Pub Date : 2020-12-17DOI: 10.29173/cjnser.2020v11n2a399
N. Neamtan, V. V. Schendel
The pandemic has had strong impacts on collective organizations in Quebec (community and social economy enterprises).In the short term, these organizations have shown a remarkable capacity to adapt and respond to urgent needs. But thepandemic has also underlined the importance of the approach, the discourse and the practices of these collectives initiatives. Will these contributions be taken into account in the path toward a new more equitable and sustainable “normality”?Les impacts de la pandemie sur les organisations collectives au Quebec (communautaire et economie sociale) sontimportants. A court terme, ces organisations ont demontre une capacite d’adaptation remarquable pour repondre auxurgences. Mais la pandemie a aussi mis a l’avant plan l’importance de l’approche, du discours et des pratiques de cesinitiatives collectives. Est-ce qu’on en tiendra compte dans la relance post-COVID pour cheminer vers une nouvelle« normalite » plus equitable et durable?
{"title":"La pandémie : une opportunité pour renforcer le rôle de l’action collective dans une nouvelle normalité ?","authors":"N. Neamtan, V. V. Schendel","doi":"10.29173/cjnser.2020v11n2a399","DOIUrl":"https://doi.org/10.29173/cjnser.2020v11n2a399","url":null,"abstract":"The pandemic has had strong impacts on collective organizations in Quebec (community and social economy enterprises).In the short term, these organizations have shown a remarkable capacity to adapt and respond to urgent needs. But thepandemic has also underlined the importance of the approach, the discourse and the practices of these collectives initiatives. Will these contributions be taken into account in the path toward a new more equitable and sustainable “normality”?Les impacts de la pandemie sur les organisations collectives au Quebec (communautaire et economie sociale) sontimportants. A court terme, ces organisations ont demontre une capacite d’adaptation remarquable pour repondre auxurgences. Mais la pandemie a aussi mis a l’avant plan l’importance de l’approche, du discours et des pratiques de cesinitiatives collectives. Est-ce qu’on en tiendra compte dans la relance post-COVID pour cheminer vers une nouvelle« normalite » plus equitable et durable?","PeriodicalId":42673,"journal":{"name":"Canadian Journal of Nonprofit and Social Economy Research","volume":" ","pages":""},"PeriodicalIF":0.8,"publicationDate":"2020-12-17","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"42509464","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 2020-07-14DOI: 10.29173/cjnser.2020v11n1a321
G. Broad, Jude Ortiz
For over five years, Social Enterprise and Entrepreneurship (SEE), a community partnership in Northern Ontario, has been developing a supportive ecosystem for social enterprise, entrepreneurship, and innovation. This article sheds light on how the SEE partnership has established a broad spectrum of supports and a healthy ecosystem for alternative economies in a northern, rural, and Indigenous region, from an initial focus on youth, with asset mapping and pop-up events, to its current emphasis on regional networking and train-the-trainer programs for economic development officers. This article argues that the partnership’s strong emphasis on community engagement and empowerment, and the cyclical nature of the community-based research methodology has enhanced the sustainability of the ecosystem and leads to systemic social innovation and transformation.
{"title":"Social Entrepreneurial Ecosystem: Sparking Social Transformation","authors":"G. Broad, Jude Ortiz","doi":"10.29173/cjnser.2020v11n1a321","DOIUrl":"https://doi.org/10.29173/cjnser.2020v11n1a321","url":null,"abstract":"For over five years, Social Enterprise and Entrepreneurship (SEE), a community partnership in Northern Ontario, has been developing a supportive ecosystem for social enterprise, entrepreneurship, and innovation. This article sheds light on how the SEE partnership has established a broad spectrum of supports and a healthy ecosystem for alternative economies in a northern, rural, and Indigenous region, from an initial focus on youth, with asset mapping and pop-up events, to its current emphasis on regional networking and train-the-trainer programs for economic development officers. This article argues that the partnership’s strong emphasis on community engagement and empowerment, and the cyclical nature of the community-based research methodology has enhanced the sustainability of the ecosystem and leads to systemic social innovation and transformation.","PeriodicalId":42673,"journal":{"name":"Canadian Journal of Nonprofit and Social Economy Research","volume":"11 1","pages":"14"},"PeriodicalIF":0.8,"publicationDate":"2020-07-14","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"https://sci-hub-pdf.com/10.29173/cjnser.2020v11n1a321","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"48730990","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 2020-07-14DOI: 10.22230/anserj.2020v11n1a371
S. Lefèvre
La crise sanitaire mondiale liée à la COVID-19 met à l’épreuve nos systèmes de santé et économiques mais aussi l’architecture des liens sociaux qui nous lient les uns aux autres, la manière de « faire société ». Les parallèles avec la période hygiéniste, il y a un siècle, sont éclairants pour saisir le lien entre dynamiques philanthropiques et régulations publiques. Car hier comme aujourd’hui, l’articulation d’une crise sanitaire et d’une dépression économique amène à considérer la valeur des vies et le prix des morts. Mais comment faire ces choix collectifs actuels, mais aussi pour « le monde de l’après », dans une démocratie confinée ?
{"title":"architecture collective des solidarités à l’épreuve de la COVID-19","authors":"S. Lefèvre","doi":"10.22230/anserj.2020v11n1a371","DOIUrl":"https://doi.org/10.22230/anserj.2020v11n1a371","url":null,"abstract":"La crise sanitaire mondiale liée à la COVID-19 met à l’épreuve nos systèmes de santé et économiques mais aussi l’architecture des liens sociaux qui nous lient les uns aux autres, la manière de « faire société ». Les parallèles avec la période hygiéniste, il y a un siècle, sont éclairants pour saisir le lien entre dynamiques philanthropiques et régulations publiques. Car hier comme aujourd’hui, l’articulation d’une crise sanitaire et d’une dépression économique amène à considérer la valeur des vies et le prix des morts. Mais comment faire ces choix collectifs actuels, mais aussi pour « le monde de l’après », dans une démocratie confinée ?","PeriodicalId":42673,"journal":{"name":"Canadian Journal of Nonprofit and Social Economy Research","volume":" ","pages":""},"PeriodicalIF":0.8,"publicationDate":"2020-07-14","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"42239657","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 2020-07-14DOI: 10.29173/cjnser.2020v11n1a329
Christian Jetté, Jean-Vincent Bergeron-Gaudin
Au Québec, la participation des organismes communautaires à l’élaboration et à la mise en oeuvre des politiques sociales au niveau provincial depuis les années 1970 est une réalité empirique connue et bien documentée. En nous appuyant sur la notion de travail institutionnel, telle que développé par l’institutionnalisme sociologique, nous démontrons comment ces acteurs du tiers secteur ont pu jouer un rôle actif dans l’institutionnalisation de certaines de leurs pratiques et opérer ainsi un travail de création institutionnelle. À partir de trois études de cas dans le domaine de la santé et des services sociaux portant sur des pratiques innovantes (approche Carpe Diem, gestion autonome de la médication et soutien communautaire en logement social), nous faisons ressortir plus particulièrement deux formes de travail institutionnel exercé par ces acteurs : la constitution de réseaux normatifs, qui favorise le changement des normes d’intervention dans un secteur donné, et la construction d’identités, qui conditionne l’action collective.
{"title":"Innovation sociale et travail institutionnel : le rôle des organismes communautaires dans l'évolution des politiques sociales au Québec","authors":"Christian Jetté, Jean-Vincent Bergeron-Gaudin","doi":"10.29173/cjnser.2020v11n1a329","DOIUrl":"https://doi.org/10.29173/cjnser.2020v11n1a329","url":null,"abstract":"Au Québec, la participation des organismes communautaires à l’élaboration et à la mise en oeuvre des politiques sociales au niveau provincial depuis les années 1970 est une réalité empirique connue et bien documentée. En nous appuyant sur la notion de travail institutionnel, telle que développé par l’institutionnalisme sociologique, nous démontrons comment ces acteurs du tiers secteur ont pu jouer un rôle actif dans l’institutionnalisation de certaines de leurs pratiques et opérer ainsi un travail de création institutionnelle. À partir de trois études de cas dans le domaine de la santé et des services sociaux portant sur des pratiques innovantes (approche Carpe Diem, gestion autonome de la médication et soutien communautaire en logement social), nous faisons ressortir plus particulièrement deux formes de travail institutionnel exercé par ces acteurs : la constitution de réseaux normatifs, qui favorise le changement des normes d’intervention dans un secteur donné, et la construction d’identités, qui conditionne l’action collective.","PeriodicalId":42673,"journal":{"name":"Canadian Journal of Nonprofit and Social Economy Research","volume":" ","pages":""},"PeriodicalIF":0.8,"publicationDate":"2020-07-14","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"47220306","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 2020-07-14DOI: 10.22230/anserj.2020v11n1a321
G. Broad, Jude Ortiz
For over five years, Social Enterprise and Entrepreneurship (SEE), a community partnership in Northern Ontario, has been developing a supportive ecosystem for social enterprise, entrepreneurship, and innovation. This article sheds light on how the SEE partnership has established a broad spectrum of supports and a healthy ecosystem for alternative economies in a northern, rural, and Indigenous region, from an initial focus on youth, with asset mapping and pop-up events, to its current emphasis on regional networking and train-the-trainer programs for economic development officers. This article argues that the partnership’s strong emphasis on community engagement and empowerment, and the cyclical nature of the community-based research methodology has enhanced the sustainability of the ecosystem and leads to systemic social innovation and transformation.
{"title":"Sparking Social Transformation through Cycles of Community-Based Research","authors":"G. Broad, Jude Ortiz","doi":"10.22230/anserj.2020v11n1a321","DOIUrl":"https://doi.org/10.22230/anserj.2020v11n1a321","url":null,"abstract":"For over five years, Social Enterprise and Entrepreneurship (SEE), a community partnership in Northern Ontario, has been developing a supportive ecosystem for social enterprise, entrepreneurship, and innovation. This article sheds light on how the SEE partnership has established a broad spectrum of supports and a healthy ecosystem for alternative economies in a northern, rural, and Indigenous region, from an initial focus on youth, with asset mapping and pop-up events, to its current emphasis on regional networking and train-the-trainer programs for economic development officers. This article argues that the partnership’s strong emphasis on community engagement and empowerment, and the cyclical nature of the community-based research methodology has enhanced the sustainability of the ecosystem and leads to systemic social innovation and transformation.","PeriodicalId":42673,"journal":{"name":"Canadian Journal of Nonprofit and Social Economy Research","volume":" ","pages":""},"PeriodicalIF":0.8,"publicationDate":"2020-07-14","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"45958328","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 2020-07-14DOI: 10.29173/cjnser.2020v11n1a325
Peter Milley, Barbara Szijarto
There has been global growth in the number of social innovation initiatives launched in the university sector over the last decade. These initiatives aim to address complex social problems and to promote institutional change. This surge is occurring without a well-developed empirical knowledge base. This article provides a comprehensive description and analysis of the landscape of social innovation initiatives in the Canadian university sector. Findings show that nearly half of Canada’s 96 universities are associated with at least one initiative; many are interdisciplinary and emphasize collaborative problem-solving with sectors outside the university; and government agencies and charitable foundations are the most common funding sources. Findings suggest there is room for growth and for linking and clustering initiatives. The article concludes with directions for future research. RÉSUMÉLa dernière décennie a été marquée par une croissance mondiale du nombre d’initiatives d’innovation sociale lancées dans le secteur universitaire. Ces initiatives visent à résoudre des problèmes sociaux complexes et à induire des changements institutionnels et systémiques. Cette poussée de l’activité d’innovation sociale se produit sans une base de connaissances empiriques bien développée. Nous y contribuons en fournissant une description et une analyse complètes de toutes les initiatives d’innovation sociale auxquelles participe le secteur universitaire canadien, de leurs caractéristiques et du paysage qu’elles constituent. Résultats notables: près de la moitié des 96 universités canadiennes sont associées à au moins une initiative; de nombreuses initiatives sont interdisciplinaires et mettent l’accent sur la résolution de problèmes en collaboration avec des secteurs extérieurs à l’université; Les agences gouvernementales et les fondations caritatives sont les sources de financement les plus courantes. Les résultats suggèrent: il existe un potentiel de croissance de l’innovation sociale dans le secteur; il y a moins de liens internes et de regroupement d’initiatives que ne le recommande la théorie de l’innovation; l’accent mis sur la collaboration extérieure rejoint la «troisième mission» des universités, qui existe depuis longtemps, mais les innovateurs sociaux ont des objectifs, des méthodes et des processus distincts pour mener à bien cette mission. Nous concluons avec les orientations pour les recherches futures. Keywords / Mots clés: Universities; Higher education; Social innovation; Community engagement; Service mission; Social change; Canada / Universités; Établissements d’enseignement supérieur; Innovation sociale; Engagement communautaire; Mission de service; Changement social; Canada
{"title":"The Landscape of Social Innovation in Canadian Universities: An Empirical Analysis","authors":"Peter Milley, Barbara Szijarto","doi":"10.29173/cjnser.2020v11n1a325","DOIUrl":"https://doi.org/10.29173/cjnser.2020v11n1a325","url":null,"abstract":"There has been global growth in the number of social innovation initiatives launched in the university sector over the last decade. These initiatives aim to address complex social problems and to promote institutional change. This surge is occurring without a well-developed empirical knowledge base. This article provides a comprehensive description and analysis of the landscape of social innovation initiatives in the Canadian university sector. Findings show that nearly half of Canada’s 96 universities are associated with at least one initiative; many are interdisciplinary and emphasize collaborative problem-solving with sectors outside the university; and government agencies and charitable foundations are the most common funding sources. Findings suggest there is room for growth and for linking and clustering initiatives. The article concludes with directions for future research. \u0000RÉSUMÉLa dernière décennie a été marquée par une croissance mondiale du nombre d’initiatives d’innovation sociale lancées dans le secteur universitaire. Ces initiatives visent à résoudre des problèmes sociaux complexes et à induire des changements institutionnels et systémiques. Cette poussée de l’activité d’innovation sociale se produit sans une base de connaissances empiriques bien développée. Nous y contribuons en fournissant une description et une analyse complètes de toutes les initiatives d’innovation sociale auxquelles participe le secteur universitaire canadien, de leurs caractéristiques et du paysage qu’elles constituent. Résultats notables: près de la moitié des 96 universités canadiennes sont associées à au moins une initiative; de nombreuses initiatives sont interdisciplinaires et mettent l’accent sur la résolution de problèmes en collaboration avec des secteurs extérieurs à l’université; Les agences gouvernementales et les fondations caritatives sont les sources de financement les plus courantes. Les résultats suggèrent: il existe un potentiel de croissance de l’innovation sociale dans le secteur; il y a moins de liens internes et de regroupement d’initiatives que ne le recommande la théorie de l’innovation; l’accent mis sur la collaboration extérieure rejoint la «troisième mission» des universités, qui existe depuis longtemps, mais les innovateurs sociaux ont des objectifs, des méthodes et des processus distincts pour mener à bien cette mission. Nous concluons avec les orientations pour les recherches futures. \u0000Keywords / Mots clés: Universities; Higher education; Social innovation; Community engagement; Service mission; Social change; Canada / Universités; Établissements d’enseignement supérieur; Innovation sociale; Engagement communautaire; Mission de service; Changement social; Canada","PeriodicalId":42673,"journal":{"name":"Canadian Journal of Nonprofit and Social Economy Research","volume":" ","pages":""},"PeriodicalIF":0.8,"publicationDate":"2020-07-14","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"42544007","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 2020-07-14DOI: 10.29173/cjnser.2020v11n1a323
Anthony Piscitelli, Sean Geobey
The current ethos of most nonprofit boards of directors focuses on role clarity between board directors and the executive director. The board’s role is to collectively set strategic direction and provide oversight while leaving day-to-day operations to staff. Yet, many individual directors join a board to make an impact on the organization by addressing very specific operational concerns and/or to represent a stakeholder group, and this creates tension at the board table. This article explores whether there is necessarily a trade-off between the representative and good governance roles of a nonprofit board director. It will demonstrate that the tension between representing member interests and governing nonprofits is a false dichotomy. Reconciling these two interests offers some potential avenues for improved organizational accountability.
{"title":"Representative Board Governance: What Role Do Board Directors Have in Representing the Interest of Their Constituents?","authors":"Anthony Piscitelli, Sean Geobey","doi":"10.29173/cjnser.2020v11n1a323","DOIUrl":"https://doi.org/10.29173/cjnser.2020v11n1a323","url":null,"abstract":"The current ethos of most nonprofit boards of directors focuses on role clarity between board directors and the executive director. The board’s role is to collectively set strategic direction and provide oversight while leaving day-to-day operations to staff. Yet, many individual directors join a board to make an impact on the organization by addressing very specific operational concerns and/or to represent a stakeholder group, and this creates tension at the board table. This article explores whether there is necessarily a trade-off between the representative and good governance roles of a nonprofit board director. It will demonstrate that the tension between representing member interests and governing nonprofits is a false dichotomy. Reconciling these two interests offers some potential avenues for improved organizational accountability.","PeriodicalId":42673,"journal":{"name":"Canadian Journal of Nonprofit and Social Economy Research","volume":" ","pages":""},"PeriodicalIF":0.8,"publicationDate":"2020-07-14","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"41626126","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 2020-07-14DOI: 10.29173/cjnser.2020v11n1a372
Kunle Akingbola
This article explores the impacts of COVID-19 on nonprofit employees and human resource management (HRM). The pandemic is wreaking havoc on people’s health and well-being and threatening the primary institutions that support the functioning of society. For nonprofits, COVID-19 is a call to action at many levels. As the devasting impacts of the pandemic evolve, nonprofits have continued to provide essential services and help the vulnerable. At the same time, the impacts of COVID-19 portend serious and potentially crippling strains on nonprofits, which are already overstretched. Since the context in which nonprofits operate is critical to their effectiveness and the outcomes of their employment relations, the impacts of COVID-19 could shape nonprofit HRM and employees’ ability to assist people.
{"title":"COVID-19: The Prospects for Nonprofit Human Resource Management","authors":"Kunle Akingbola","doi":"10.29173/cjnser.2020v11n1a372","DOIUrl":"https://doi.org/10.29173/cjnser.2020v11n1a372","url":null,"abstract":"This article explores the impacts of COVID-19 on nonprofit employees and human resource management (HRM). The pandemic is wreaking havoc on people’s health and well-being and threatening the primary institutions that support the functioning of society. For nonprofits, COVID-19 is a call to action at many levels. As the devasting impacts of the pandemic evolve, nonprofits have continued to provide essential services and help the vulnerable. At the same time, the impacts of COVID-19 portend serious and potentially crippling strains on nonprofits, which are already overstretched. Since the context in which nonprofits operate is critical to their effectiveness and the outcomes of their employment relations, the impacts of COVID-19 could shape nonprofit HRM and employees’ ability to assist people.","PeriodicalId":42673,"journal":{"name":"Canadian Journal of Nonprofit and Social Economy Research","volume":" ","pages":""},"PeriodicalIF":0.8,"publicationDate":"2020-07-14","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"https://sci-hub-pdf.com/10.29173/cjnser.2020v11n1a372","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"42464888","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 2020-07-14DOI: 10.29173/cjnser.2020v11n1a380
Jorge Sousa, M. Alberio
printemps de la Revue canadienne de recherche sur les OBNL et l’économie sociale (ANSERJ). Dire que ces derniers mois ont été difficiles serait un euphémisme. À la mi-mars, on a commencé à nous dire de rester à l’écart les uns des autres, tant physiquement que socialement. Des bancs et des terrains de jeux ont été cloisonnés pour empêcher qu’ils soient utilisés. Les activités scolaires et universitaires ainsi que la plupart des activités sociales et économiques ont subitement cessé. La distanciation sociale et physique a été une conséquence négative de la réponse à la pandémie, mais cette distanciation nous a également rappelé l’importance d’un sentiment d’appartenance collective dans toute période de distanciation forcée ou de crise. L’État et la politique, ils ont émergé, du moins en apparence, comme des acteurs centraux durant cette crise. En effet, à tous les niveaux, les autorités et les gouvernements ont joué, du moins dans les médias, un rôle fondamental dans la gestion de la crise et ce plus que lors de n’importe quel autre événement récent. Pendant plus de trois mois, nous avons assisté à des points de presse quotidiens de la part de nos gouvernements (fédéral, provincial et municipal) qui, à chaque fois, nous indiquaient qui avait le droit de sortir, ainsi qu’où et comment sortir (avec ou sans masque). Cette pandémie a également lancé un débat sur la démocratie et ses limites. Des universitaires et des journalistes ont proposé des réflexions inspirées d’auteurs tels que Foucault, Welcome to the spring issue of ANSERJ! To say that it has been a challenging few months is quite the understatement. Earlier in the year, we were told to stay away from each other, both physically and socially. Benches and playgrounds were taped off to keep people out. Schools, universities and in general most social and economic activities suddenly stopped. The necessity and reality of distancing socially and physically were a negative consequence of the response to the pandemic, but they reminded us of the importance of belonging to something in periods of forced separation or crisis. As in no other recent crisis, political leaders and governments at every level took on a fundamental role, at least in the media. For over three months, we received daily press releases from government (federal, provincial and municipal) telling us who could go out (with or without a mask), as well as where and how. This situation brought us to a debate over democracy and its boundaries. Scholars and journalists have re-proposed ideas from such authors as Foucault on agency, inscription and control. Other scholars such as Adam Tooze (2020) have affirmed how the State has started playing a more consolatory role, since this demand for a lockdown came mainly from the bottom, namely from the people who saw a risk in being exposed to the virus. (Spring / Printemps 2020)
{"title":"Coming Out from a Crisis: What Next?","authors":"Jorge Sousa, M. Alberio","doi":"10.29173/cjnser.2020v11n1a380","DOIUrl":"https://doi.org/10.29173/cjnser.2020v11n1a380","url":null,"abstract":"printemps de la Revue canadienne de recherche sur les OBNL et l’économie sociale (ANSERJ). Dire que ces derniers mois ont été difficiles serait un euphémisme. À la mi-mars, on a commencé à nous dire de rester à l’écart les uns des autres, tant physiquement que socialement. Des bancs et des terrains de jeux ont été cloisonnés pour empêcher qu’ils soient utilisés. Les activités scolaires et universitaires ainsi que la plupart des activités sociales et économiques ont subitement cessé. La distanciation sociale et physique a été une conséquence négative de la réponse à la pandémie, mais cette distanciation nous a également rappelé l’importance d’un sentiment d’appartenance collective dans toute période de distanciation forcée ou de crise. L’État et la politique, ils ont émergé, du moins en apparence, comme des acteurs centraux durant cette crise. En effet, à tous les niveaux, les autorités et les gouvernements ont joué, du moins dans les médias, un rôle fondamental dans la gestion de la crise et ce plus que lors de n’importe quel autre événement récent. Pendant plus de trois mois, nous avons assisté à des points de presse quotidiens de la part de nos gouvernements (fédéral, provincial et municipal) qui, à chaque fois, nous indiquaient qui avait le droit de sortir, ainsi qu’où et comment sortir (avec ou sans masque). Cette pandémie a également lancé un débat sur la démocratie et ses limites. Des universitaires et des journalistes ont proposé des réflexions inspirées d’auteurs tels que Foucault, Welcome to the spring issue of ANSERJ! To say that it has been a challenging few months is quite the understatement. Earlier in the year, we were told to stay away from each other, both physically and socially. Benches and playgrounds were taped off to keep people out. Schools, universities and in general most social and economic activities suddenly stopped. The necessity and reality of distancing socially and physically were a negative consequence of the response to the pandemic, but they reminded us of the importance of belonging to something in periods of forced separation or crisis. As in no other recent crisis, political leaders and governments at every level took on a fundamental role, at least in the media. For over three months, we received daily press releases from government (federal, provincial and municipal) telling us who could go out (with or without a mask), as well as where and how. This situation brought us to a debate over democracy and its boundaries. Scholars and journalists have re-proposed ideas from such authors as Foucault on agency, inscription and control. Other scholars such as Adam Tooze (2020) have affirmed how the State has started playing a more consolatory role, since this demand for a lockdown came mainly from the bottom, namely from the people who saw a risk in being exposed to the virus. (Spring / Printemps 2020)","PeriodicalId":42673,"journal":{"name":"Canadian Journal of Nonprofit and Social Economy Research","volume":" ","pages":""},"PeriodicalIF":0.8,"publicationDate":"2020-07-14","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"47234192","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Pub Date : 2020-07-14DOI: 10.29173/cjnser.2020v11n1a371
S. Lefèvre
La crise sanitaire mondiale liée à la COVID-19 met à l’épreuve nos systèmes de santé et économiques mais aussi l’architecture des liens sociaux qui nous lient les uns aux autres, la manière de « faire société ». Les parallèles avec la période hygiéniste, il y a un siècle, sont éclairants pour saisir le lien entre dynamiques philanthropiques et régulations publiques. Car hier comme aujourd’hui, l’articulation d’une crise sanitaire et d’une dépression économique amène à considérer la valeur des vies et le prix des morts. Mais comment faire ces choix collectifs actuels, mais aussi pour « le monde de l’après », dans une démocratie confinée ?
{"title":"L' architecture collective des solidarités à l’épreuve de la COVID-19","authors":"S. Lefèvre","doi":"10.29173/cjnser.2020v11n1a371","DOIUrl":"https://doi.org/10.29173/cjnser.2020v11n1a371","url":null,"abstract":"La crise sanitaire mondiale liée à la COVID-19 met à l’épreuve nos systèmes de santé et économiques mais aussi l’architecture des liens sociaux qui nous lient les uns aux autres, la manière de « faire société ». Les parallèles avec la période hygiéniste, il y a un siècle, sont éclairants pour saisir le lien entre dynamiques philanthropiques et régulations publiques. Car hier comme aujourd’hui, l’articulation d’une crise sanitaire et d’une dépression économique amène à considérer la valeur des vies et le prix des morts. Mais comment faire ces choix collectifs actuels, mais aussi pour « le monde de l’après », dans une démocratie confinée ?","PeriodicalId":42673,"journal":{"name":"Canadian Journal of Nonprofit and Social Economy Research","volume":" ","pages":""},"PeriodicalIF":0.8,"publicationDate":"2020-07-14","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"43988066","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}