A. I. Brindis-Santos, D. J. Palma-López, E. Mata-Zayas, D. J. Palma-Cancino
There is a need for more studies on the effects of oil palm plantations on soil organic carbon storage and on the environmental services provided by these agrosystems in Mexico. This study focused on estimating the soil organic carbon stocks in three areas within oil palm plantations (palm circle, under the frond and between palm rows), at three soil depths (20, 40 and 60 cm) and comparing the carbon storage between different land-uses: a 20-year-old pasture (GS20), a 20-year-old oil palm plantation (OP20), and a secondary forest (SF20). Our results suggest that oil palm plantations store soil organic carbon mainly under frond areas when sown in lixisols and luvisols, with lower carbon sequestration in the palm circle. Regarding the soil depth, the estimated carbon storage was 87 Mg C ha−1 and 67 Mg C ha−1 at depths of 20 and 60 cm, respectively. Regarding land-use comparison, results indicate an increase (not statistically significant) in carbon storage to 27% at 20 cm depth and 18% at 60 cm between pasture and palm plantation. The second-growth forest presented higher carbon storage compared to both other land uses.
需要对油棕种植园对墨西哥土壤有机碳储量的影响以及这些农业系统提供的环境服务进行更多的研究。本研究重点估算了油棕人工林内3个区域(棕榈圈、棕榈叶下和棕榈行之间)、3个土壤深度(20、40和60 cm)的土壤有机碳储量,并比较了不同土地利用方式(20年牧场(GS20)、20年油棕人工林(OP20)和20年次生林(SF20)的土壤有机碳储量。结果表明,油棕种植时,土壤有机碳主要储存在叶面区域,棕榈圈的固碳量较低。在20 cm和60 cm土层,碳储量分别为87 Mg C ha - 1和67 Mg C ha - 1。在土地利用比较方面,结果表明,牧场和棕榈林的碳储量在20 cm深度增加27%,在60 cm深度增加18%(无统计学意义)。次生林的碳储量高于其他两种土地利用方式。
{"title":"Impacts of oil palm cultivation on soil organic carbon stocks in Mexico: evidence from plantations in Tabasco State","authors":"A. I. Brindis-Santos, D. J. Palma-López, E. Mata-Zayas, D. J. Palma-Cancino","doi":"10.1051/cagri/2021033","DOIUrl":"https://doi.org/10.1051/cagri/2021033","url":null,"abstract":"There is a need for more studies on the effects of oil palm plantations on soil organic carbon storage and on the environmental services provided by these agrosystems in Mexico. This study focused on estimating the soil organic carbon stocks in three areas within oil palm plantations (palm circle, under the frond and between palm rows), at three soil depths (20, 40 and 60 cm) and comparing the carbon storage between different land-uses: a 20-year-old pasture (GS20), a 20-year-old oil palm plantation (OP20), and a secondary forest (SF20). Our results suggest that oil palm plantations store soil organic carbon mainly under frond areas when sown in lixisols and luvisols, with lower carbon sequestration in the palm circle. Regarding the soil depth, the estimated carbon storage was 87 Mg C ha−1 and 67 Mg C ha−1 at depths of 20 and 60 cm, respectively. Regarding land-use comparison, results indicate an increase (not statistically significant) in carbon storage to 27% at 20 cm depth and 18% at 60 cm between pasture and palm plantation. The second-growth forest presented higher carbon storage compared to both other land uses.","PeriodicalId":55294,"journal":{"name":"Cahiers Agricultures","volume":"15 1","pages":""},"PeriodicalIF":0.9,"publicationDate":"2021-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"85507058","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":4,"RegionCategory":"农林科学","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Depuis la commercialisation du coton Bt, la question de la pureté des semences utilisées par les producteurs est peu abordée, encore moins en relation avec l’analyse du système semencier dans le pays concerné. Cet article étudie le cas du Burkina Faso en 2015, pays où la couverture des surfaces en coton transgénique avec deux gènes Bt est restée partielle, jusqu’à sa suspension décidée la même année. En se basant sur les seuils de présence de gènes Bt retenus dans l’étude pour déclarer la nature conventionnelle ou transgénique des parcelles échantillonnées, 29,3 % des parcelles supposées conventionnelles l’étaient effectivement, alors que 92,6 % des parcelles supposées transgéniques l’étaient effectivement. Par contre, seulement 40 % des parcelles supposées transgéniques l’étaient bien si l’on se base sur le seuil de présence de gènes Bt attendu dans des parcelles transgéniques effectivement installées avec des semences Bollgard II suffisamment pures. L’examen du système semencier permet de lui attribuer une partie des défauts de pureté observés. Par ailleurs, si l’on considère la chronologie des événements jusqu’à la livraison des semences transgéniques par Monsanto, ces semences ne pouvaient pas contenir systématiquement les deux gènes Bt. Un tel défaut initial s’est maintenu, voire accentué par la suite. Il a certainement réduit dès le départ l’efficacité du coton Bt et, pis encore, la durabilité de son utilisation en facilitant la sélection de ravageurs résistants à chacun des deux gènes utilisés, voire simultanément aux deux. Le cas étudié souligne l’importance, pour l’efficacité et la durabilité de l’utilisation des semences transgéniques, d’avoir un système semencier qui assure et préserve la pureté des semences produites. Il révèle aussi, indépendamment de l’utilisation de ces semences, le besoin d’ajuster le système internalisé de production de semences cotonnières en Afrique francophone.
{"title":"Système semencier et pureté des semences dans un contexte d’utilisation d’OGM : le cas du coton Bt au Burkina Faso","authors":"L. Bourgou, Michel Fok","doi":"10.1051/CAGRI/2021011","DOIUrl":"https://doi.org/10.1051/CAGRI/2021011","url":null,"abstract":"Depuis la commercialisation du coton Bt, la question de la pureté des semences utilisées par les producteurs est peu abordée, encore moins en relation avec l’analyse du système semencier dans le pays concerné. Cet article étudie le cas du Burkina Faso en 2015, pays où la couverture des surfaces en coton transgénique avec deux gènes Bt est restée partielle, jusqu’à sa suspension décidée la même année. En se basant sur les seuils de présence de gènes Bt retenus dans l’étude pour déclarer la nature conventionnelle ou transgénique des parcelles échantillonnées, 29,3 % des parcelles supposées conventionnelles l’étaient effectivement, alors que 92,6 % des parcelles supposées transgéniques l’étaient effectivement. Par contre, seulement 40 % des parcelles supposées transgéniques l’étaient bien si l’on se base sur le seuil de présence de gènes Bt attendu dans des parcelles transgéniques effectivement installées avec des semences Bollgard II suffisamment pures. L’examen du système semencier permet de lui attribuer une partie des défauts de pureté observés. Par ailleurs, si l’on considère la chronologie des événements jusqu’à la livraison des semences transgéniques par Monsanto, ces semences ne pouvaient pas contenir systématiquement les deux gènes Bt. Un tel défaut initial s’est maintenu, voire accentué par la suite. Il a certainement réduit dès le départ l’efficacité du coton Bt et, pis encore, la durabilité de son utilisation en facilitant la sélection de ravageurs résistants à chacun des deux gènes utilisés, voire simultanément aux deux. Le cas étudié souligne l’importance, pour l’efficacité et la durabilité de l’utilisation des semences transgéniques, d’avoir un système semencier qui assure et préserve la pureté des semences produites. Il révèle aussi, indépendamment de l’utilisation de ces semences, le besoin d’ajuster le système internalisé de production de semences cotonnières en Afrique francophone.","PeriodicalId":55294,"journal":{"name":"Cahiers Agricultures","volume":"1 1","pages":""},"PeriodicalIF":0.9,"publicationDate":"2021-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"90807883","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":4,"RegionCategory":"农林科学","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Cet article vise à analyser les services (et dis-services) écosystémiques que la population cambodgienne retire de l’écosystème formé par le lac Tonle Sap et sa grande plaine d’inondation. Caractérisé par un phénomène de flux et de reflux du fleuve Mékong selon la saison des pluies, ce lac, dont la taille varie de un à cinq, est le lieu de la culture du riz, principale activité agricole du pays et denrée alimentaire de sa population. L’étude de cet agroécosystème, réalisé par des enquêtes dans six villages, montre une complexité dans la compréhension de ces services écosystémiques. Certains sont positifs, d’autres négatifs. Certains sont positifs jusqu’à un certain niveau, mais deviennent négatifs par la suite. Certains sont coproduits par la riziculture, qui au fil du temps a façonné l’écosystème. Nous montrons également, à partir d’une analyse des systèmes agraires, que les systèmes de production sont plus ou moins compatibles avec le maintien de ces services.
{"title":"Services écosystémiques et riziculture autour du lac de Tonle Sap, Cambodge","authors":"Malyne Neang, Philippe Méral","doi":"10.1051/cagri/2021030","DOIUrl":"https://doi.org/10.1051/cagri/2021030","url":null,"abstract":"Cet article vise à analyser les services (et dis-services) écosystémiques que la population cambodgienne retire de l’écosystème formé par le lac Tonle Sap et sa grande plaine d’inondation. Caractérisé par un phénomène de flux et de reflux du fleuve Mékong selon la saison des pluies, ce lac, dont la taille varie de un à cinq, est le lieu de la culture du riz, principale activité agricole du pays et denrée alimentaire de sa population. L’étude de cet agroécosystème, réalisé par des enquêtes dans six villages, montre une complexité dans la compréhension de ces services écosystémiques. Certains sont positifs, d’autres négatifs. Certains sont positifs jusqu’à un certain niveau, mais deviennent négatifs par la suite. Certains sont coproduits par la riziculture, qui au fil du temps a façonné l’écosystème. Nous montrons également, à partir d’une analyse des systèmes agraires, que les systèmes de production sont plus ou moins compatibles avec le maintien de ces services.","PeriodicalId":55294,"journal":{"name":"Cahiers Agricultures","volume":"16 1","pages":""},"PeriodicalIF":0.9,"publicationDate":"2021-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"90883101","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":4,"RegionCategory":"农林科学","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
S. Dury, A. Alpha, N. Zakhia-Rozis, Thierry Giordano
La crise liée au SARS-CoV2 (syndrome respiratoire aigu sévère–coronavirus 2) a donné lieu à une profusion de documents et webinaires sur la sécurité alimentaire au niveau international, ce qui tend à brouiller la compréhension des dynamiques à l’œuvre sur le terrain. Cet article se propose de faire le point sur la situation des secteurs agricole et agroalimentaire, à partir des informations relayées par un réseau d’experts du Cirad et de leurs partenaires dans une diversité de pays en Afrique subsaharienne. Mises en perspective avec les rapports des organisations internationales, ces informations permettent de dresser un constat nuancé. Si le commerce mondial des produits de base et la production agricole dans les pays du Sud ont été relativement peu affectés par les mesures de restriction prises pour limiter la propagation du virus, certaines filières de produits périssables ont rencontré des difficultés pour écouler leurs produits. Mais surtout, la crise a mis en exergue la déconnexion entre le monde de la production agricole, du commerce alimentaire et la situation des consommateurs précaires, qui dans les villes et dans le secteur informel ont pris de plein fouet l’arrêt des activités économiques. Cette crise sanitaire invite à repenser les mesures de gestion de la crise, tant à court terme qu’à plus long terme, avec une approche intégrée des systèmes alimentaires pour renforcer leur résilience et soutenir les stratégies d’adaptation des acteurs.
{"title":"Les systèmes alimentaires aux défis de la crise de la Covid-19 en Afrique : enseignements et incertitudes","authors":"S. Dury, A. Alpha, N. Zakhia-Rozis, Thierry Giordano","doi":"10.1051/CAGRI/2020052","DOIUrl":"https://doi.org/10.1051/CAGRI/2020052","url":null,"abstract":"La crise liée au SARS-CoV2 (syndrome respiratoire aigu sévère–coronavirus 2) a donné lieu à une profusion de documents et webinaires sur la sécurité alimentaire au niveau international, ce qui tend à brouiller la compréhension des dynamiques à l’œuvre sur le terrain. Cet article se propose de faire le point sur la situation des secteurs agricole et agroalimentaire, à partir des informations relayées par un réseau d’experts du Cirad et de leurs partenaires dans une diversité de pays en Afrique subsaharienne. Mises en perspective avec les rapports des organisations internationales, ces informations permettent de dresser un constat nuancé. Si le commerce mondial des produits de base et la production agricole dans les pays du Sud ont été relativement peu affectés par les mesures de restriction prises pour limiter la propagation du virus, certaines filières de produits périssables ont rencontré des difficultés pour écouler leurs produits. Mais surtout, la crise a mis en exergue la déconnexion entre le monde de la production agricole, du commerce alimentaire et la situation des consommateurs précaires, qui dans les villes et dans le secteur informel ont pris de plein fouet l’arrêt des activités économiques. Cette crise sanitaire invite à repenser les mesures de gestion de la crise, tant à court terme qu’à plus long terme, avec une approche intégrée des systèmes alimentaires pour renforcer leur résilience et soutenir les stratégies d’adaptation des acteurs.","PeriodicalId":55294,"journal":{"name":"Cahiers Agricultures","volume":"9 1","pages":""},"PeriodicalIF":0.9,"publicationDate":"2021-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"84859524","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":4,"RegionCategory":"农林科学","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
In the Americas, the palm oil sector has been gaining importance in the last 20 years. Although in 2018 the region only accounted for 7.1% of global palm oil production, it is one of the largest suitable areas for oil palm cultivation. We conducted a literature review on how the sector developed and how its development influenced private and public actors in their choice among three categories of arrangements between oil palm growers and palm oil extraction units. We grouped cases reported in the literature in three categories: corporate models, contract farming, and growers’ organizations. The two latter categories emerged in response to the call for better inclusion of growers in the value chain, for local development, and for sustainable production; they now represent almost 30% of production in the region. All the parties involved are pushing for more sustainable production. National governments intend to regulate production, and private companies are engaging in certification and fair partnerships with producers of fruit bunches. However, there are still many negative impacts on the environment, on local populations, and on biodiversity. Thus, although the Americas appear to be on the way to being leaders of sustainability in the palm oil sector, challenges remain.
{"title":"Oil palm cultivation in the Americas: review of the social, economic and environmental conditions of its expansion","authors":"C. Lesage, J. Cifuentes-Espinosa, L. Feintrenie","doi":"10.1051/cagri/2021015","DOIUrl":"https://doi.org/10.1051/cagri/2021015","url":null,"abstract":"In the Americas, the palm oil sector has been gaining importance in the last 20 years. Although in 2018 the region only accounted for 7.1% of global palm oil production, it is one of the largest suitable areas for oil palm cultivation. We conducted a literature review on how the sector developed and how its development influenced private and public actors in their choice among three categories of arrangements between oil palm growers and palm oil extraction units. We grouped cases reported in the literature in three categories: corporate models, contract farming, and growers’ organizations. The two latter categories emerged in response to the call for better inclusion of growers in the value chain, for local development, and for sustainable production; they now represent almost 30% of production in the region. All the parties involved are pushing for more sustainable production. National governments intend to regulate production, and private companies are engaging in certification and fair partnerships with producers of fruit bunches. However, there are still many negative impacts on the environment, on local populations, and on biodiversity. Thus, although the Americas appear to be on the way to being leaders of sustainability in the palm oil sector, challenges remain.","PeriodicalId":55294,"journal":{"name":"Cahiers Agricultures","volume":"46 1","pages":""},"PeriodicalIF":0.9,"publicationDate":"2021-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"82272949","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":4,"RegionCategory":"农林科学","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Dans les zones cotonnières de l’Afrique de l’Ouest et du Centre, le soutien apporté aux exploitations dans le cadre d’actions nationales ou en coopération ne repose pas sur une typologie des exploitations, que ce soit pour l’identification des actions à conduire ou pour l’évaluation de celles-ci. Une telle situation peut résulter d’un manque de typologie ou, plus souvent, du manque d’application effective et régulière d’une typologie. Cet article propose une démarche de typologie pour l’action en Côte d’Ivoire, la distribution des exploitations entre les types servant à identifier les actions à conduire puis à évaluer leurs impacts. Cette typologie est fondée sur l’identification d’un critère quantitatif simple et sur la mesure des niveaux de divers indicateurs techniques et socio-économiques corrélés avec le critère choisi. La typologie, basée sur les données d’une enquête faite en 2014, a été établie sur la base du seul critère de la possession de bovins, en cohérence avec la tradition de thésaurisation dans le bétail. En raison des corrélations entre ce critère et d’autres, les quatre types d’exploitations différenciés par le niveau de possession de bovins sont aussi clairement différents pour leurs performances techniques et financières dans la culture du coton, les caractéristiques des agriculteurs (âge, taille des familles et des exploitations…), ainsi que pour la possession de biens durables. La typologie proposée est adaptée au contexte local, simple d’application, flexible dans son évolution et pourrait être utile pour la définition de politiques dans les zones cotonnières de Côte d’Ivoire. Pour son application dans la durée, elle requerrait cependant d’actualiser les relations des divers indicateurs techniques et socio-économiques avec le critère de possession de bovins. La tradition commune de thésaurisation dans le bétail autorise à penser que la typologie étudiée pourrait aussi être adaptée pour les autres pays producteurs de coton d’Afrique de l’Ouest et du Centre.
在西非和中非的棉花种植区,在国家行动或合作框架内对农场的支持不是基于农场类型,无论是在确定将要采取的行动或评估这些行动方面。这种情况可能是由于缺乏类型学,或者更常见的是由于缺乏有效和定期的类型学应用。本文提出了cote d ' ivoire行动的类型学方法,在类型之间的农场分布,以确定要采取的行动,然后评估其影响。这种类型的基础是确定一个简单的定量标准,并衡量与所选标准相关的各种技术和社会经济指标的水平。该类型学基于2014年进行的一项调查的数据,基于拥有牛的唯一标准,与牛积累的传统相一致。由于这个标准之间相关性和其他四个类型,由占有水平差异化的牛,也为他们的表现明显不同在棉花种植技术和财力,农民的特点(年龄、家庭和农场规模...)以及非消耗性财产占有权。拟议的类型学适合当地情况,应用简单,发展灵活,可用于cote d ' ivoire棉花种植区的政策制定。然而,为了长期应用,它需要更新各种技术和社会经济指标与牛的所有权标准之间的关系。家畜囤积的共同传统表明,正在研究的类型学也可以适用于西非和中非的其他棉花生产国。
{"title":"Typologie pour l’action des exploitations des zones cotonnières de Côte d’Ivoire","authors":"Siaka Koné, Michel Fok","doi":"10.1051/CAGRI/2020051","DOIUrl":"https://doi.org/10.1051/CAGRI/2020051","url":null,"abstract":"Dans les zones cotonnières de l’Afrique de l’Ouest et du Centre, le soutien apporté aux exploitations dans le cadre d’actions nationales ou en coopération ne repose pas sur une typologie des exploitations, que ce soit pour l’identification des actions à conduire ou pour l’évaluation de celles-ci. Une telle situation peut résulter d’un manque de typologie ou, plus souvent, du manque d’application effective et régulière d’une typologie. Cet article propose une démarche de typologie pour l’action en Côte d’Ivoire, la distribution des exploitations entre les types servant à identifier les actions à conduire puis à évaluer leurs impacts. Cette typologie est fondée sur l’identification d’un critère quantitatif simple et sur la mesure des niveaux de divers indicateurs techniques et socio-économiques corrélés avec le critère choisi. La typologie, basée sur les données d’une enquête faite en 2014, a été établie sur la base du seul critère de la possession de bovins, en cohérence avec la tradition de thésaurisation dans le bétail. En raison des corrélations entre ce critère et d’autres, les quatre types d’exploitations différenciés par le niveau de possession de bovins sont aussi clairement différents pour leurs performances techniques et financières dans la culture du coton, les caractéristiques des agriculteurs (âge, taille des familles et des exploitations…), ainsi que pour la possession de biens durables. La typologie proposée est adaptée au contexte local, simple d’application, flexible dans son évolution et pourrait être utile pour la définition de politiques dans les zones cotonnières de Côte d’Ivoire. Pour son application dans la durée, elle requerrait cependant d’actualiser les relations des divers indicateurs techniques et socio-économiques avec le critère de possession de bovins. La tradition commune de thésaurisation dans le bétail autorise à penser que la typologie étudiée pourrait aussi être adaptée pour les autres pays producteurs de coton d’Afrique de l’Ouest et du Centre.","PeriodicalId":55294,"journal":{"name":"Cahiers Agricultures","volume":"10 1","pages":""},"PeriodicalIF":0.9,"publicationDate":"2021-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"87539460","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":4,"RegionCategory":"农林科学","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
La transition agroécologique des systèmes d’élevage en zone herbagère nous amène à mieux concilier deux disciplines complémentaires que sont l’écologie et l’agronomie. Le fort recul de la prairie permanente, malgré les enjeux environnementaux qu’elle représente, ont amené le Conservatoire botanique national des Pyrénées et de Midi-Pyrénées (CBNPMP) et l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE) de Toulouse à rassembler, dans une base de données régionale, des traits de vie d’espèces prairiales, nécessaires au calcul d’indices agroécologiques. Cette base de données regroupe, pour chacune des espèces (768), des attributs issus de la phytosociologie et de l’écologie d’une part et d’une approche fonctionnelle des végétations pour l’agronomie d’autre part. À partir d’un relevé phytosociologique, ces attributs permettent de calculer des indices nécessaires à une meilleure gestion agroécologique des prairies permanentes. Initialement conçus pour le territoire de Midi-Pyrénées, ces indices sont pour la plupart d’entre eux suffisamment génériques pour être utilisés dans d’autres régions françaises. Cette base de données est évolutive et nous donnons les règles de construction de chaque attribut afin que les futurs utilisateurs puissent compléter la liste pour renseigner de nouvelles espèces. Elle est accessible sous licence ouverte et dans un format Excel.
{"title":"FlorealData : Des traits de vie d’espèces végétales pour le calcul d’indices agronomiques et écologiques des communautés prairiales","authors":"J. Theau, François Prud’homme","doi":"10.1051/cagri/2021022","DOIUrl":"https://doi.org/10.1051/cagri/2021022","url":null,"abstract":"La transition agroécologique des systèmes d’élevage en zone herbagère nous amène à mieux concilier deux disciplines complémentaires que sont l’écologie et l’agronomie. Le fort recul de la prairie permanente, malgré les enjeux environnementaux qu’elle représente, ont amené le Conservatoire botanique national des Pyrénées et de Midi-Pyrénées (CBNPMP) et l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE) de Toulouse à rassembler, dans une base de données régionale, des traits de vie d’espèces prairiales, nécessaires au calcul d’indices agroécologiques. Cette base de données regroupe, pour chacune des espèces (768), des attributs issus de la phytosociologie et de l’écologie d’une part et d’une approche fonctionnelle des végétations pour l’agronomie d’autre part. À partir d’un relevé phytosociologique, ces attributs permettent de calculer des indices nécessaires à une meilleure gestion agroécologique des prairies permanentes. Initialement conçus pour le territoire de Midi-Pyrénées, ces indices sont pour la plupart d’entre eux suffisamment génériques pour être utilisés dans d’autres régions françaises. Cette base de données est évolutive et nous donnons les règles de construction de chaque attribut afin que les futurs utilisateurs puissent compléter la liste pour renseigner de nouvelles espèces. Elle est accessible sous licence ouverte et dans un format Excel.","PeriodicalId":55294,"journal":{"name":"Cahiers Agricultures","volume":"53 1","pages":""},"PeriodicalIF":0.9,"publicationDate":"2021-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"82693843","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":4,"RegionCategory":"农林科学","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Différents mécanismes d’intervention sont proposés pour transformer les paysages agricoles de manière à ce qu’ils remplissent de multiples fonctions, compatibles avec les objectifs du développement durable. Dans le cas de l’atténuation et de l’adaptation au changement climatique, des politiques incitatives et des mécanismes de rémunération des acteurs locaux sont promues dans le cadre des initiatives REDD+. Sur le terrain, ces interventions visent à assurer simultanément la fourniture de services écosystémiques et le maintien, voire l’amélioration, des moyens d’existence locaux. Dans cet article, nous explorons le rôle que peut jouer l’évaluation participative dans la mise en œuvre de paiements pour services environnementaux au sein de communautés rurales d’Indonésie, du Laos, du Vietnam et de Chine. Engagées dans un processus d’intégration rapide à l’économie de marché, ces communautés ont transformé leurs systèmes d’abattis-brûlis traditionnels pour s’orienter vers différentes voies d’intensification agricole au cours des dernières années. L’évaluation positive ou négative de ces évolutions fait nécessairement l’objet de jugements de valeur dans les choix effectués entre différentes options possibles. La formulation de ces options en termes de services écosystémiques rendus permet de comparer les trajectoires paysagères et leur impact sur les conditions de vie locales. Sur ces bases, les communautés peuvent explorer des scénarios de transformation de leurs pratiques agricoles, négocier des compromis entre services écosystémiques et identifier les « gagnants » et les « perdants » potentiels. Ces simulations ont montré l’importance du calendrier de mise en place des programmes REDD+ par rapport aux transformations agraires en cours. Elles pointent le risque de s’éloigner des ambitions initiales d’un impact sur les émissions de carbone pour devenir un instrument supplémentaire de développement durable.
{"title":"Explorer l’impact environnemental des transformations agraires en Asie du Sud-Est grâce à l’évaluation participative des services écosystémiques","authors":"J. Castella, Guillaume Lestrelin","doi":"10.1051/CAGRI/2020042","DOIUrl":"https://doi.org/10.1051/CAGRI/2020042","url":null,"abstract":"Différents mécanismes d’intervention sont proposés pour transformer les paysages agricoles de manière à ce qu’ils remplissent de multiples fonctions, compatibles avec les objectifs du développement durable. Dans le cas de l’atténuation et de l’adaptation au changement climatique, des politiques incitatives et des mécanismes de rémunération des acteurs locaux sont promues dans le cadre des initiatives REDD+. Sur le terrain, ces interventions visent à assurer simultanément la fourniture de services écosystémiques et le maintien, voire l’amélioration, des moyens d’existence locaux. Dans cet article, nous explorons le rôle que peut jouer l’évaluation participative dans la mise en œuvre de paiements pour services environnementaux au sein de communautés rurales d’Indonésie, du Laos, du Vietnam et de Chine. Engagées dans un processus d’intégration rapide à l’économie de marché, ces communautés ont transformé leurs systèmes d’abattis-brûlis traditionnels pour s’orienter vers différentes voies d’intensification agricole au cours des dernières années. L’évaluation positive ou négative de ces évolutions fait nécessairement l’objet de jugements de valeur dans les choix effectués entre différentes options possibles. La formulation de ces options en termes de services écosystémiques rendus permet de comparer les trajectoires paysagères et leur impact sur les conditions de vie locales. Sur ces bases, les communautés peuvent explorer des scénarios de transformation de leurs pratiques agricoles, négocier des compromis entre services écosystémiques et identifier les « gagnants » et les « perdants » potentiels. Ces simulations ont montré l’importance du calendrier de mise en place des programmes REDD+ par rapport aux transformations agraires en cours. Elles pointent le risque de s’éloigner des ambitions initiales d’un impact sur les émissions de carbone pour devenir un instrument supplémentaire de développement durable.","PeriodicalId":55294,"journal":{"name":"Cahiers Agricultures","volume":"29 1","pages":""},"PeriodicalIF":0.9,"publicationDate":"2021-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"90583274","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":4,"RegionCategory":"农林科学","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Farid Oubraham, S. Bedrani, Fathi Abdellatif Belhouadjeb
Les exploitations agricoles algeriennes sont confrontees a d’importantes difficultes de financement qui limitent considerablement leur capacite de production. Leur difficulte d’acces au credit bancaire est due en grande partie a l’indisponibilite d’informations fiables sur leur situation financiere et a leur faible taux de remboursement. Pour inverser la tendance et faciliter l’acces des exploitants agricoles au credit bancaire, les pouvoirs publics ont revisite l’usage de la bonification des taux d’interets en mettant en place pour eux en 2011 un credit d’investissement totalement bonifie appele Ettahadi . Cependant, l’intervention publique dans le systeme de credit, a travers la bonification, n’a eu qu’un tres faible effet sur la demande de financement et un effet mitige sur l’acces effectif au credit. Les resultats d’une enquete menee aupres d’un echantillon representatif d’agriculteurs de la wilaya de Laghouat ainsi que l’analyse des donnees de la Banque de l’agriculture et du developpement rural montrent que la gestion du risque de credit et les objectifs de rentabilite ont pousse cette banque publique a adopter une forme organisationnelle qui limite la distribution de credit.
{"title":"La bonification du crédit favorise-t-elle vraiment le financement des exploitations agricoles ? Cas de la wilaya de Laghouat en Algérie","authors":"Farid Oubraham, S. Bedrani, Fathi Abdellatif Belhouadjeb","doi":"10.1051/CAGRI/2021008","DOIUrl":"https://doi.org/10.1051/CAGRI/2021008","url":null,"abstract":"Les exploitations agricoles algeriennes sont confrontees a d’importantes difficultes de financement qui limitent considerablement leur capacite de production. Leur difficulte d’acces au credit bancaire est due en grande partie a l’indisponibilite d’informations fiables sur leur situation financiere et a leur faible taux de remboursement. Pour inverser la tendance et faciliter l’acces des exploitants agricoles au credit bancaire, les pouvoirs publics ont revisite l’usage de la bonification des taux d’interets en mettant en place pour eux en 2011 un credit d’investissement totalement bonifie appele Ettahadi . Cependant, l’intervention publique dans le systeme de credit, a travers la bonification, n’a eu qu’un tres faible effet sur la demande de financement et un effet mitige sur l’acces effectif au credit. Les resultats d’une enquete menee aupres d’un echantillon representatif d’agriculteurs de la wilaya de Laghouat ainsi que l’analyse des donnees de la Banque de l’agriculture et du developpement rural montrent que la gestion du risque de credit et les objectifs de rentabilite ont pousse cette banque publique a adopter une forme organisationnelle qui limite la distribution de credit.","PeriodicalId":55294,"journal":{"name":"Cahiers Agricultures","volume":"38 1","pages":"23"},"PeriodicalIF":0.9,"publicationDate":"2021-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"90429298","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":4,"RegionCategory":"农林科学","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Since the 1970s, cotton has been a driving force in the transformation of agricultural production systems and a key element in local economies in the savannah areas of West and Central Africa (WCA). However, the sustainability of cotton-based production systems is often debated because of their effects on soils and the negative impacts of chemical pest control on the environment and human health. Through drastic reforms, the WCA cotton sector overcame the crises, showing its resilience. Today, research should be mobilized to help the sector tackle the major challenges: i) economic (price volatility, producers’ incomes), ii) social (inclusion of vulnerable groups, role of women and young people, etc.) and iii) environmental (impact of pesticides, soil degradation, etc.) and linked to climate change. The articles published in this issue present some results and perspectives of research work, which can help improving the sustainability of cotton systems in WCA, open paths towards an agro-ecological transition and address the new challenges.
{"title":"Cotton in West and Central Africa: from the agricultural revolution to the agro-ecological transition","authors":"M. Soumaré, M. Havard, B. Bachelier","doi":"10.1051/CAGRI/2020044","DOIUrl":"https://doi.org/10.1051/CAGRI/2020044","url":null,"abstract":"Since the 1970s, cotton has been a driving force in the transformation of agricultural production systems and a key element in local economies in the savannah areas of West and Central Africa (WCA). However, the sustainability of cotton-based production systems is often debated because of their effects on soils and the negative impacts of chemical pest control on the environment and human health. Through drastic reforms, the WCA cotton sector overcame the crises, showing its resilience. Today, research should be mobilized to help the sector tackle the major challenges: i) economic (price volatility, producers’ incomes), ii) social (inclusion of vulnerable groups, role of women and young people, etc.) and iii) environmental (impact of pesticides, soil degradation, etc.) and linked to climate change. The articles published in this issue present some results and perspectives of research work, which can help improving the sustainability of cotton systems in WCA, open paths towards an agro-ecological transition and address the new challenges.","PeriodicalId":55294,"journal":{"name":"Cahiers Agricultures","volume":"5 1","pages":""},"PeriodicalIF":0.9,"publicationDate":"2021-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"85314570","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":4,"RegionCategory":"农林科学","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}