partie Est du pays. Il n’y a pas si longtemps de cela, la RDC a fini par adhérer à la Communauté d’Afrique de l’Est, en sigle la CAE, malgré l’opposition de certains membres de cette organisation régionale, qui accorde une importance capitale respectivement au respect des droits de l’homme, aux principes de la démocratie et à l’Etat de droit. Pour plus d’uns, cette adhésion a été saluée et considérée comme salvatrice face à la récurrence du non-respect des droits de l’homme dans cette partie du pays. Et pourtant, d’après le Gouvernement Congolais, certains Etats membres de cette organisation régionale soutiennent cette guerre, nommément le Gouvernement Rwandais. Cette réflexion décrit le sort de la population civile pendant cette période d’état de siège et établit un état des lieux en matière des droits de l’homme dans la partie Est de la RDC depuis son adhésion au Traité constitutif de la CAE.","PeriodicalId":194676,"journal":{"name":"KAS African Law Study Library - Librairie Africaine d’Etudes Juridiques","volume":"12 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"127962264","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 1900-01-01DOI: 10.5771/2363-6262-2019-4-418
Ninette Nyalyen Ninyio
Nigeria is endowed with a wide variety of economic minerals which are spread across all the geopolitical zones of the nation. The ownership, management and control of natural resources in Nigeria is enshrined in the Constitution, and recognized by the United Nations Organization (UN). In 1962, the General Assembly of the United Nations deliberated and adopted Resolution 1803, (xvii) titled “Permanent Sovereignty over Natural Resources”. This resolution changed the ownership structure of natural resources from investor ownership to State control of natural resources. The Federal Government of Nigeria, being the owner of natural resources in Nigeria, by virtue of being a member of the United Nations, and a signatory to the treaty which has been transmuted into municipal law, formulates policies which guarantee it receives some compensation for allowing the extraction of these resources. Chief among these policies is the fiscal policy, which is aimed at ensuring that government acquires benefits from the mining of these resources, or simply referred to as taxation or the levying of tax. The legal regime of these fiscal policies is what this presentation seeks to examine, and shall be considered against the backdrop of the obstacles and challenges that mitigate the optimal realization of benefits to be accrued in its implementation, which may be parliamentary or judicial in nature. In doing this, the various extant tax laws on are examined. For clarity, Nigeria operates a presidential system of government and not a parliamentary one, and any reference to parliamentary here strictly means the legislative segment of the government.
{"title":"Legal System Of Tax Income And Tariff Revenue In The Natural Resources And The Mining Sector In Nigeria: Obstacles And Challenges In Collecting Taxes And Duties, Parliamentary And Judicial Control","authors":"Ninette Nyalyen Ninyio","doi":"10.5771/2363-6262-2019-4-418","DOIUrl":"https://doi.org/10.5771/2363-6262-2019-4-418","url":null,"abstract":"Nigeria is endowed with a wide variety of economic minerals which are spread across all the geopolitical zones of the nation. The ownership, management and control of natural resources in Nigeria is enshrined in the Constitution, and recognized by the United Nations Organization (UN). In 1962, the General Assembly of the United Nations deliberated and adopted Resolution 1803, (xvii) titled “Permanent Sovereignty over Natural Resources”. This resolution changed the ownership structure of natural resources from investor ownership to State control of natural resources. The Federal Government of Nigeria, being the owner of natural resources in Nigeria, by virtue of being a member of the United Nations, and a signatory to the treaty which has been transmuted into municipal law, formulates policies which guarantee it receives some compensation for allowing the extraction of these resources. Chief among these policies is the fiscal policy, which is aimed at ensuring that government acquires benefits from the mining of these resources, or simply referred to as taxation or the levying of tax. The legal regime of these fiscal policies is what this presentation seeks to examine, and shall be considered against the backdrop of the obstacles and challenges that mitigate the optimal realization of benefits to be accrued in its implementation, which may be parliamentary or judicial in nature. In doing this, the various extant tax laws on are examined. For clarity, Nigeria operates a presidential system of government and not a parliamentary one, and any reference to parliamentary here strictly means the legislative segment of the government.","PeriodicalId":194676,"journal":{"name":"KAS African Law Study Library - Librairie Africaine d’Etudes Juridiques","volume":"11 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"129855517","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 1900-01-01DOI: 10.5771/2363-6262-2023-3-255
Shamashanga Minga Clément
Consacrée à l’examen de la conformité des frais de dépôt des candidatures exigés en République Démocratique du Congo à la constitution et aux instruments juridiques internationaux de protection des droits de l’homme, l’étude démontre que le montant de la caution électorale fixé en droit congolais est très élevé et n’est pas compatible avec la constitution congolaise du 18 février 2006 et l’arsenal juridique international de protection des droits de l’homme qui consacrent l’égalité des citoyens devant la loi et interdisent toute discrimination fondée sur la fortune en matière d’accès aux fonctions publiques. L’étude suggère aux autorités congolaises de réduire à la baisse le montant de la caution pour d’une part, se conformer à la constitution et aux normes internationales de protection des droits de l’homme et, d’autre part, encourager la participation active des citoyens aux ressources modestes au processus électoral. Dans cette perspective, l’étude proposer au législateur congolais de s’inspirer de la législation des autres pays qui consacrent le principe du remboursement de la caution aux candidats et partis politiques ayant obtenu un certain nombre des suffrages fixés par la loi et qui font de la caution l’instrument de la participation des femmes et des jeunes aux élections en exemptant les listes qui présentent cette catégorie du payement de la caution électorale exigée.
{"title":"De la Conformité des frais de dépôt des candidatures exigées en RDC à la Constitution et aux instruments juridiques internationaux de protection des droits de l’homme: Plaidoyer pour la réduction à la baisse de la caution électorale","authors":"Shamashanga Minga Clément","doi":"10.5771/2363-6262-2023-3-255","DOIUrl":"https://doi.org/10.5771/2363-6262-2023-3-255","url":null,"abstract":"Consacrée à l’examen de la conformité des frais de dépôt des candidatures exigés en République Démocratique du Congo à la constitution et aux instruments juridiques internationaux de protection des droits de l’homme, l’étude démontre que le montant de la caution électorale fixé en droit congolais est très élevé et n’est pas compatible avec la constitution congolaise du 18 février 2006 et l’arsenal juridique international de protection des droits de l’homme qui consacrent l’égalité des citoyens devant la loi et interdisent toute discrimination fondée sur la fortune en matière d’accès aux fonctions publiques. L’étude suggère aux autorités congolaises de réduire à la baisse le montant de la caution pour d’une part, se conformer à la constitution et aux normes internationales de protection des droits de l’homme et, d’autre part, encourager la participation active des citoyens aux ressources modestes au processus électoral. Dans cette perspective, l’étude proposer au législateur congolais de s’inspirer de la législation des autres pays qui consacrent le principe du remboursement de la caution aux candidats et partis politiques ayant obtenu un certain nombre des suffrages fixés par la loi et qui font de la caution l’instrument de la participation des femmes et des jeunes aux élections en exemptant les listes qui présentent cette catégorie du payement de la caution électorale exigée.","PeriodicalId":194676,"journal":{"name":"KAS African Law Study Library - Librairie Africaine d’Etudes Juridiques","volume":"77 9 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"128898693","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 1900-01-01DOI: 10.5771/2363-6262-2020-4-601
Pie Habimana
Harmful tax competition is a topic that is globally and hotly discussed. For the past three decades, research on this topic consistently increased. Globally, states have been engaged in different projects aiming at regulating that phenomenon. Because of its international character, most of, if not all, the successful initiatives were undertaken under the auspices of regional organizations. The European Union and the Organization for Economic Cooperation and Development are good examples. This paper studies the current regulation of harmful tax competition in the East African Community. It shows how the EAC has not yet developed a sufficient regulatory approach against harmful tax competition. It also reflects on the challenges thereto related and proposes some actions that EAC needs to undertake to revamp the regulatory situation of harmful tax competition. In consideration of the harmful effects of harmful tax competition, this paper instigates the EAC partner states to stop disregarding harmful tax competition and recommends adopting a Code of Conduct against harmful tax competition in the EAC.
{"title":"The regulation of harmful tax competition in the EAC: current status, challenges, and ways forward","authors":"Pie Habimana","doi":"10.5771/2363-6262-2020-4-601","DOIUrl":"https://doi.org/10.5771/2363-6262-2020-4-601","url":null,"abstract":"Harmful tax competition is a topic that is globally and hotly discussed. For the past three decades, research on this topic consistently increased. Globally, states have been engaged in different projects aiming at regulating that phenomenon. Because of its international character, most of, if not all, the successful initiatives were undertaken under the auspices of regional organizations. The European Union and the Organization for Economic Cooperation and Development are good examples. This paper studies the current regulation of harmful tax competition in the East African Community. It shows how the EAC has not yet developed a sufficient regulatory approach against harmful tax competition. It also reflects on the challenges thereto related and proposes some actions that EAC needs to undertake to revamp the regulatory situation of harmful tax competition. In consideration of the harmful effects of harmful tax competition, this paper instigates the EAC partner states to stop disregarding harmful tax competition and recommends adopting a Code of Conduct against harmful tax competition in the EAC.","PeriodicalId":194676,"journal":{"name":"KAS African Law Study Library - Librairie Africaine d’Etudes Juridiques","volume":"16 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"117004040","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 1900-01-01DOI: 10.5771/2363-6262-2022-4-301
David Mukulu Mukwabatu
En République démocratique du Congo, la démocratie indirecte est un mode de représentation politique qui aliène directement au souverain primaire une portion importante de son pouvoir politique. Elle lui laisse cependant la possibilité de se faire représenter par des individus que l’on nomme Elus. Par des élections, l’élu est cette personne qui arrache, par des voies persuasives et autres, le suffrage à l’électeur dans le but, non seulement de représenter son électorat, mais aussi son parti ou regroupement politique dans les institutions politiques du pays. Mais il s’avère que la personne nommée Autorité morale influe tout aussi dans ce processus qui fait du candidat un élu. Voilà pourquoi, le long de ce travail, le débat tournera autour des questions suivantes : Vers qui tend la redevabilité de l’élu? Et Pourquoi? Ce qui nous conduira inéluctablement à questionner la source et l’exercice du pouvoir de l’élu congolais.
{"title":"La redevabilité des élus – Entre la loyauté à l’autorité morale et les desiderata de la base","authors":"David Mukulu Mukwabatu","doi":"10.5771/2363-6262-2022-4-301","DOIUrl":"https://doi.org/10.5771/2363-6262-2022-4-301","url":null,"abstract":"En République démocratique du Congo, la démocratie indirecte est un mode de représentation politique qui aliène directement au souverain primaire une portion importante de son pouvoir politique. Elle lui laisse cependant la possibilité de se faire représenter par des individus que l’on nomme Elus. Par des élections, l’élu est cette personne qui arrache, par des voies persuasives et autres, le suffrage à l’électeur dans le but, non seulement de représenter son électorat, mais aussi son parti ou regroupement politique dans les institutions politiques du pays. Mais il s’avère que la personne nommée Autorité morale influe tout aussi dans ce processus qui fait du candidat un élu. Voilà pourquoi, le long de ce travail, le débat tournera autour des questions suivantes : Vers qui tend la redevabilité de l’élu? Et Pourquoi? Ce qui nous conduira inéluctablement à questionner la source et l’exercice du pouvoir de l’élu congolais.","PeriodicalId":194676,"journal":{"name":"KAS African Law Study Library - Librairie Africaine d’Etudes Juridiques","volume":"5 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"120953113","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 1900-01-01DOI: 10.5771/2363-6262-2021-3-356
Gloria Kembabazi
This paper examines wildlife protection and prevention of illegal wildlife trade, the importance of it and the role law plays in ensuring that wildlife is protected and its illegal trade curbed. It goes further to examine some national, regional, and international instruments towards these double aims. The national instruments focus on Uganda and the regional instruments focus on the East African Community. Towards the end, the author also examines and analyses some challenges facing wildlife protection and prevention of illegal wildlife trade.
{"title":"Wildlife Protection and Prevention of Illegal Wildlife Trade: Legal Framework and Challenges","authors":"Gloria Kembabazi","doi":"10.5771/2363-6262-2021-3-356","DOIUrl":"https://doi.org/10.5771/2363-6262-2021-3-356","url":null,"abstract":"This paper examines wildlife protection and prevention of illegal wildlife trade, the importance of it and the role law plays in ensuring that wildlife is protected and its illegal trade curbed. It goes further to examine some national, regional, and international instruments towards these double aims. The national instruments focus on Uganda and the regional instruments focus on the East African Community. Towards the end, the author also examines and analyses some challenges facing wildlife protection and prevention of illegal wildlife trade.","PeriodicalId":194676,"journal":{"name":"KAS African Law Study Library - Librairie Africaine d’Etudes Juridiques","volume":"100 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"122610803","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 1900-01-01DOI: 10.5771/2363-6262-2023-3-366
Kalombo Kandu Mwabilay Fiston Le Bref
L’État de droit offre une opportunité aux gouvernants d’être régulièrement à l’écoute des gouvernés. À cet effet, les élections sont organisées à des intervalles réguliers. Ainsi, le pouvoir issu des élections semble être le plus légitime qui puisse exister. Toutefois, quoique renforcé par la légalité, le pouvoir même issu d’une élection, est susceptible de perdre toute légitimité à cause du taux de sa participation. Les jours d’élections, le niveau de celle-ci est fébrilement attendu et constitue un préalable à tout commentaire. Comme un baromètre, il est un indicateur du climat de l’opinion, du lien entre les citoyens et leur représentation politique, et plus largement de l’état de santé de la démocratie. D’origine diverse, les causes de l’abstention dépassent le simple motif de désintérêt et couvre les aspects tant juridiques que politiques. Dans les jours à venir, la République démocratique du Congo est sensé organiser un lot important des scrutins de son histoire. Par contre, au regard des statistiques du taux de participation aux élections de 2006, à celles 2011 et récemment à celles organisées en décembre 2018, le prochain cycle risque de connaitre un taux d’abstention le plus élevé. Ce qui aura une implication considérable sur la légitimité des institutions à origine électorale. L’indicateur proposé rend compte des causes et conséquences de ce phénomène et prescrit une kyrielle des remèdes parmi lesquelles la lutte contre la fraude électorale, l’amplification de l’éducation tant civique que politique, la conception de l’exercice du droit de vote comme un devoir et la réforme du système électoral congolais.
{"title":"Incidence de l’abstention sur la légitimite des Élus en République Démocratique du Congo","authors":"Kalombo Kandu Mwabilay Fiston Le Bref","doi":"10.5771/2363-6262-2023-3-366","DOIUrl":"https://doi.org/10.5771/2363-6262-2023-3-366","url":null,"abstract":"L’État de droit offre une opportunité aux gouvernants d’être régulièrement à l’écoute des gouvernés. À cet effet, les élections sont organisées à des intervalles réguliers. Ainsi, le pouvoir issu des élections semble être le plus légitime qui puisse exister. Toutefois, quoique renforcé par la légalité, le pouvoir même issu d’une élection, est susceptible de perdre toute légitimité à cause du taux de sa participation. Les jours d’élections, le niveau de celle-ci est fébrilement attendu et constitue un préalable à tout commentaire. Comme un baromètre, il est un indicateur du climat de l’opinion, du lien entre les citoyens et leur représentation politique, et plus largement de l’état de santé de la démocratie. D’origine diverse, les causes de l’abstention dépassent le simple motif de désintérêt et couvre les aspects tant juridiques que politiques. Dans les jours à venir, la République démocratique du Congo est sensé organiser un lot important des scrutins de son histoire. Par contre, au regard des statistiques du taux de participation aux élections de 2006, à celles 2011 et récemment à celles organisées en décembre 2018, le prochain cycle risque de connaitre un taux d’abstention le plus élevé. Ce qui aura une implication considérable sur la légitimité des institutions à origine électorale. L’indicateur proposé rend compte des causes et conséquences de ce phénomène et prescrit une kyrielle des remèdes parmi lesquelles la lutte contre la fraude électorale, l’amplification de l’éducation tant civique que politique, la conception de l’exercice du droit de vote comme un devoir et la réforme du système électoral congolais.","PeriodicalId":194676,"journal":{"name":"KAS African Law Study Library - Librairie Africaine d’Etudes Juridiques","volume":"1 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"123220541","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 1900-01-01DOI: 10.5771/2363-6262-2019-4-577
Lohya Ibrahim Lakai
Nigeria as a state is a member of many international institutions and organizations. Nigeria has also benefited from these institutions particularly financial institutions. For example, the World Bank, International Monetary Fund (IMF) Paris club, The German Development Bank (KWF), African Development Bank, etc. through loans, grants and aid assisted the Nigerian Government in funding some projects and institutions. Despite this funding, Nigeria Institutions continues show little or no impact commensurate to the funding plunged. This work tries to discuss the role of international institutions in co-financing public institutions in Nigeria. In discussing the role of international institutions, the obstacles and challenges for an effective and transparent procedure will be considered as well as proffer solutions to them.
{"title":"The Role of International Institutions (E.G. World Bank) In Co-Financing Public Institutions in Nigeria: Obstacles and Challenges for an Effective and Transparent Procedure.","authors":"Lohya Ibrahim Lakai","doi":"10.5771/2363-6262-2019-4-577","DOIUrl":"https://doi.org/10.5771/2363-6262-2019-4-577","url":null,"abstract":"Nigeria as a state is a member of many international institutions and organizations. Nigeria has also benefited from these institutions particularly financial institutions. For example, the World Bank, International Monetary Fund (IMF) Paris club, The German Development Bank (KWF), African Development Bank, etc. through loans, grants and aid assisted the Nigerian Government in funding some projects and institutions. Despite this funding, Nigeria Institutions continues show little or no impact commensurate to the funding plunged. This work tries to discuss the role of international institutions in co-financing public institutions in Nigeria. In discussing the role of international institutions, the obstacles and challenges for an effective and transparent procedure will be considered as well as proffer solutions to them.","PeriodicalId":194676,"journal":{"name":"KAS African Law Study Library - Librairie Africaine d’Etudes Juridiques","volume":"296 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"124247077","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 1900-01-01DOI: 10.5771/2363-6262-2021-3-389
Violla Nabawanda
This paper discusses local production and international trade regulations that is the legal framework and challenges encountered in ensuring compliance with such trade regulations. It contextualizes the meaning of local production and its benefits. This paper further discusses the key international trade regulations such as the World Trade Organisation (WTO) which was created out of the General Agreement on Tariffs and Trade (GATT). At regional level specifically Africa, this paper discusses the African Continental Free Trade Area Agreement (AfCFTA) whose main focus is to establish a free trade area. Furthermore, this paper discusses the challenges encountered in ensuring that local production by African countries is in compliance with the international and regional trade regulations.
{"title":"Local production and international trade regulations: challenges and legal framework","authors":"Violla Nabawanda","doi":"10.5771/2363-6262-2021-3-389","DOIUrl":"https://doi.org/10.5771/2363-6262-2021-3-389","url":null,"abstract":"This paper discusses local production and international trade regulations that is the legal framework and challenges encountered in ensuring compliance with such trade regulations. It contextualizes the meaning of local production and its benefits. This paper further discusses the key international trade regulations such as the World Trade Organisation (WTO) which was created out of the General Agreement on Tariffs and Trade (GATT). At regional level specifically Africa, this paper discusses the African Continental Free Trade Area Agreement (AfCFTA) whose main focus is to establish a free trade area. Furthermore, this paper discusses the challenges encountered in ensuring that local production by African countries is in compliance with the international and regional trade regulations.","PeriodicalId":194676,"journal":{"name":"KAS African Law Study Library - Librairie Africaine d’Etudes Juridiques","volume":"21 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"132207027","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
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