{"title":"Congrès mondial des maladies non transmissibles 2023","authors":"","doi":"10.24095/hpcdp.43.5.06f","DOIUrl":"https://doi.org/10.24095/hpcdp.43.5.06f","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":371766,"journal":{"name":"Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada","volume":"17 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2023-05-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"135050950","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Je suis entièrement d’accord avec Choi et ses collaborateurs pour dire qu’une collaboration interdisciplinaire permanente est nécessaire afin de régler les problèmes de santé complexes et d’améliorer la santé de tous. Toutefois, le concept de « santé publique clinique » décrit dans leur commentaire ne permettra pas de parvenir à cette fin.
{"title":"Lettre à la rédaction - Ce dont nous avons besoin, c’est d’une santé publique politico-économique","authors":"","doi":"10.24095/hpcdp.43.4.05f","DOIUrl":"https://doi.org/10.24095/hpcdp.43.4.05f","url":null,"abstract":"Je suis entièrement d’accord avec Choi et ses collaborateurs pour dire qu’une collaboration interdisciplinaire permanente est nécessaire afin de régler les problèmes de santé complexes et d’améliorer la santé de tous. Toutefois, le concept de « santé publique clinique » décrit dans leur commentaire ne permettra pas de parvenir à cette fin.","PeriodicalId":371766,"journal":{"name":"Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada","volume":"19 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2023-04-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"125498323","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Congrès mondial des maladies non transmissibles 2023","authors":"","doi":"10.24095/hpcdp.43.4.09f","DOIUrl":"https://doi.org/10.24095/hpcdp.43.4.09f","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":371766,"journal":{"name":"Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada","volume":"29 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2023-04-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"121482546","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Alexa R. Yakubovich, Bridget Steele, Catherine Moses, Elizabeth Tremblay, Monique Arcenal, Patricia O’Campo, Robin Mason, Janice Du Mont, Maria Huijbregts, Lauren Hough, Amanda Sim, Priya Shastri
Introduction Le gouvernement canadien s’est engagé à mettre en oeuvre un Plan d’action national pour mettre fin à la violence envers les femmes. Toutefois, aucun plan officiel de mise en oeuvre n’a été publié. En nous appuyant sur les recommandations déjà formulées et les consultations réalisées, nous avons effectué la première analyse qualitative officielle révisée par des pairs des points de vue de dirigeants, de fournisseurs de services et de survivantes quant aux éléments qui devraient être pris en compte dans le PAN visant à lutter contre la violence envers les femmes. Méthodologie Nous avons réalisé une analyse thématique des données qualitatives de 18 employés des services de lutte contre la violence envers les femmes (11 offrant un soutien direct, 7 occupant un poste de direction) et 10 survivantes à la violence envers les femmes ayant participé à une étude communautaire sur les programmes de lutte contre la violence envers les femmes pendant la pandémie de COVID-19 dans la région du Grand Toronto (Ontario, Canada). Résultats Nous avons formulé 12 recommandations relatives au Plan d’action national pour mettre fin à la violence envers les femmes, recommandations que nous avons organisées selon quatre domaines thématiques : 1) investir dans les services de lutte contre la violence envers les femmes et de soutien en cas de crise (par exemple renforcer les mécanismes de référencement vers les programmes de lutte contre la violence envers les femmes); 2) améliorer les services de soutien structuraux (par exemple investir dans l’ensemble du secteur du logement pour les survivantes à la violence envers les femmes); 3) élaborer des systèmes coordonnés (par exemple renforcer la collaboration entre le système de santé et le système de lutte contre la violence envers les femmes) et 4) mettre en oeuvre et évaluer les stratégies de prévention primaire (par exemple mener une analyse intersectionnelle et tenant compte du genre à propos des politiques sociales et publiques mises en place). Conclusion Dans le cadre de cette étude, nous avons formulé des recommandations, les avons classées par ordre de priorité et avons nuancé les recommandations déjà émises pour le Plan d’action national pour lutter contre la violence envers les femmes en nous fondant sur une analyse rigoureuse des points de vue de survivantes à la violence envers les femmes et d’employés luttant contre la violence envers les femmes dans la plus grande ville au Canada pendant la pandémie de COVID-19. Un plan efficace nécessite des investissements dans les organismes offrant un soutien direct; un accès au logement équitable ainsi que d’autres services de soutien structurel; une coordination stratégique des systèmes de santé, de justice et sociaux et enfin des stratégies de prévention primaires, en particulier une réforme pour des politiques transformatrices de genre.
{"title":"Recommandations pour le Plan d’action national pour mettre fin à la violence fondée sur le genre : points de vue de dirigeants, de fournisseurs de services et de survivantes dans la plus grande ville du Canada pendant la pandémie de COVID-19","authors":"Alexa R. Yakubovich, Bridget Steele, Catherine Moses, Elizabeth Tremblay, Monique Arcenal, Patricia O’Campo, Robin Mason, Janice Du Mont, Maria Huijbregts, Lauren Hough, Amanda Sim, Priya Shastri","doi":"10.24095/hpcdp.43.4.01f","DOIUrl":"https://doi.org/10.24095/hpcdp.43.4.01f","url":null,"abstract":"<sec> <title>Introduction</title> Le gouvernement canadien s’est engagé à mettre en oeuvre un Plan d’action national pour mettre fin à la violence envers les femmes. Toutefois, aucun plan officiel de mise en oeuvre n’a été publié. En nous appuyant sur les recommandations déjà formulées et les consultations réalisées, nous avons effectué la première analyse qualitative officielle révisée par des pairs des points de vue de dirigeants, de fournisseurs de services et de survivantes quant aux éléments qui devraient être pris en compte dans le PAN visant à lutter contre la violence envers les femmes. </sec> <sec> <title>Méthodologie</title> Nous avons réalisé une analyse thématique des données qualitatives de 18 employés des services de lutte contre la violence envers les femmes (11 offrant un soutien direct, 7 occupant un poste de direction) et 10 survivantes à la violence envers les femmes ayant participé à une étude communautaire sur les programmes de lutte contre la violence envers les femmes pendant la pandémie de COVID-19 dans la région du Grand Toronto (Ontario, Canada). </sec> <sec> <title>Résultats</title> Nous avons formulé 12 recommandations relatives au Plan d’action national pour mettre fin à la violence envers les femmes, recommandations que nous avons organisées selon quatre domaines thématiques : 1) investir dans les services de lutte contre la violence envers les femmes et de soutien en cas de crise (par exemple renforcer les mécanismes de référencement vers les programmes de lutte contre la violence envers les femmes); 2) améliorer les services de soutien structuraux (par exemple investir dans l’ensemble du secteur du logement pour les survivantes à la violence envers les femmes); 3) élaborer des systèmes coordonnés (par exemple renforcer la collaboration entre le système de santé et le système de lutte contre la violence envers les femmes) et 4) mettre en oeuvre et évaluer les stratégies de prévention primaire (par exemple mener une analyse intersectionnelle et tenant compte du genre à propos des politiques sociales et publiques mises en place). </sec> <sec> <title>Conclusion</title> Dans le cadre de cette étude, nous avons formulé des recommandations, les avons classées par ordre de priorité et avons nuancé les recommandations déjà émises pour le Plan d’action national pour lutter contre la violence envers les femmes en nous fondant sur une analyse rigoureuse des points de vue de survivantes à la violence envers les femmes et d’employés luttant contre la violence envers les femmes dans la plus grande ville au Canada pendant la pandémie de COVID-19. Un plan efficace nécessite des investissements dans les organismes offrant un soutien direct; un accès au logement équitable ainsi que d’autres services de soutien structurel; une coordination stratégique des systèmes de santé, de justice et sociaux et enfin des stratégies de prévention primaires, en particulier une réforme pour des politiques transformatrices de genre. </sec>","PeriodicalId":371766,"journal":{"name":"Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada","volume":"250 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2023-04-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"136315715","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
L’objectif de cet addenda et note de l’éditeur est de fournir plus d’information et d’éléments de context jugés pertinents pour les lectrices et les lecteurs en lien avec l’article suivant : Yakubovich AR, Steele B, Moses C, Tremblay E, Arcenal M, O’Campo P, Mason R, Du Mont J, Huijbregts M, Hough L, Sim A, Shastri P. Recommandations pour le Plan d’action national pour mettre fin à la violence fondée sur le genre : points de vue de dirigeants, de fournisseurs de services et de survivantes dans la plus grande ville du Canada pendant la pandémie de COVID-19. Promotion de la santé et prevention des maladies chroniques au Canada. 2023;43(4). https://doi.org/10.24095/hpcdp.43.4.01f
{"title":"Addenda et Note de l’éditeur - Recommandations pour le Plan d’action national pour mettre fin à la violence fondée sur le genre : points de vue de dirigeants, de fournisseurs de services et de survivantes dans la plus grande ville du Canada pendant la pandémie de COVID-19","authors":"","doi":"10.24095/hpcdp.43.4.08f","DOIUrl":"https://doi.org/10.24095/hpcdp.43.4.08f","url":null,"abstract":"L’objectif de cet addenda et note de l’éditeur est de fournir plus d’information et d’éléments de context jugés pertinents pour les lectrices et les lecteurs en lien avec l’article suivant : Yakubovich AR, Steele B, Moses C, Tremblay E, Arcenal M, O’Campo P, Mason R, Du Mont J, Huijbregts M, Hough L, Sim A, Shastri P. Recommandations pour le Plan d’action national pour mettre fin à la violence fondée sur le genre : points de vue de dirigeants, de fournisseurs de services et de survivantes dans la plus grande ville du Canada pendant la pandémie de COVID-19. Promotion de la santé et prevention des maladies chroniques au Canada. 2023;43(4). https://doi.org/10.24095/hpcdp.43.4.01f","PeriodicalId":371766,"journal":{"name":"Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada","volume":"1 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2023-04-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"134946670","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Appel à contributions : La prescription sociale au Canada","authors":"","doi":"10.24095/hpcdp.43.4.10f","DOIUrl":"https://doi.org/10.24095/hpcdp.43.4.10f","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":371766,"journal":{"name":"Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada","volume":"287 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2023-04-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"134946672","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Laura L. Ooi, Li Liu, K. C. Roberts, Geneviève Gariépy, Colin A. Capaldi
Introduction L’isolement social et la solitude sont associés à une moins bonne santé mentale chez les aînés. Toutefois, on en sait moins sur la façon dont ces expériences sont associées de manière indépendante à une santé mentale positive pendant la pandémie de COVID-19. Méthodologie Nous avons analysé les données des cycles de 2020 et de 2021 de l’Enquête sur la COVID-19 et la santé mentale pour être en mesure d’estimer le degré d’isolement social (le fait de vivre seul), la solitude et divers indicateurs d’une santé mentale positive (bonne santé mentale autoévaluée, fort sentiment d’appartenance à la communauté locale et satisfaction moyenne à l’égard de la vie) chez les aînés en général (65 ans ou plus) et en fonction de divers groupes sociodémographiques. Nous avons également effectué des régressions logistiques et linéaires pour analyser séparément et conjointement la façon dont l’isolement social et la solitude sont associés à une santé mentale positive. Résultats Près de 3 aînés sur 10 ont déclaré vivre seuls, et plus du tiers ont déclaré éprouver un sentiment de solitude en raison de la pandémie. Analysés séparément, le fait de vivre seul et le sentiment de solitude ont été associés à une santé mentale positive plus faible. Dans l’analyse conjointe, le sentiment de solitude est demeuré un important facteur indépendant associé aux trois indicateurs de santé mentale positive (globalement et dans tous les groupes sociodémographiques), mais le fait de vivre seul ne s’est révélé un facteur important que dans le cas d’un fort sentiment d’appartenance à la communauté locale dans la population globale, pour les hommes et pour les 65 à 74 ans. Conclusion De manière générale, l’isolement social et la solitude ont été associés à un bien-être inférieur chez les aînés au Canada pendant la pandémie. La solitude est demeurée un facteur important associé à tous les indicateurs de santé mentale positive après ajustement pour l’isolement social, mais non l’inverse. Ces résultats montrent qu’il faut repérer et soutenir adéquatement les aînés qui souffrent de solitude pendant (et après) une pandémie.
{"title":"Isolement social, solitude et santé mentale positive chez les aînés au Canada pendant la pandémie de COVID-19","authors":"Laura L. Ooi, Li Liu, K. C. Roberts, Geneviève Gariépy, Colin A. Capaldi","doi":"10.24095/hpcdp.43.4.02f","DOIUrl":"https://doi.org/10.24095/hpcdp.43.4.02f","url":null,"abstract":"\u0000 Introduction\u0000 L’isolement social et la solitude sont associés à une moins bonne santé mentale chez les aînés. Toutefois, on en sait moins sur la façon dont ces expériences sont associées de manière indépendante à une santé mentale positive pendant la pandémie de COVID-19.\u0000 \u0000 \u0000 Méthodologie\u0000 Nous avons analysé les données des cycles de 2020 et de 2021 de l’Enquête sur la COVID-19 et la santé mentale pour être en mesure d’estimer le degré d’isolement social (le fait de vivre seul), la solitude et divers indicateurs d’une santé mentale positive (bonne santé mentale autoévaluée, fort sentiment d’appartenance à la communauté locale et satisfaction moyenne à l’égard de la vie) chez les aînés en général (65 ans ou plus) et en fonction de divers groupes sociodémographiques. Nous avons également effectué des régressions logistiques et linéaires pour analyser séparément et conjointement la façon dont l’isolement social et la solitude sont associés à une santé mentale positive.\u0000 \u0000 \u0000 Résultats\u0000 Près de 3 aînés sur 10 ont déclaré vivre seuls, et plus du tiers ont déclaré éprouver un sentiment de solitude en raison de la pandémie. Analysés séparément, le fait de vivre seul et le sentiment de solitude ont été associés à une santé mentale positive plus faible. Dans l’analyse conjointe, le sentiment de solitude est demeuré un important facteur indépendant associé aux trois indicateurs de santé mentale positive (globalement et dans tous les groupes sociodémographiques), mais le fait de vivre seul ne s’est révélé un facteur important que dans le cas d’un fort sentiment d’appartenance à la communauté locale dans la population globale, pour les hommes et pour les 65 à 74 ans.\u0000 \u0000 \u0000 Conclusion\u0000 De manière générale, l’isolement social et la solitude ont été associés à un bien-être inférieur chez les aînés au Canada pendant la pandémie. La solitude est demeurée un facteur important associé à tous les indicateurs de santé mentale positive après ajustement pour l’isolement social, mais non l’inverse. Ces résultats montrent qu’il faut repérer et soutenir adéquatement les aînés qui souffrent de solitude pendant (et après) une pandémie.\u0000","PeriodicalId":371766,"journal":{"name":"Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada","volume":"98 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2023-04-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"132419377","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Autres publications de l’ASPC","authors":"","doi":"10.24095/hpcdp.43.4.11f","DOIUrl":"https://doi.org/10.24095/hpcdp.43.4.11f","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":371766,"journal":{"name":"Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada","volume":"96 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2023-04-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"134946676","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Bernard C. K. Choi, Neeru Gupta, Arlene S. King, Kathryn Graham, Rose Bilotta, Peter Selby, Bart J. Harvey, Pierrette Buklis, Donna L. Reynolds
Nous sommes heureux que notre article sur la santé publique clinique1 ait reçu l’appui du Dr Shah2, qui mentionne également des éléments historiques importants au sujet de la santé publique clinique. Le Dr Shah a été le premier directeur d’un nouveau programme de résidence lancé en 1976 à l’Université de Toronto, soit le programme de résidence en médecine communautaire, qui porte maintenant le nom de programme de résidence en santé publique et en médecine préventive. Même s’il prétend ne pas avoir « su rassembler les cliniciens et les professionnels de la santé publique pour définir les éléments communs et les synergies nécessaires »2, nous sommes d’avis qu’il n’a pas échoué, car ses efforts ont inspiré ses étudiants (dont plusieurs ont corédigé l’article en question1). Tirant parti de son héritage important, les générations suivantes de cliniciens et de professionnels en santé publique ont fait des avancées sur le plan d’une collaboration efficace entre médecine clinique et santé publique.
{"title":"Lettre à la rédaction - Réponse des auteurs aux lettres à la rédaction à propos du commentaire « Santé publique clinique : exploiter le meilleur des deux mondes pour la santé comme pour le traitement des maladies »","authors":"Bernard C. K. Choi, Neeru Gupta, Arlene S. King, Kathryn Graham, Rose Bilotta, Peter Selby, Bart J. Harvey, Pierrette Buklis, Donna L. Reynolds","doi":"10.24095/hpcdp.43.4.07f","DOIUrl":"https://doi.org/10.24095/hpcdp.43.4.07f","url":null,"abstract":"Nous sommes heureux que notre article sur la santé publique clinique1 ait reçu l’appui du Dr Shah2, qui mentionne également des éléments historiques importants au sujet de la santé publique clinique. Le Dr Shah a été le premier directeur d’un nouveau programme de résidence lancé en 1976 à l’Université de Toronto, soit le programme de résidence en médecine communautaire, qui porte maintenant le nom de programme de résidence en santé publique et en médecine préventive. Même s’il prétend ne pas avoir « su rassembler les cliniciens et les professionnels de la santé publique pour définir les éléments communs et les synergies nécessaires »2, nous sommes d’avis qu’il n’a pas échoué, car ses efforts ont inspiré ses étudiants (dont plusieurs ont corédigé l’article en question1). Tirant parti de son héritage important, les générations suivantes de cliniciens et de professionnels en santé publique ont fait des avancées sur le plan d’une collaboration efficace entre médecine clinique et santé publique.","PeriodicalId":371766,"journal":{"name":"Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada","volume":"1 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2023-04-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"134946673","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Introduction Chez l’adulte, l’exposition chronique à la pollution atmosphérique est associée à une élévation de la pression artérielle, mais peu d’études ont porté sur ce lien chez les jeunes. Nous avons étudié l’association entre les concentrations ambiantes annuelles de polluants atmosphériques (particules fines [PM2,5] et dioxyde d’azote [NO2]) et la pression artérielle systolique (PAS) chez des adolescents à Montréal (Canada). Méthodologie Les participants étaient des élèves de 15 à 17 ans ayant fourni des données sur leur PAS et le code postal de leur lieu de résidence en 2004-2005 dans le cadre de l’étude sur la dépendance à la nicotine chez les adolescents (NICO). Les estimations annuelles de l’exposition résidentielle au NO2 et aux PM2,5 pour 2004, fournies par le Canadian Urban Environmental Health Research Consortium, ont été couplées au code postal du lieu de résidence des participants. La PAS a été jugée élevée lorsqu’elle était supérieure ou égale au 90e percentile ajusté pour l’âge, le sexe et la taille. Une régression logistique a servi à estimer les rapports de cotes et les intervalles de confiance (IC) à 95 % pour l’association entre chaque polluant et une PAS élevée, avec ajustement pour les variables de confusion pertinentes. Résultats L’échantillon comprenait 508 adolescents (âge moyen : 16,9 ans; 46 % étant de sexe masculin), dont 4 % avec une PAS élevée. Même si les estimations ne sont pas statistiquement significatives, des associations positives généralement modestes ont été constatées entre les concentrations de polluants et la PAS. Le rapport de cotes ajusté de la prévalence d’une PAS élevée était de 1,33 (IC à 95 % : 0,64 à 3,05) par augmentation de chaque intervalle interquartile (IIQ) de concentration résidentielle de PM2,5 (2,1 μg/m3). De même, le rapport de cotes ajusté de la prévalence d’une PAS élevée était de 1,17 (IC à 95 % : 0,47 à 2,70) par augmentation de chaque IIQ de concentration résidentielle de NO2 (10,2 ppb). Conclusion Les résultats corroborent l’existence d’un lien possible entre l’exposition aux polluants atmosphériques et l’élévation de la PAS chez les adolescents, ce qui justifie une analyse approfondie portant sur cet important problème de santé publique.
{"title":"Association entre l’exposition annuelle à la pollution atmosphérique et la pression artérielle systolique chez des adolescents à Montréal (Canada)","authors":"","doi":"10.24095/hpcdp.43.4.04f","DOIUrl":"https://doi.org/10.24095/hpcdp.43.4.04f","url":null,"abstract":"\u0000 Introduction\u0000 Chez l’adulte, l’exposition chronique à la pollution atmosphérique est associée à une élévation de la pression artérielle, mais peu d’études ont porté sur ce lien chez les jeunes. Nous avons étudié l’association entre les concentrations ambiantes annuelles de polluants atmosphériques (particules fines [PM2,5] et dioxyde d’azote [NO2]) et la pression artérielle systolique (PAS) chez des adolescents à Montréal (Canada).\u0000 \u0000 \u0000 Méthodologie\u0000 Les participants étaient des élèves de 15 à 17 ans ayant fourni des données sur leur PAS et le code postal de leur lieu de résidence en 2004-2005 dans le cadre de l’étude sur la dépendance à la nicotine chez les adolescents (NICO). Les estimations annuelles de l’exposition résidentielle au NO2 et aux PM2,5 pour 2004, fournies par le Canadian Urban Environmental Health Research Consortium, ont été couplées au code postal du lieu de résidence des participants. La PAS a été jugée élevée lorsqu’elle était supérieure ou égale au 90e percentile ajusté pour l’âge, le sexe et la taille. Une régression logistique a servi à estimer les rapports de cotes et les intervalles de confiance (IC) à 95 % pour l’association entre chaque polluant et une PAS élevée, avec ajustement pour les variables de confusion pertinentes.\u0000 \u0000 \u0000 Résultats\u0000 L’échantillon comprenait 508 adolescents (âge moyen : 16,9 ans; 46 % étant de sexe masculin), dont 4 % avec une PAS élevée. Même si les estimations ne sont pas statistiquement significatives, des associations positives généralement modestes ont été constatées entre les concentrations de polluants et la PAS. Le rapport de cotes ajusté de la prévalence d’une PAS élevée était de 1,33 (IC à 95 % : 0,64 à 3,05) par augmentation de chaque intervalle interquartile (IIQ) de concentration résidentielle de PM2,5 (2,1 μg/m3). De même, le rapport de cotes ajusté de la prévalence d’une PAS élevée était de 1,17 (IC à 95 % : 0,47 à 2,70) par augmentation de chaque IIQ de concentration résidentielle de NO2 (10,2 ppb).\u0000 \u0000 \u0000 Conclusion\u0000 Les résultats corroborent l’existence d’un lien possible entre l’exposition aux polluants atmosphériques et l’élévation de la PAS chez les adolescents, ce qui justifie une analyse approfondie portant sur cet important problème de santé publique.\u0000","PeriodicalId":371766,"journal":{"name":"Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada","volume":"38 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2023-04-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"114953423","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}