{"title":"Eustathe de Thessalonique lecteur des Halieutiques","authors":"Morgane Cariou","doi":"10.3917/phil.902.0073","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/phil.902.0073","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":35616,"journal":{"name":"Revue de Philologie de Litterature et d Histoire Anciennes","volume":"136 1","pages":"73"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2016-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"73471188","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Non-existent but potentially actual. Aristotle on plenitude (Met. Θ 3-4, 1047b1-6) The first half of Metaphysics Θ, 4 is essential to understand Aristotle’s concept of δυνατόν and his position on the so-called Principle of Plenitude. Nevertheless, some scholars tend to forget that the constitution of the text and the syntactic reading of this passage are far from being unanimously accepted. The scholarly discussion on this text often takes place only at the philosophical level, as if all philological issues had already been satisfactorily answered. This is not, however, the case. We believe that no philosophical reading of these texts should leave aside the critical discussion of the textual problems so often raised by Aristotelian treatises. In accordance with this, we offer here a fresh examination of all textual data involved in our attempt to understand the theoretical meaning of Met. Θ 3-4, 1047b1-6. In our case, this means establishing the text of the passage at hand, and providing a new general interpretation of Aristotle’s doctrine regarding the ‘possible.’
{"title":"Non-existent but potentially actual. Aristotle on plenitude (Met. Θ 3-4, 1047b1-6)","authors":"L. Ferroni, Luca Gili","doi":"10.3917/phil.901.0081","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/phil.901.0081","url":null,"abstract":"Non-existent but potentially actual. Aristotle on plenitude (Met. Θ 3-4, 1047b1-6) The first half of Metaphysics Θ, 4 is essential to understand Aristotle’s concept of δυνατόν and his position on the so-called Principle of Plenitude. Nevertheless, some scholars tend to forget that the constitution of the text and the syntactic reading of this passage are far from being unanimously accepted. The scholarly discussion on this text often takes place only at the philosophical level, as if all philological issues had already been satisfactorily answered. This is not, however, the case. We believe that no philosophical reading of these texts should leave aside the critical discussion of the textual problems so often raised by Aristotelian treatises. In accordance with this, we offer here a fresh examination of all textual data involved in our attempt to understand the theoretical meaning of Met. Θ 3-4, 1047b1-6. In our case, this means establishing the text of the passage at hand, and providing a new general interpretation of Aristotle’s doctrine regarding the ‘possible.’","PeriodicalId":35616,"journal":{"name":"Revue de Philologie de Litterature et d Histoire Anciennes","volume":"1 1","pages":"81-114"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2016-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"91262764","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Cet article consiste en une etude comparee, sur le plan rhetorique, des recits fournis par Polybe et Tite-Live pour l’episode de la « bataille de l’Ebre » (Pol. 11, 31-33 ; Liv. 28, 31, 5-34, 12) lors de la reconquete de l’Espagne par Scipion durant la seconde guerre punique. Il s’attache a degager les conclusions vers lesquelles tendent les deux representations de l’evenement et les procedes utilises pour y faire adherer le lecteur.
{"title":"Polybe, Tite-Live et la bataille de l’Èbre (Pol. 11, 31-33; Liv. 28, 31, 5 – 34,12)","authors":"Benoît Sans","doi":"10.3917/PHIL.901.0165","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/PHIL.901.0165","url":null,"abstract":"Cet article consiste en une etude comparee, sur le plan rhetorique, des recits fournis par Polybe et Tite-Live pour l’episode de la « bataille de l’Ebre » (Pol. 11, 31-33 ; Liv. 28, 31, 5-34, 12) lors de la reconquete de l’Espagne par Scipion durant la seconde guerre punique. Il s’attache a degager les conclusions vers lesquelles tendent les deux representations de l’evenement et les procedes utilises pour y faire adherer le lecteur.","PeriodicalId":35616,"journal":{"name":"Revue de Philologie de Litterature et d Histoire Anciennes","volume":"33 1","pages":"165-190"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2016-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"91028251","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Le recit de la pluie miraculeuse chez Dion Cassius est fameux : il fait intervenir la magie et les demons mais a trop vite fait l’objet de conclusions historiques ou sociales sur l’Egypte, sur les magiciens et sur leur representation dans le monde romain. Une analyse detaillee du texte et de ses expressions est pourtant necessaire au prealable et devra inviter a la prudence. En effet, si court soit-il, ce passage ne va pas sans incoherences si on lui accorde l’autorite de Dion Cassius. L’article etudiera donc la demonologie de l’historien romain pour la comparer a celle du passage en question et replacera la magie dans la pragmatique enonciative qui lui donne une valeur polemique. Aussi ce passage se lira-t-il plus facilement si on le replace dans le contexte de sa transmission philologique. Cette approche imposera de considerer la polyphonie du texte en redonnant voix au chapitre au compilateur chretien.
{"title":"Polyphonie et historiographie : qui parle de magie chez Dion Cassius ?","authors":"Florian Audureau","doi":"10.3917/phil.902.0007","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/phil.902.0007","url":null,"abstract":"Le recit de la pluie miraculeuse chez Dion Cassius est fameux : il fait intervenir la magie et les demons mais a trop vite fait l’objet de conclusions historiques ou sociales sur l’Egypte, sur les magiciens et sur leur representation dans le monde romain. Une analyse detaillee du texte et de ses expressions est pourtant necessaire au prealable et devra inviter a la prudence. En effet, si court soit-il, ce passage ne va pas sans incoherences si on lui accorde l’autorite de Dion Cassius. L’article etudiera donc la demonologie de l’historien romain pour la comparer a celle du passage en question et replacera la magie dans la pragmatique enonciative qui lui donne une valeur polemique. Aussi ce passage se lira-t-il plus facilement si on le replace dans le contexte de sa transmission philologique. Cette approche imposera de considerer la polyphonie du texte en redonnant voix au chapitre au compilateur chretien.","PeriodicalId":35616,"journal":{"name":"Revue de Philologie de Litterature et d Histoire Anciennes","volume":"75 1","pages":"7-28"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2016-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"80508210","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"étymologie synchronique et diachronique dans les scholies","authors":"C. L. Feuvre","doi":"10.3917/phil.902.0143","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/phil.902.0143","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":35616,"journal":{"name":"Revue de Philologie de Litterature et d Histoire Anciennes","volume":"45 1","pages":"143"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2016-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"85228293","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Résumé : Le Livre de l’Amour , second livre du traité Du Beau et de l’Amour publié par Agostino Nifo en 1531, contient une série de fragments sans parallèle, attribués à des auteurs antiques. En rapprochant une citation d’Eudoxe de Cnide et une autre de Plutarque, il est montré que ces deux fragments proviennent d’un traité perdu de Plutarque (peut-être le traité Sur l’Amour , fr. 134-138 Sandbach). Partant, il est suggéré que ce traité perdu constitue la source des autres fragments sans parallèle, qui portent tous sur le même sujet et proviennent pour la plupart d’auteurs fréquemment cités par Plutarque. Le fragment sur l’amour selon Eudoxe de Cnide est ensuite analysé en détail, notamment dans ses rapports avec le Banquet de Platon. Enfin, les autres fragments (Empédocle, Aristippe, Ménandre et Lamynthios de Milet) font l’objet d’une présentation sommaire. L’ensemble illustre l’activité philologique de haut niveau d’Agostino Nifo, et la possibilité de recouvrer dans les textes d’humanistes des citations de textes antiques perdus.
{"title":"Source et valeur des fragments antiques sans parallèle dans le Livre de l’Amour d’Agostino Nifo","authors":"Victor Gysembergh","doi":"10.3917/phil.902.0029","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/phil.902.0029","url":null,"abstract":"Résumé : Le Livre de l’Amour , second livre du traité Du Beau et de l’Amour publié par Agostino Nifo en 1531, contient une série de fragments sans parallèle, attribués à des auteurs antiques. En rapprochant une citation d’Eudoxe de Cnide et une autre de Plutarque, il est montré que ces deux fragments proviennent d’un traité perdu de Plutarque (peut-être le traité Sur l’Amour , fr. 134-138 Sandbach). Partant, il est suggéré que ce traité perdu constitue la source des autres fragments sans parallèle, qui portent tous sur le même sujet et proviennent pour la plupart d’auteurs fréquemment cités par Plutarque. Le fragment sur l’amour selon Eudoxe de Cnide est ensuite analysé en détail, notamment dans ses rapports avec le Banquet de Platon. Enfin, les autres fragments (Empédocle, Aristippe, Ménandre et Lamynthios de Milet) font l’objet d’une présentation sommaire. L’ensemble illustre l’activité philologique de haut niveau d’Agostino Nifo, et la possibilité de recouvrer dans les textes d’humanistes des citations de textes antiques perdus.","PeriodicalId":35616,"journal":{"name":"Revue de Philologie de Litterature et d Histoire Anciennes","volume":"42 1","pages":"29"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2016-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"88378656","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Il est bien etabli que, pour le poete pratiquant l’art de l’allusion, l’image de l’echo ou les phenomenes de repetition sont autant de moyens de signaler au lecteur la presence d’un jeu intertextuel, ces figures de la duplication permettant de thematiser dans le texte la reiteration d’un modele cite, imite et souvent altere. Cet article suggere qu’Ovide invente dans les Metamorphoses de nouvelles formes de marquage de l’allusion, en combinant a ces marqueurs traditionnels de l’intertextualite des jeux sur la duplication intratextuelle, en l’occurrence entre l’histoire de Narcisse et Echo, situee au livre 3, et celle d’Orphee, situee aux livres 10-11. D’un cote, par la reiteration intratextuelle du polyptote multi, -ae designant les nombreux(/ses) pretendant(e)s repousse(e)s respectivement par Narcisse et par Orphee, le second passage ovidien permet d’expliciter et d’enrichir le lien intertextuel qui unit le premier a son modele catullien (Catull. 62). De l’autre cote, plusieurs jeux d’echos intratextuels entre les deux episodes deviennent en meme temps des marqueurs inedits de la relation intertextuelle qui unit le recit ovidien de la mort d’Orphee a son modele virgilien (Georg. 4).
{"title":"Duplications : échos et répétitions, de Narcisse à Orphée","authors":"F. Klein","doi":"10.3917/phil.902.0047","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/phil.902.0047","url":null,"abstract":"Il est bien etabli que, pour le poete pratiquant l’art de l’allusion, l’image de l’echo ou les phenomenes de repetition sont autant de moyens de signaler au lecteur la presence d’un jeu intertextuel, ces figures de la duplication permettant de thematiser dans le texte la reiteration d’un modele cite, imite et souvent altere. Cet article suggere qu’Ovide invente dans les Metamorphoses de nouvelles formes de marquage de l’allusion, en combinant a ces marqueurs traditionnels de l’intertextualite des jeux sur la duplication intratextuelle, en l’occurrence entre l’histoire de Narcisse et Echo, situee au livre 3, et celle d’Orphee, situee aux livres 10-11. D’un cote, par la reiteration intratextuelle du polyptote multi, -ae designant les nombreux(/ses) pretendant(e)s repousse(e)s respectivement par Narcisse et par Orphee, le second passage ovidien permet d’expliciter et d’enrichir le lien intertextuel qui unit le premier a son modele catullien (Catull. 62). De l’autre cote, plusieurs jeux d’echos intratextuels entre les deux episodes deviennent en meme temps des marqueurs inedits de la relation intertextuelle qui unit le recit ovidien de la mort d’Orphee a son modele virgilien (Georg. 4).","PeriodicalId":35616,"journal":{"name":"Revue de Philologie de Litterature et d Histoire Anciennes","volume":"33 1","pages":"47-66"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2016-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"81668431","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Philon lecteur de l’Éryxias ?","authors":"M. Donato","doi":"10.3917/phil.901.0069","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/phil.901.0069","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":35616,"journal":{"name":"Revue de Philologie de Litterature et d Histoire Anciennes","volume":"39 1","pages":"69"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2016-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"76823502","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Athenee s’ecarte des lecons proposees par Aristarque pour bien des vers de l’Iliade et de l’Odyssee. Il souligne sa meconnaissance des banquets homeriques, pour prouver que le grammairien travestit les mœurs veritables des heros. Au contraire, Athenee reconnait chez Telemaque, Pisistrate et Menelas les pratiques de ses propres personnages.
{"title":"Un éditeur dilettante : Aristarque dans les Deipnosophistes","authors":"Yannick Scolan","doi":"10.3917/PHIL.902.0129","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/PHIL.902.0129","url":null,"abstract":"Athenee s’ecarte des lecons proposees par Aristarque pour bien des vers de l’Iliade et de l’Odyssee. Il souligne sa meconnaissance des banquets homeriques, pour prouver que le grammairien travestit les mœurs veritables des heros. Au contraire, Athenee reconnait chez Telemaque, Pisistrate et Menelas les pratiques de ses propres personnages.","PeriodicalId":35616,"journal":{"name":"Revue de Philologie de Litterature et d Histoire Anciennes","volume":"39 1","pages":"129-141"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2016-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"86616513","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"La critique littéraire dans les scholies aux Olympiques de Pindare","authors":"S. David, M. Fartzoff","doi":"10.3917/phil.902.0171","DOIUrl":"https://doi.org/10.3917/phil.902.0171","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":35616,"journal":{"name":"Revue de Philologie de Litterature et d Histoire Anciennes","volume":"107 1","pages":"171"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2016-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"79147728","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}